Laure, les 27 et 28 octobre se tient la finale du casting national de Monkey Tunes.
Il y a beaucoup de singes dans votre événement. D’où viennent-ils ?
Quand nous avons créé le label, nous voulions une mascotte. Dans ce milieu beaucoup de gens créent un label pour se mettre en avant. Ce qui compte pour nous, c’est le label. Nos personnes restent en retrait derrière notre mascotte.
Avec le singe, il y a aussi une note d’humour.
Le milieu ressemble à une jungle et, même s’il est doué pour faire plein de choses, le singe se retrouve parfois un peu perdu.
Mais il garde la banane !
Oui (rires).
Les 27 et 28 octobre, ce n’est pas la phase finale mais le début pour le lauréat ou la lauréate.
Effectivement, ça dépend de quel côté on se place. C’est la phase finale de la sélection mais c’est le début pour le vainqueur.
Monkey Tunes souligne bien la différence entre un concours et un casting qui est plus artistique, avec la volonté de travailler ensemble.
Oui, pour un concours le jury est très axé sur la technique, les prouesses vocales. Nous, nous cherchons quelqu’un qui puisse entrer dans le label, qu’on va aider à se développer, à progresser ; pas forcément une technique parfaite, même si la maîtrise technique est nécessaire.
La part d’émotion est importante ?
Le feeling est très important par rapport à ce qui est transmis au public, un autre critère est la relation aux tendances musicales du moment. Et une prestation qui touche vraiment le public, je le répète.
Je souligne d’ailleurs que le public est totalement inhérent à l’événement, il en fait partie : c’est pour cette raison que l’accès à cette finale est gratuit et qu’elle est retransmise en direct sur Youtube, ce qui nous laisse une totale liberté par rapport à d’autres canaux de retransmission.
Il y a beaucoup de singes dans votre événement. D’où viennent-ils ?
Quand nous avons créé le label, nous voulions une mascotte. Dans ce milieu beaucoup de gens créent un label pour se mettre en avant. Ce qui compte pour nous, c’est le label. Nos personnes restent en retrait derrière notre mascotte.
Avec le singe, il y a aussi une note d’humour.
Le milieu ressemble à une jungle et, même s’il est doué pour faire plein de choses, le singe se retrouve parfois un peu perdu.
Mais il garde la banane !
Oui (rires).
Les 27 et 28 octobre, ce n’est pas la phase finale mais le début pour le lauréat ou la lauréate.
Effectivement, ça dépend de quel côté on se place. C’est la phase finale de la sélection mais c’est le début pour le vainqueur.
Monkey Tunes souligne bien la différence entre un concours et un casting qui est plus artistique, avec la volonté de travailler ensemble.
Oui, pour un concours le jury est très axé sur la technique, les prouesses vocales. Nous, nous cherchons quelqu’un qui puisse entrer dans le label, qu’on va aider à se développer, à progresser ; pas forcément une technique parfaite, même si la maîtrise technique est nécessaire.
La part d’émotion est importante ?
Le feeling est très important par rapport à ce qui est transmis au public, un autre critère est la relation aux tendances musicales du moment. Et une prestation qui touche vraiment le public, je le répète.
Je souligne d’ailleurs que le public est totalement inhérent à l’événement, il en fait partie : c’est pour cette raison que l’accès à cette finale est gratuit et qu’elle est retransmise en direct sur Youtube, ce qui nous laisse une totale liberté par rapport à d’autres canaux de retransmission.
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Toutes les informations complémentaires sur www.monkey-tunes.com