Nicolas de Staël
Heure de l'événement : 15:30
Catégorie : Expo, Conférence, Atelier, Tourist Attractions, Expo, Conférence, Atelier, Exposition
Artiste : Musée d'Art Moderne - MAM Paris
Billets disponibles à partir du : 14-09-2023
Valable du 30-11-2023 jusqu'au 21-01-2024
Prix : 16.7 EUR
Informations et programme de l'événement :
Accès valable pendant 1/4 d'heure La durée de la visite est libre Gratuit pour les moins de 18 ans, les chômeurs et les personnes bénéficiaires des minimas sociaux.Important: les tarifs réduits sont accessibles uniquement aux caisses du musée. Nicolas de StaëlDu 15 septembre 2023 au 21 janvier 2024. Le Musée d’Art Moderne de Paris consacre une grande rétrospective à Nicolas de Staël (1914-1955), la première en France depuis vingt ans.La rétrospective rassemble une sélection d’environ 200 tableaux, dessins, gravures et carnets venus de nombreuses collections publiques et privées, en Europe et aux États-Unis. À côté de chefs-d’œuvre emblématiques tels que le Parc des Princes, elle présente un ensemble important d’œuvres rarement, sinon jamais, exposées, dont une cinquantaine montrées pour la première fois dans un musée français. Organisée de manière chronologique, l’exposition retrace les évolutions successives de l’artiste, depuis ses premiers pas figuratifs et ses toiles sombres et matiérées des années 1940, jusqu’à ses tableaux peints à la veille de sa mort prématurée en 1955. Si l’essentiel de son travail tient en une douzaine d’années, Staël ne cesse de se renouveler et d’explorer de nouvelles voies : son « inévitable besoin de tout casser quand la machine semble tourner trop rond » le conduit à produire une œuvre remarquablement riche et complexe, « sans esthétique a priori ». Insensible aux modes comme aux querelles de son temps, son travail bouleverse délibérément la distinction entre abstraction et figuration, et apparaît comme la poursuite, menée dans l’urgence, d’un art toujours plus dense et concis : « c’est si triste sans tableaux la vie que je fonce tant que je peux », écrivait-il. La rétrospective permet de suivre pas à pas cette quête picturale d’une rare intensité, en commençant par ses voyages de jeunesse et ses premières années parisiennes, puis en évoquant son installation dans le Vaucluse, son fameux voyage en Sicile en 1953, et enfin ses derniers mois à Antibes, dans un atelier face à la mer.
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