L'association Glisse en Coeur. Un coeur gros comme ça!

Le 12 décembre 2016 Glisse en cœur célébrait son 10° anniversaire en recevant l’association ELA international , son fondateur et président Guy Alba, ses parrains Alain Bernard et Gil Alma qui « attend …de partager cette solidarité, cette générosité propre aux gens de la montagne avec Glisse en Cœur. »

Sous le parrainage fidèle de Stéphane Thébaut, Glisse en Cœur met en avant chaque année une association  différente qui aide les enfants malades, récolte des fonds pour la recherche…
C’est donc au tour d’ELA international.

Était aussi présent Aimé Jacquet à cette soirée à l’Impérial Palace d’Annecy au cours de laquelle a été projeté un message d’encouragement de Zinédine Zidane, lui aussi parrain d’ELA.

Les 17/18/19 mars 2017, « le Grand Bornand » méritera une fois de plus  cette l’appellation de  « Grand Bo » ou même « Grand Beau » pour un weekend de solidarité, de ski, de folie, de partage et de joie au service de la bonne cause et d’ELA, avec de la musique, du spectacle, de l’animation et beaucoup de bonne humeur.
   
Nous étions à cet événement, et Alain Bernard, Gil Alma et Aimé Jacquet ont bien voulu consacrer un moment à Move-On Magazine :

Alain Bernard, c’est un plaisir de vous rencontrer ; encore davantage à l’occasion du 10° anniversaire de Glisse en Cœur.
Je suis ici dans un esprit de solidarité, je suis parrain d’ELA depuis un an et demi. Ce que j’aime bien, c’est leur champ d’action. ELA finance de la recherche, aide les familles financièrement et socialement. J’apprécie chaque moment d’échange avec les enfants et les familles, même les plus brefs car ils permettent d’apporter un peu de bonheur. Acteurs, sportifs, quel que soit notre parcours, nous avons envie de les aider. J’étais déjà parrain d’une action qui s’appelle « Mets tes baskets dans l’entreprise » qui récoltait des fonds pour la recherche, l’enchaînement avec Glisse en Cœur s’est fait tout naturellement.

Vous êtes maintenant dans un autre bain.
Oui, et c’est très intéressant parce qu’on rencontre toujours des personnes avec des histoires qui nous touchent.

Vous mettez votre image au service de la bonne cause.
J’ai eu la chance d’acquérir cette image et cette notoriété par hasard parce que j’ai d’abord fait du sport parce que j’aimais ça. J’essaie de les mettre à la disposition de bonnes causes. ELA correspond parfaitement à cette démarche.

Gil Alma, vous êtes parrain de l’association ELA.
Je dis, avec beaucoup d’humilité, que quand on commence à être un peu connu, s’il est possible de donner un coup de main à des associations, je suis le premier à répondre oui. Je parraine aussi d’autres associations, la Fondation Pompidou, la Chaîne de l’espoir…Je suis ravi de venir jouer mon spectacle au Grand Bornand courant mars, pour faire rire et participer à la fête.

Un mot de ce spectacle ?
C’est plus personnel que Chers voisins. Je suis seul en scène. De l’humour pur et dur. Normalement mon spectacle dure une heure et quart, j’en donnerai une demi-heure au Grand Bornand. C’est de l’humour et c’est ma vie, ma vraie vie qui ressemble un peu à celle de tout le monde. Je suis marié, j’ai des enfants... le titre du spectacle est La vie est belle. Ça montre bien que même si on a des galères, même si on se prend la tête…au bout du bout la vie est belle. Il faut garder l’espoir.
J’ai passé deux jours à Center Parcs avec les enfants malades et leurs familles , j’en parle dans mon spectacle, c’est un partage qui te montre qu’effectivement la vie est belle.

Aimé Jacquet, on a l’impression que les malades et leurs familles sont , par leur volonté, leurs efforts, tous les jours champions du monde.
Tout à fait. C’est eux les vrais champions du monde. Quand on voit comment les familles dont les enfants sont touchés réagissent pour que ceux-ci aient du bonheur et le sourire quotidien, c’est un combat terrible qui mérite un soutien total.
Personnellement, la vie m’a gâté grâce au sport et se suis très touché par la manière dont les familles réagissent.

On retrouve dans leur combat certaines valeurs du sport, l’esprit d’équipe, par exemple.
La vie n’est pas un long fleuve tranquille, mais ces maladies qui touchent des enfants sont l’image de l’injustice. C’est pourquoi la solidarité permet d’apporter du réconfort. Pour cela en France nos associations et nos bénévoles sont vraiment formidables. J’essaie d’apporter très modestement mon concours à de nombreuses associations et je suis très heureux de constater à quel point les gens adhèrent, participent pour permettre aux enfants et aux familles touchés de continuer à sourire à la vie.