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Voilà le printemps, le temps des sports et des marathons qui fleurissent de par le monde. Il est désormais bien connu que courir permet de sécréter de la dopamine, molécule du plaisir sinon du bonheur !
Participer à un marathon est donc un gage de plaisir. Mais en quoi consiste réellement un marathon ? Quelques milliers de sportifs du dimanche ou d’autres jours de la semaine s’acquittent d’un montant de participation pour voir gagner un(e) athlète d’un pays émergent. Les premiers courent pour le plaisir, les seconds pour vivre. Ainsi, les premiers subventionnent les seconds.
Associer l’aide humanitaire et le sport dans un même plaisir, extraordinaire, non ? Il paraît qu’on pense lancer des marathon contributifs, qui procureraient aux participants l’intense plaisir de courir en réglant leurs impôts, contribuant de la sorte à l’accroissement de leur plaisir personnel et à celui de l’État dans la même foulée et dans la même bouffée de plaisir.
Le vainqueur du marathon d’Annecy est déjà arrivé que d’autres usent leurs semelles sur la piste cyclable. Les applaudissements continuent d’accompagner les participants, ainsi que les encouragements... 2h13mn et des poussières pour le vainqueur qui passait avec plus de trois minutes d’avance sur le 2° au niveau du ravitaillement de Sevrier. On espérait le record… et puis non. Mais il a dû courir seul en tête. Le favori arrive 3°.
Une remarque. On n’entend absolument pas passer les premiers. Ils semblent voler au-dessus de la piste. Quand le peloton arrive, les chaussures martèlent le sol.
Le soleil continue de briller. Les sportifs du dimanche ou d’autres jours de la semaine continuent avec courage de se rapprocher de la ligne d’arrivée.
Participer à un marathon est donc un gage de plaisir. Mais en quoi consiste réellement un marathon ? Quelques milliers de sportifs du dimanche ou d’autres jours de la semaine s’acquittent d’un montant de participation pour voir gagner un(e) athlète d’un pays émergent. Les premiers courent pour le plaisir, les seconds pour vivre. Ainsi, les premiers subventionnent les seconds.
Associer l’aide humanitaire et le sport dans un même plaisir, extraordinaire, non ? Il paraît qu’on pense lancer des marathon contributifs, qui procureraient aux participants l’intense plaisir de courir en réglant leurs impôts, contribuant de la sorte à l’accroissement de leur plaisir personnel et à celui de l’État dans la même foulée et dans la même bouffée de plaisir.
Le vainqueur du marathon d’Annecy est déjà arrivé que d’autres usent leurs semelles sur la piste cyclable. Les applaudissements continuent d’accompagner les participants, ainsi que les encouragements... 2h13mn et des poussières pour le vainqueur qui passait avec plus de trois minutes d’avance sur le 2° au niveau du ravitaillement de Sevrier. On espérait le record… et puis non. Mais il a dû courir seul en tête. Le favori arrive 3°.
Une remarque. On n’entend absolument pas passer les premiers. Ils semblent voler au-dessus de la piste. Quand le peloton arrive, les chaussures martèlent le sol.
Le soleil continue de briller. Les sportifs du dimanche ou d’autres jours de la semaine continuent avec courage de se rapprocher de la ligne d’arrivée.