C’est l’histoire de deux amis tellement amis qu’on les dirait frères, l’un bloqué dans ses repères, dans son monde, ses manières…l’autre sans manières.
Divorcé, le premier n’arrive toujours pas à retirer son alliance, le 2° est constant dans son inconstance immature.
Maîtrise précautionneuse d’un côté, flamboiement de l’autre.
Double, dualité, différence, quiproquo, jeu vont animer cette relation élastique. Surtout le jeu de ping pong sous toutes ses formes, sportive ,linguistique, amicale, viscérale.
La vie est un jeu de balles... sentimental.
C’est la maladie qui vient à la fois brouiller les cartes et resserrer dramatiquement le jeu jusqu’à ce que chacun se dévoile, se mette à nu.
« Le meilleur reste à venir » est un divertissement profond qui tâte des facilités en les contournant royalement puisque « empereurement » ne se dit pas. Royalement avec les personnages de César et d’Arthur que Napoléon rejoint en cours de route.
Régal de voir Luchini parler staphylocoque doré comme il dirait du La Fontaine. A se demander si Luchini qui joue n’est pas le vrai, et Luchini à la ville l’acteur.
Drôlerie pléonasmatique à voir Luchini intellectualiser toutes les situations et développer son hypocondrie à l’écran alors que Bruel triomphe et sait perdre au casino....et dans la vie. Quoique...ce film joue un peu à qui perd gagne.
Intérêt pour une proposition remarquable : lancer la traduction de Proust en latin.
Intérêt pour la sémantique :
Rien ne cancer de courir, il faut partir à point...
Ce sont parfois les perdants qui ont le plus de panache.
Divorcé, le premier n’arrive toujours pas à retirer son alliance, le 2° est constant dans son inconstance immature.
Maîtrise précautionneuse d’un côté, flamboiement de l’autre.
Double, dualité, différence, quiproquo, jeu vont animer cette relation élastique. Surtout le jeu de ping pong sous toutes ses formes, sportive ,linguistique, amicale, viscérale.
La vie est un jeu de balles... sentimental.
C’est la maladie qui vient à la fois brouiller les cartes et resserrer dramatiquement le jeu jusqu’à ce que chacun se dévoile, se mette à nu.
« Le meilleur reste à venir » est un divertissement profond qui tâte des facilités en les contournant royalement puisque « empereurement » ne se dit pas. Royalement avec les personnages de César et d’Arthur que Napoléon rejoint en cours de route.
Régal de voir Luchini parler staphylocoque doré comme il dirait du La Fontaine. A se demander si Luchini qui joue n’est pas le vrai, et Luchini à la ville l’acteur.
Drôlerie pléonasmatique à voir Luchini intellectualiser toutes les situations et développer son hypocondrie à l’écran alors que Bruel triomphe et sait perdre au casino....et dans la vie. Quoique...ce film joue un peu à qui perd gagne.
Intérêt pour une proposition remarquable : lancer la traduction de Proust en latin.
Intérêt pour la sémantique :
_ « T’as personne en ce moment ?Etre, avoir… ou bien vivre ?
_ Je suis avec… »
Rien ne cancer de courir, il faut partir à point...
Ce sont parfois les perdants qui ont le plus de panache.
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