Pour l’inauguration de la Cleantech, Denis Horeau accueille les représentants d’Annecy, du département, de la région et souligne la qualité des relations avec toutes ces structures depuis deux ans.
Chine, Finlande, Norvège, Canada vont rejoindre au fil des jours cette 2° édition. Les Comores, l’Allemagne, la Suisse, d’autres pays sont représentés par des exposants.
Chine, Finlande, Norvège, Canada vont rejoindre au fil des jours cette 2° édition. Les Comores, l’Allemagne, la Suisse, d’autres pays sont représentés par des exposants.
Mais le salon avait déjà commencé avant l’inauguration. Des scolaires, parmi les 1400 qui viendront s’initier aux technologies vertes, étaient présents hier et aussi bien Denis Horeau que Christian Monteil soulignent la qualité d’échanges qui devraient marquer pour longtemps les esprits.
Une quarantaine de conférences, des tables rondes, des finales de concours et une exposition d’art qui sait faire preuve d’humour accompagnent et font vivre ce salon qui est avant tout un lieu de rencontres, de découvertes scientifiques et humaines.
Une quarantaine de conférences, des tables rondes, des finales de concours et une exposition d’art qui sait faire preuve d’humour accompagnent et font vivre ce salon qui est avant tout un lieu de rencontres, de découvertes scientifiques et humaines.
Pour cette première journée, nous nous intéressons à deux stands.
Sur celui d’ezeeplant, Jean-Philippe Martinet nous explique :
Je suis l’un des cofondateurs d’ezeeplant qui propose une solution brevetée complètement naturelle et sans résidus de dépollution de l’air ambiant. Le principe consiste à absorber les aéro polluants, à les transformer en nutriments pour les plantes grâce à la présence de micro organismes installés dans un substrat ; le système intègre donc des plantes qui ajoutent leur présence et leur esthétique. L’ensemble relève de la biophilie.
Cette innovation est destinée à quels usagers pour l’instant ?
A des entreprises. Le dispositif est délivré sous forme de service et d’abonnement qui donne droit au changement des plantes tous les trois mois pour des raisons techniques, ce qui permet de choisir à chaque saison de nouvelles plantes, et pourquoi pas en été du thym, du laurier, du basilic….
Les plantes sont présentées dans des bacs. Il y a différents formats ?
Le dispositif est dimensionné en fonction du local à dépolluer. Ce peut être un mini jardin de 40 par 80 centimètres, qui convient pour une pièce de quarante mètres carrés, c’est-à-dire un bureau destiné à 2/3 personnes. L’ensemble est autonome, équipé d’un système d’éclairage intelligent qui permet à ces vraies plantes de pousser .Le tout ne nécessite aucun entretien.
Nous proposons aussi la solution du mur végétal qui est composé à volonté de modules, jusqu’l’assemblage de cinquante bacs et est approprié aux lieux d’accueil de volume important.
Ezeeplant conjugue la dépollution de l’air, l’autonomie du procédé à son esthétique, à la compagnie de plantes vivantes, à leur parfum et éventuellement à leurs qualités gustatives.
Quel est l’intérêt de présenter cette innovation à la CleanTech ?
Nous venons de déposer un brevet avant-hier et c’est l’occasion pour nous de communiquer sur notre produit dont la technologie est éprouvée, protégée et nous permet d’avoir une longueur d’avance en Europe.
Sur celui d’ezeeplant, Jean-Philippe Martinet nous explique :
Je suis l’un des cofondateurs d’ezeeplant qui propose une solution brevetée complètement naturelle et sans résidus de dépollution de l’air ambiant. Le principe consiste à absorber les aéro polluants, à les transformer en nutriments pour les plantes grâce à la présence de micro organismes installés dans un substrat ; le système intègre donc des plantes qui ajoutent leur présence et leur esthétique. L’ensemble relève de la biophilie.
Cette innovation est destinée à quels usagers pour l’instant ?
A des entreprises. Le dispositif est délivré sous forme de service et d’abonnement qui donne droit au changement des plantes tous les trois mois pour des raisons techniques, ce qui permet de choisir à chaque saison de nouvelles plantes, et pourquoi pas en été du thym, du laurier, du basilic….
Les plantes sont présentées dans des bacs. Il y a différents formats ?
Le dispositif est dimensionné en fonction du local à dépolluer. Ce peut être un mini jardin de 40 par 80 centimètres, qui convient pour une pièce de quarante mètres carrés, c’est-à-dire un bureau destiné à 2/3 personnes. L’ensemble est autonome, équipé d’un système d’éclairage intelligent qui permet à ces vraies plantes de pousser .Le tout ne nécessite aucun entretien.
Nous proposons aussi la solution du mur végétal qui est composé à volonté de modules, jusqu’l’assemblage de cinquante bacs et est approprié aux lieux d’accueil de volume important.
Ezeeplant conjugue la dépollution de l’air, l’autonomie du procédé à son esthétique, à la compagnie de plantes vivantes, à leur parfum et éventuellement à leurs qualités gustatives.
Quel est l’intérêt de présenter cette innovation à la CleanTech ?
Nous venons de déposer un brevet avant-hier et c’est l’occasion pour nous de communiquer sur notre produit dont la technologie est éprouvée, protégée et nous permet d’avoir une longueur d’avance en Europe.
L’un des stands à ne pas rater est celui d’Espérance III , embarcation que l’on découvre aussi bien sur l’affiche de la CleanTech qu’ à l’exposition « Cap sur le Lac » que propose le Musée-Château d’Annecy.
Renaud Veyret nous en dit quelques mots.
Les subventions départementales et régionales obtenues récemment nous permettent de vraiment lancer le projet. On passe dans la phase concrète.
C’est une drôle d’idée de reconstruire un bateau disparu de depuis plusieurs dizaines d’années.
Depuis 90 ans. Pierre Lachenal avait l’idée en tête depuis un moment mais pensait que c’était un rêve irréalisable.Les premières discussions avec des mécènes ont montré que le projet pouvait les intéresser ; d’où la création d’une association avec eux, ce qui nous a permis de lancer les premières études, de trouver un architecte naval et de mettre tout le processus en route.
C’est une entreprise qui permet de s’inspirer du passé, de le revoir avec le regard et la technologie d’aujourd’hui.
C’est exactement ça, la transition entre un patrimoine qui a existé pendant plusieurs siècles sur le lac d’Annecy avant de disparaître et qui va renaître à l’identique mais avec des procédés modernes. Un moteur électrique alimenté à l’hydrogène.
A quels usages sera destiné l’Espérance III ?
Il a une vocation patrimoniale, bien sûr, une autre pédagogique puisque nous travaillons déjà avec les élèves du collège Beauregard de Cran et que le projet fera partie des programmes de l’Education Nationale pour la Haute-Savoie. Nous souhaitons aussi que la dimension pédagogique touche toute la population et que le bateau permette d’aborder toutes les problématiques concernant l’eau, l’eau du lac dont nous avons vu le niveau baisser à l’automne dernier, l’eau en montagne. La vocation touristique nous permettra d’alimenter un budget de fonctionnement.
Sans oublier la valeur symbolique.
Elle est énorme. Les cartes postales du siècle dernier représentaient l’Espérance très souvent.
Un rappel. Le succès qu’a été l’inauguration du lieu de construction de l’Espérance III aux Forges de Cran. A cette occasion on avait pu évaluer la dimension de l’embarcation grâce au gabarit peint sur le sol.
Une fourmi de dix-huit mètres
Avec un chapeau sur la tête
Ça n’existe pas, ça n’existe pas
………………………………
Et pourquoi pas ?
Ecrivait Robert Desnos.
Un bateau de dix-huit mètres
Avec du rêve plein la tête……
Pourrait lui répondre l’équipage de l’Espérance III
Renaud Veyret nous en dit quelques mots.
Les subventions départementales et régionales obtenues récemment nous permettent de vraiment lancer le projet. On passe dans la phase concrète.
C’est une drôle d’idée de reconstruire un bateau disparu de depuis plusieurs dizaines d’années.
Depuis 90 ans. Pierre Lachenal avait l’idée en tête depuis un moment mais pensait que c’était un rêve irréalisable.Les premières discussions avec des mécènes ont montré que le projet pouvait les intéresser ; d’où la création d’une association avec eux, ce qui nous a permis de lancer les premières études, de trouver un architecte naval et de mettre tout le processus en route.
C’est une entreprise qui permet de s’inspirer du passé, de le revoir avec le regard et la technologie d’aujourd’hui.
C’est exactement ça, la transition entre un patrimoine qui a existé pendant plusieurs siècles sur le lac d’Annecy avant de disparaître et qui va renaître à l’identique mais avec des procédés modernes. Un moteur électrique alimenté à l’hydrogène.
A quels usages sera destiné l’Espérance III ?
Il a une vocation patrimoniale, bien sûr, une autre pédagogique puisque nous travaillons déjà avec les élèves du collège Beauregard de Cran et que le projet fera partie des programmes de l’Education Nationale pour la Haute-Savoie. Nous souhaitons aussi que la dimension pédagogique touche toute la population et que le bateau permette d’aborder toutes les problématiques concernant l’eau, l’eau du lac dont nous avons vu le niveau baisser à l’automne dernier, l’eau en montagne. La vocation touristique nous permettra d’alimenter un budget de fonctionnement.
Sans oublier la valeur symbolique.
Elle est énorme. Les cartes postales du siècle dernier représentaient l’Espérance très souvent.
Un rappel. Le succès qu’a été l’inauguration du lieu de construction de l’Espérance III aux Forges de Cran. A cette occasion on avait pu évaluer la dimension de l’embarcation grâce au gabarit peint sur le sol.
Une fourmi de dix-huit mètres
Avec un chapeau sur la tête
Ça n’existe pas, ça n’existe pas
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Et pourquoi pas ?
Ecrivait Robert Desnos.
Un bateau de dix-huit mètres
Avec du rêve plein la tête……
Pourrait lui répondre l’équipage de l’Espérance III
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