Gaël Monfils et les finalistes filles
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Il y a quelques jours, Gaël Monfils nous confiait qu’il était marqué par le professionnalisme précoce des joueurs et joueuses de tennis. Effectivement, le niveau des concurrents est impressionnant.
Ce matin, pendant les derniers essais sonores de la Fête du Lac, à l’heure du chassé-croisé des vacanciers, le monde se jouait,pour les finales du tournoi, entre quelques lignes tracées sur la terre battue des Marquisats.
Dans son excellent livre « De l’art de prendre la balle au bond » Denis Grozdanovitch, ancien joueur de tennis de haut niveau, met en exergue cette phrase de Friedrich Schiller « L’homme n’est pleinement lui-même que quand il joue. »
Alors que notre époque tend à toujours davantage de rationalité, de maîtrise, de contrôle, d’organisation, le sport (et l’art ?) demeure un domaine qui, même s’il se professionnalise de plus en plus, laisse place au jeu.
Les plus anciens peuvent cependant regretter les frasques d’un Nastase, les coups de gueule d’un Mac Enroe , plus récemment le jeu atypique d’un Santoro, l’humour de Vitas Gerulaitis ayant réussi à battre Jeremy Connors après 16 défaites consécutives , qui aurait déclaré « Et que cela lui serve de leçon ! Personne ne bat Vitas Gerulaitis 17 fois de suite. » (cité dans le livre que Kevin Botti consacre au tennis).
Il est d’autant plus agréable de voir évoluer de jeunes joueuses et joueurs qui ont encore, malgré cette professionnalisation galopante, encore une forme de fraîcheur.
La finale fille opposait une Brésilienne à une Française, chez les garçons un Mexicain à un Espagnol.
Pour certains, la phase finale n’est que le début d’une éventuelle carrière.
Le monde entre quelques lignes .
Ce matin, pendant les derniers essais sonores de la Fête du Lac, à l’heure du chassé-croisé des vacanciers, le monde se jouait,pour les finales du tournoi, entre quelques lignes tracées sur la terre battue des Marquisats.
Dans son excellent livre « De l’art de prendre la balle au bond » Denis Grozdanovitch, ancien joueur de tennis de haut niveau, met en exergue cette phrase de Friedrich Schiller « L’homme n’est pleinement lui-même que quand il joue. »
Alors que notre époque tend à toujours davantage de rationalité, de maîtrise, de contrôle, d’organisation, le sport (et l’art ?) demeure un domaine qui, même s’il se professionnalise de plus en plus, laisse place au jeu.
Les plus anciens peuvent cependant regretter les frasques d’un Nastase, les coups de gueule d’un Mac Enroe , plus récemment le jeu atypique d’un Santoro, l’humour de Vitas Gerulaitis ayant réussi à battre Jeremy Connors après 16 défaites consécutives , qui aurait déclaré « Et que cela lui serve de leçon ! Personne ne bat Vitas Gerulaitis 17 fois de suite. » (cité dans le livre que Kevin Botti consacre au tennis).
Il est d’autant plus agréable de voir évoluer de jeunes joueuses et joueurs qui ont encore, malgré cette professionnalisation galopante, encore une forme de fraîcheur.
La finale fille opposait une Brésilienne à une Française, chez les garçons un Mexicain à un Espagnol.
Pour certains, la phase finale n’est que le début d’une éventuelle carrière.
Le monde entre quelques lignes .
La jeune brésilienne a battu la française 7/5,6/3 et le Mexicain a battu l'Espagnol 6/4,6/2.
Il n'est pas inutile de rappeler que, si de grands noms ont remporté le tournoi des Petits Princes, Gaël Monfils (surclassé de deux ans) avait perdu au 2° tour en 98 et que Federer avait terminé 31° sur 32. Tous les espoirs sont permis!
Il n'est pas inutile de rappeler que, si de grands noms ont remporté le tournoi des Petits Princes, Gaël Monfils (surclassé de deux ans) avait perdu au 2° tour en 98 et que Federer avait terminé 31° sur 32. Tous les espoirs sont permis!