"On s’attire, on s’oppose , on se mélange" et tout est dit. Tout ? Presque car la danse , le rythme et la musique qui parfois explosent en disent bien plus que le texte.
Les Barbares, ce sont les humains, nous, depuis le début des temps à la recherche de sens, d’identité, depuis le début des temps qui sur scène se mêlent eux aussi. On n’est pas sûr de tout mais il doit y avoir là-dedans de la SF, un côté rencontre du 3° type, de la musique classique, du Moyen Age, de la Renaissance, de la boîte de nuit, du jazzy, des décalages, du sensuel, du sexuel, du violent, du tendre, du qui explose, du je te cherche, tu me cherches, du cabaret, de la robotique, de l’hypnotique dû au rythme primitif des percussions, un soupçon de peste de l’an 1000, de l’humour – bavarois – ou non, un lointain clin d’œil à Laurie Anderson et son O Superman, un autre clin d’œil à L’invention de Morel, drôle de livre d’Adolfo Bioy Casares…Un troisième œil permettrait de voir bien d’autres choses encore.
On se perd un peu dans ce foisonnement avant que les fils se tissent, que psychanalyse, religion, mouvement, doute, recherche de sens et d’identité nous emportent au point que, le spectacle terminé, nos esprits continuent de danser.
Les Barbares, c’est nous !
Les Barbares, ce sont les humains, nous, depuis le début des temps à la recherche de sens, d’identité, depuis le début des temps qui sur scène se mêlent eux aussi. On n’est pas sûr de tout mais il doit y avoir là-dedans de la SF, un côté rencontre du 3° type, de la musique classique, du Moyen Age, de la Renaissance, de la boîte de nuit, du jazzy, des décalages, du sensuel, du sexuel, du violent, du tendre, du qui explose, du je te cherche, tu me cherches, du cabaret, de la robotique, de l’hypnotique dû au rythme primitif des percussions, un soupçon de peste de l’an 1000, de l’humour – bavarois – ou non, un lointain clin d’œil à Laurie Anderson et son O Superman, un autre clin d’œil à L’invention de Morel, drôle de livre d’Adolfo Bioy Casares…Un troisième œil permettrait de voir bien d’autres choses encore.
On se perd un peu dans ce foisonnement avant que les fils se tissent, que psychanalyse, religion, mouvement, doute, recherche de sens et d’identité nous emportent au point que, le spectacle terminé, nos esprits continuent de danser.
Les Barbares, c’est nous !