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Christophe Brun s’expose …mais ne se livre pas facilement.
Il cite d’ailleurs Robert Doisneau « Suggérer , c’est créer. Décrire, c’est détruire. »
Les œuvres de Christophe Brun suggèrent, esquissent, dévoilent non pas pour montrer mais pour approfondir, jouant de la transparence, du mouvement, du rythme, de la fluidité, jouant de la matière, de son épaisseur et de sa finesse afin de vous donner l’impression que vous, spectateur, êtes invité à entrer dans un univers intime, vivant, à le partager sur le mode d’une complicité poético-philosophique ; un univers à venir habiter à mi-chemin entre le rêve, le souvenir et une réalité.
« Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant… » ne peut-on s’empêcher de penser à la vue d’Amélia, cette video mise en musique mêlant femme, forêt, nudité, métamorphose et cette main tendue qui cherche, quoi ? Car ne s’agit-il pas de se découvrir aux autres et à soi, de passer de la forme à l’informe pour naître ?
Si Amélia commence par « Comment ne pas croire en Dieu en voyant les femmes et les arbres ? », on ne peut s’empêcher de répondre « Comment Dieu pourrait-il ne pas croire en cet art ? »
L’art de Christophe Brun n’est pas une illustration, il ne raconte rien, il plonge au cœur de la vie, de la sensibilité et produit sa propre vibration, jouant aussi de l’oxymore, du souvenir, de la mémoire, de la filiation.
Le monde n’est pas ce que tu crois, mon petit bonhomme, perds-toi en lui pour tenter de te trouver, et ce faisant tu trouveras les autres.
Mes travaux, mes travaux, rendez-moi mes travaux est le titre d’une œuvre clé de cette exposition. Rendez-moi ce que je vous donne. Faites-moi exister par votre regard, votre sensibilité, enrichissez-moi comme je vous enrichis. Rencontrons-nous !
Il cite d’ailleurs Robert Doisneau « Suggérer , c’est créer. Décrire, c’est détruire. »
Les œuvres de Christophe Brun suggèrent, esquissent, dévoilent non pas pour montrer mais pour approfondir, jouant de la transparence, du mouvement, du rythme, de la fluidité, jouant de la matière, de son épaisseur et de sa finesse afin de vous donner l’impression que vous, spectateur, êtes invité à entrer dans un univers intime, vivant, à le partager sur le mode d’une complicité poético-philosophique ; un univers à venir habiter à mi-chemin entre le rêve, le souvenir et une réalité.
« Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant… » ne peut-on s’empêcher de penser à la vue d’Amélia, cette video mise en musique mêlant femme, forêt, nudité, métamorphose et cette main tendue qui cherche, quoi ? Car ne s’agit-il pas de se découvrir aux autres et à soi, de passer de la forme à l’informe pour naître ?
Si Amélia commence par « Comment ne pas croire en Dieu en voyant les femmes et les arbres ? », on ne peut s’empêcher de répondre « Comment Dieu pourrait-il ne pas croire en cet art ? »
L’art de Christophe Brun n’est pas une illustration, il ne raconte rien, il plonge au cœur de la vie, de la sensibilité et produit sa propre vibration, jouant aussi de l’oxymore, du souvenir, de la mémoire, de la filiation.
Le monde n’est pas ce que tu crois, mon petit bonhomme, perds-toi en lui pour tenter de te trouver, et ce faisant tu trouveras les autres.
Mes travaux, mes travaux, rendez-moi mes travaux est le titre d’une œuvre clé de cette exposition. Rendez-moi ce que je vous donne. Faites-moi exister par votre regard, votre sensibilité, enrichissez-moi comme je vous enrichis. Rencontrons-nous !