Un retour dans les années 80 durant le confinement ?
Le terme « charge mentale » est né dans les années 1980 et a été démocratisé en 2017 par Emma, une illustratrice qui a publié la BD « Fallait demander ». À travers ses dessins, elle illustre des situations de répartition domestique.
D'après les données de l'INSEE, les femmes prenaient en charge 64 % des tâches domestiques et 71 % des taches ménagères en 2010, contre 69 % et 85 % en 1985. Les années passent, mais on constate que les femmes demeurent les maîtresses de maison.
Les mamans sont les premières exposées : s'occuper des enfants, du linge qui n'en finit pas, courir à l'école et à la crèche avant de se rendre au travail, etc. Bien que la charge mentale n'ait pas de genre et qu'elle concerne aussi les hommes, les femmes qui occupent un poste psychique comme les managers, les RH, ou les comptables, ne doivent pas négliger la charge mentale qui leur est attribuée.
D'après les données de l'INSEE, les femmes prenaient en charge 64 % des tâches domestiques et 71 % des taches ménagères en 2010, contre 69 % et 85 % en 1985. Les années passent, mais on constate que les femmes demeurent les maîtresses de maison.
Les mamans sont les premières exposées : s'occuper des enfants, du linge qui n'en finit pas, courir à l'école et à la crèche avant de se rendre au travail, etc. Bien que la charge mentale n'ait pas de genre et qu'elle concerne aussi les hommes, les femmes qui occupent un poste psychique comme les managers, les RH, ou les comptables, ne doivent pas négliger la charge mentale qui leur est attribuée.
Comment limiter sa charge mentale ?
La charge mentale peut mener au burn-out, voire à la dépression. Il est donc très important de savoir déléguer, mais aussi de communiquer dans le couple pour mieux répartir les tâches. Nous ne sommes plus en 1950 et aujourd'hui, les femmes travaillent pour la plupart, tout en continuant à maintenir le bateau à flot.
Il est donc essentiel de s'organiser et de prendre conseil auprès de ses proches comme ses parents, ou bien se renseigner sur des sites Internet comme PetitMaisfort magazine, afin de gagner du temps. Pour ne pas craquer, il est vital de ne pas tout prendre sur soi et de se faire aider lorsque c'est possible.
Il est donc essentiel de s'organiser et de prendre conseil auprès de ses proches comme ses parents, ou bien se renseigner sur des sites Internet comme PetitMaisfort magazine, afin de gagner du temps. Pour ne pas craquer, il est vital de ne pas tout prendre sur soi et de se faire aider lorsque c'est possible.
Le confinement a marqué les inégalités
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Le récent confinement a d'ailleurs mis en avant le fait que les femmes occupent une place dominante au sein de la famille. Si on prend l'exemple de Florence, qui a deux enfants en bas âge et un travail à responsabilité, on constate une fois encore que les mères sont le pilier de la famille :
« J'ai dû faire du télétravail du jour au lendemain, tout comme mon conjoint. Avec la fermeture des écoles et des crèches, nous avons du nous relayer auprès des enfants pour travailler convenablement. Le confinement a été une réelle épreuve et bien qu'on puisse penser que travailler à la maison soit moins fatiguant, c'est faux, du moins, lorsqu'on a des enfants ».En effet, Florence a dû travailler dans le bruit et gérer en même temps les tâches ménagères. « Faute de temps, je lançais une machine entre deux dossiers. Même si mon conjoint m'a bien aidée avec les enfants, il se sentait épuisé mentalement et j'ai dû gérer le reste ».