Pour les vrais amateurs de rock-pop, Paul Collins reste une référence incontournable.

Membre fondateur des mythiques Nerves et leader du Paul Collins’ Beat, cet américain cultivé a jeté avec ses nombreux albums les bases d’une power-pop jouissive et musclée.

Paul Collins a tout juste 18 ans lorsqu’il forme son premier groupe à San Francisco, États Unis. The Nerves, puisque tel est le nom du groupe, se compose de Peter Case à la basse, de Jack Lee aux guitares, Paul Collins en est le batteur. The Nerves deviendra avec le temps un « cult-group », mais connaîtra cependant une gloire postume en voyant son morceau « Hanging On The Telephone » repris par Blondie. Le groupe de Deborah Harry en fera un véritable hit international.

Malgré tout, les Nerves se séparent, et, la toute fin des années soixante-dix, Paul Collins fonde son propre groupe The Beat, qui se voit très vite rebaptisé « Paul Collins’ Beat » afin d’éviter une confusion avec la formation de ska anglaise du même nom.

Le Paul Collins’ Beat enregistre pour le major label CBS deux Lp devenus désormais mythiques : « The Beat » (1979) et « The Kids Are The Same » (1982). Suite à ces disques et au relatif échec commercial du second, Paul Collins et son bassiste Steve Huff reforment The Beat avec d’autres musiciens et le mini-lp « To Beat Or Not To Beat » sort en 1984.

Peu après, Paul Collins émigre en Europe. En France tout d’abord, où Closer Records distribue son Ep « Long Time Gone » en 1985, puis en Espagne, un pays où ses productions sont plus particulièrement appréciées. Dans ce pays, Paul Collins produit différents groupes locaux et en 1986, dans une salle de concert de Madrid, le Paul Collins’ Beat enregistre son premier live officiel : « Paul Collins’ Beat – Live At The Universal ».

En Octobre 2005, sort enfin le tout nouvel album solo très attendu de Paul Collins. Cet album Cd « Flyin’ High » marque de manière brillante la véritable renaissance de l’esprit « power-pop » de Paul Collins. Dès la parution de ce disque brillant, le chanteur et guitariste américain enchaîne alors concerts et apparitions télévisées, accompagné d’un backing-group efficace, entièrement composé de talentueux musiciens espagnols

HUMAN TOYS
La princesse fétichiste parisienne Poupée Mecanik s'associe à l'emblématique guitariste punk Jon Von pour forger ce duo délirant et décalé ! 100% garage punk quelque part entre les Ramones et les Avengers ! Féministe, politique, anti-Trump, mais toujours accrocheur et fun !