Portrait d’une jeune femme en œuvre d’art. Clara se peint comme Cézanne le faisait de la Sainte Victoire. Elle a fait partager ses sensations et ses émotions au public d’Annecy aussitôt conquis.
Sans effets inutiles, Clara interpelle la vie, le public, l’autre, dressée, debout, irradiant d’énergie, simple, évidente. La sensibilité à fleur de peau, de nerf, sans poids rhétorique traverse l’énergie débordante de la musique pour émerger dans des paroles qui affirment. Il faut s’affirmer. Vivre !
Une chanson quasi inédite offerte au public du Brise Glace et deux bijoux qui présentent Clara seule sur scène, dans tout l’éventail de sa sensibilité et de sa voix.
A regarder la pochette de son album et à l’écouter, on se dit que Clara se vit comme une pièce rapportée qui doit affirmer son identité. On y lit sa filiation corse et provençale. Le Cézanne de la Sainte Victoire n’est pas loin, la sensibilité corse se retrouve dans la fierté, dans l’affirmation de soi, dans cette invitation à dormir…sans doute dans le cimetière familial à flanc de montagne. « Dors, dors… »
Et puis cette grenade prête à éclater comme une arme ou comme un sein mûr, symbole de fertilité, de fécondité.
Clara Luciani-étymologiquement « la renommée lumineuse »- chante la vie et l’amour à travers son corps, dans un parfait équilibre entre intellect et sensibilité. Ce qui lui donne cette force que ressent le public.
Mais avant, il y avait Iaross en 1° partie !
Des extra bien terrestres de la poésie, avec de la mousse rimbaldienne, de l’utopie, du rêve, des accents à la Léo Ferré, le claquement d’une fraîcheur résolument poétique, des pulsations maîtrisées qui vont crescendo, des incantations, des invocations, des trucs qui vont bien au-delà des notes et des paroles, un lamento lunaire.
Clara Luciani et Iaross, ont ouvert la scène du Brise Glace bien au-delà des murs qui la délimitent.
Sans effets inutiles, Clara interpelle la vie, le public, l’autre, dressée, debout, irradiant d’énergie, simple, évidente. La sensibilité à fleur de peau, de nerf, sans poids rhétorique traverse l’énergie débordante de la musique pour émerger dans des paroles qui affirment. Il faut s’affirmer. Vivre !
Une chanson quasi inédite offerte au public du Brise Glace et deux bijoux qui présentent Clara seule sur scène, dans tout l’éventail de sa sensibilité et de sa voix.
A regarder la pochette de son album et à l’écouter, on se dit que Clara se vit comme une pièce rapportée qui doit affirmer son identité. On y lit sa filiation corse et provençale. Le Cézanne de la Sainte Victoire n’est pas loin, la sensibilité corse se retrouve dans la fierté, dans l’affirmation de soi, dans cette invitation à dormir…sans doute dans le cimetière familial à flanc de montagne. « Dors, dors… »
Et puis cette grenade prête à éclater comme une arme ou comme un sein mûr, symbole de fertilité, de fécondité.
Clara Luciani-étymologiquement « la renommée lumineuse »- chante la vie et l’amour à travers son corps, dans un parfait équilibre entre intellect et sensibilité. Ce qui lui donne cette force que ressent le public.
Mais avant, il y avait Iaross en 1° partie !
Des extra bien terrestres de la poésie, avec de la mousse rimbaldienne, de l’utopie, du rêve, des accents à la Léo Ferré, le claquement d’une fraîcheur résolument poétique, des pulsations maîtrisées qui vont crescendo, des incantations, des invocations, des trucs qui vont bien au-delà des notes et des paroles, un lamento lunaire.
Clara Luciani et Iaross, ont ouvert la scène du Brise Glace bien au-delà des murs qui la délimitent.
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