Festival Les Nuits de l'Alligator 2024

Heure de l'événement : 19:30
Catégorie : Concerts, Festivals, Musical, Tourist Attractions, Concerts, Festivals, Musical, Festivals
Artiste principal : Festival Nuits de l'Alligator
Artiste secondaire : Gypsy Mitchell
Billets disponibles à partir du : 18-10-2023
Valable du 25-01-2024 jusqu'au 09-02-2024
Prix : 14.8 EUR

Informations et programme de l'événement :

Les Nuits de l’alligator sont de retour avec une18è édition qui s’annonce déjà historique !

Programmation : 25/01/24 à la Coopérative de Mai (Clermont Ferrand) : Robert Finley, Nat Myers 26/01/24 à la Maroquinerie (Paris 20) : Bror Gunnar Jansson, Matt Vant T. 27/01/24 à la Maroquinerie (Paris 20) : Israel Nash, Jimmy Diamond 30/01/24 à la Vapeur (Dijon) : Gypsy Mitchell, Muddy Gurdy 31/01/24 à la Maroquinerie (Paris 20) : Gypsy Mitchell, Muddy Gurdy 01/02/24 à la Nef (Angoulème) : Gypsy Mitchell, Muddy Gurdy 09/02/24 au 106 à Rouen : Gyasi, The Courettes Robert Finley et Nat Myers : Ils ont 37 ans d’écart, mais s’abreuvent à la même source, le blues rural du sud des Etats-Unis, que le premier joue comme en 1935, et que le second décline et fait danser dans la soul authentique. Bror Gunnar Jansson :Bror Gunnar Jansson fêtera trois "décennie-versaires" en 2024 : les 10 ans de la sortie de son deuxième album "Moan Snake Moan", les 10 ans de la sortie son EP 4 titres pressé à seulement 49 copies, et ses 10 ans de carrière en tant que musicien à temps plein. Une réédition de l'album est prévue pour l'occasion, elle sera accompagnée d'une tournée européenne. Si vous aviez raté Bror Gunnar Jansson lors d'une précédente édition des Nuits de l'Alligator, voilà l'occasion rêvée de découvrir l'artiste suédois sur la scène de La Maroquinerie !   Israel Nash : Quelque part entre Neil Young et Jonathan Wilson, Israel Nash déploie une americana atmosphérique, parfois psychédelique, armé de sa Gretsch White Falcon et notamment épaulé par la pedal steel de Eric Swanson.   Muddy Gurdy :Une chanteuse-guitariste de blues, un percussionniste spécialiste des rythmes latinos, un joueur de vielle à roue expert des musiques traditionnelles du centre de la France. A priori, ces trois-là n’auraient jamais dû se rencontrer. Et ils se sont rencontrés, forcément au croisement de routes différentes, et plus précisément sur le crossroad du blues. Ensemble le trio invente la rencontre de deux traditions qui ont en commun la terre, le rythme, la transe, l'étincelle et aussi l'amour.Gypsy Mitchell :Gypsy Mitchell, soixante-dix ans, pionnier du gospel funk psychédélique en tant que guitariste et arrangeur pour le groupe The Relatives (Daptone / Heavy Light) de Dallas au début des années 70 prend un nouveau départ en solo. Son single "Movin' (Down The Highway)" donne un premier aperçu d’un album sophistiqué et typiquement texan, attendu courant 2024, qui brouille les frontières entre la soul vintage, le psyché et le breakbeat contemporain.   Gyasi : Pour commencer, ça se prononce Jassi, comme indiqué en titre de son deuxième album, Pronounced Jah-See. Et retenez bien ce nom, parce qu’on va beaucoup l’entendre dans les mois qui viennent. Pourquoi ? Parce que l’Américain Gyasi va sauver le rock. Il a déjà commencé, en enfilant sur son corps androgyne un costume de super-herock à base de platform boots et de costumes à paillettes. Le rock ravivé par Gyasi, c’est celui des flamboyantes années 70, quand il rimait avec glam, hard et psyché. Gyasi a grandi dans une ferme au fin fond de l’Amérique profonde (la Virgine-Occidentale), mais avec dans les yeux des tourbillons d’étoiles nommées Marc Bolan, Robert Plant ou Bowie. Sur scène, il fait rêver comme le rock d’avant, quand il était joué par des créatures sexy armées de guitares aux pouvoirs magiques. Et le blues dans tout ça ? Il est tout près, sa sève irrigue le corps multicolore de Gyasi.   The Courettes : En 2024, avant la sortie d’un nouvel album annoncé pour l’automne, les Courettes se lancent dans une tournée où ils vont jouer dans l’intégralité leur album Back In Mono, daté de 2021. Mais qui aurait pu sortir en 1966, ou 1976, ou 2006. Bref, à chaque fois que le rock s’est souvenu de sa jeunesse 60’s. Couple et duo à la ville comme à la scène, du Brésil pour elle (Flavia, chant-guitare) et du Danemark pour lui (Martin, chant-batterie), les Courettes incarnent merveilleusement la permanence du rock garage, sexy, hyper-mélodique et furieusement électrique. Sur Back In Mono, les Courettes riment avec Ronettes et Ramonettes. Intenable sur scène, le duo en mono est une belle promesse de rock’n’roll pour les Nuits de l’Alligatorette. Courez-y. Et même courettez-y.

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