- Le travail c’est la liberté
La liberté c’est celle des autres
De là à conclure que le travail c’est celui des autres, il n’y a qu’un pas à faire - Et que des gens le franchissent.
- Plus ça va et plus je suis pénétré de la certitude que tous les autres sont des idiots et que moi seul ai raison. Quand ça ne serait que pour pouvoir parler à quelqu’un, il faut donc que je mette quelqu’un dans le coup.
- Je crois avoir moins coûté à la France que Napoléon ; et pourtant, il est beaucoup plus connu que moi.
- Le paradoxe du travail, c’est que l’on ne travaille, en fin de compte, que pour le supprimer.
Et refusant de constater honnêtement son caractère nocif, on lui accorde toutes les vertus pour masquer son côté inéluctable.
De fait, le véritable opium du peuple, c’est l’idée qu’on lui donne de son travail. Comme si le travail était autre chose qu’un moyen, transitoire, de conquête de l’univers par l’homme.
- Rendre le travail intéressant ? C’est ? Le rendre varié donc le rendre libre (impossibilité, car c’est au moment où ça cesse d’être intéressant que ça devient un travail) ; donc le supprimer.
- Le travail c’est ce qu’on ne peut pas s’arrêter de faire quand on a envie d’arrêter de le faire. Sur le plan physique ça donne une définition pas mal de la douleur.
La liberté c’est celle des autres
De là à conclure que le travail c’est celui des autres, il n’y a qu’un pas à faire - Et que des gens le franchissent.
- Plus ça va et plus je suis pénétré de la certitude que tous les autres sont des idiots et que moi seul ai raison. Quand ça ne serait que pour pouvoir parler à quelqu’un, il faut donc que je mette quelqu’un dans le coup.
- Je crois avoir moins coûté à la France que Napoléon ; et pourtant, il est beaucoup plus connu que moi.
- Le paradoxe du travail, c’est que l’on ne travaille, en fin de compte, que pour le supprimer.
Et refusant de constater honnêtement son caractère nocif, on lui accorde toutes les vertus pour masquer son côté inéluctable.
De fait, le véritable opium du peuple, c’est l’idée qu’on lui donne de son travail. Comme si le travail était autre chose qu’un moyen, transitoire, de conquête de l’univers par l’homme.
- Rendre le travail intéressant ? C’est ? Le rendre varié donc le rendre libre (impossibilité, car c’est au moment où ça cesse d’être intéressant que ça devient un travail) ; donc le supprimer.
- Le travail c’est ce qu’on ne peut pas s’arrêter de faire quand on a envie d’arrêter de le faire. Sur le plan physique ça donne une définition pas mal de la douleur.
- Lewis Mumford _ Technique et civilisation Le but de la civilisation éotechnique dans son ensemble avant la décadence du XVIII° siècle n’était pas d’accroître sa puissance mais d’intensifier la vie. »
- Vieillir, c’est substituer l’anecdote au principe. Question essentielle que se posent les jeunes et d’autres : celle de l’attitude qu’il faut avoir « dans la vie » (alors qu’on n’est pas dedans) ; la vraie question c’est « quelle vie faut-il se faire ».
- L’homme est le seul animal qui accepte de mourir pourvu qu’il en tire du plaisir (stupéfiants, etc., alcool).
- Ce qui rend l’homme heureux ou malheureux, c’est selon que l’éducation, les circonstances et l’entourage favorisent l’équilibre ou le déséquilibre de ses désirs.
- Le bonheur est la satisfaction normale de désirs équilibrés….Ne pas confondre avec les besoins…Le bonheur, c’est moral ; au physique correspondant seulement le bon état, cerveau excepté.
- Qu’est-ce que je peux faire ?
Une espèce d’éthique agissante, une po-éthique.
- Du côté de ceux qui préfèrent ce qui pourrait être.
Cette courte contribution à la réflexion sur le monde d'après vient du monde d'avant et inclut donc le monde pendant que d'aucuns cherchent à relever en rattrapant le retard.
Elle peut être enrichie par le spectacle sur Youtube de Dominique Pinon lisant le texte de Boris Vian (ci-dessus)
- Vieillir, c’est substituer l’anecdote au principe. Question essentielle que se posent les jeunes et d’autres : celle de l’attitude qu’il faut avoir « dans la vie » (alors qu’on n’est pas dedans) ; la vraie question c’est « quelle vie faut-il se faire ».
- L’homme est le seul animal qui accepte de mourir pourvu qu’il en tire du plaisir (stupéfiants, etc., alcool).
- Ce qui rend l’homme heureux ou malheureux, c’est selon que l’éducation, les circonstances et l’entourage favorisent l’équilibre ou le déséquilibre de ses désirs.
- Le bonheur est la satisfaction normale de désirs équilibrés….Ne pas confondre avec les besoins…Le bonheur, c’est moral ; au physique correspondant seulement le bon état, cerveau excepté.
- Qu’est-ce que je peux faire ?
Une espèce d’éthique agissante, une po-éthique.
- Du côté de ceux qui préfèrent ce qui pourrait être.
Cette courte contribution à la réflexion sur le monde d'après vient du monde d'avant et inclut donc le monde pendant que d'aucuns cherchent à relever en rattrapant le retard.
Elle peut être enrichie par le spectacle sur Youtube de Dominique Pinon lisant le texte de Boris Vian (ci-dessus)
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