Venez découvrir la nouvelle exposition de la Fondation Salomon qui réunit les oeuvres uniques de 12 artistes. Nouveau volet sur l’art et la culture, Performoeurs peut se lire comme une approche ludique de la performance sportive mais aussi comme une proposition de « perforer » les mœurs, c’est-à-dire les habitudes et le regard conditionné qu’on porte sur elles quand on les remarque encore.
Cette exposition propose par exemple une séance d’escrime devant le palais de justice d’Annecy, du cheval d’arçon dans la cour du château, cheval inhabituel et désarçonnant dans ce contexte, le plongeoir de la plage d’Albigny avec atterrissage sur une cible en dur version plate forme pour hélicoptère, un coureur à pied dans un tunnel qui progresse au même rythme que lui, réflexion sur le mouvement et l’immobilité , sur le temps… . Le ping- pong , déjà présent dans le volet précédent sur le sport, semble être source d’inspiration inépuisable, de métaphores sur la communication et ses nombreux détours sous la forme d’une table circulaire avec filet mobile ici, sous celle d’un tube avec filet circulaire intérieur dans l’exposition précédente , sous la forme d’un entretien très rythmé dans Les diablogues de Roland Dubillard donnés il y a quelques années à Bonlieu par François Morel et Jacques Gamblin.
La Fondation avait proposé l’an dernier une exposition très intéressante et réussie des œuvres de Samuel Rousseau aux Haras. Il est question en 2016 d’investir de nouveau les Haras au mois de juin avec une exposition en relation avec le Festival du film d’animation.
A suivre !
Cette exposition propose par exemple une séance d’escrime devant le palais de justice d’Annecy, du cheval d’arçon dans la cour du château, cheval inhabituel et désarçonnant dans ce contexte, le plongeoir de la plage d’Albigny avec atterrissage sur une cible en dur version plate forme pour hélicoptère, un coureur à pied dans un tunnel qui progresse au même rythme que lui, réflexion sur le mouvement et l’immobilité , sur le temps… . Le ping- pong , déjà présent dans le volet précédent sur le sport, semble être source d’inspiration inépuisable, de métaphores sur la communication et ses nombreux détours sous la forme d’une table circulaire avec filet mobile ici, sous celle d’un tube avec filet circulaire intérieur dans l’exposition précédente , sous la forme d’un entretien très rythmé dans Les diablogues de Roland Dubillard donnés il y a quelques années à Bonlieu par François Morel et Jacques Gamblin.
La Fondation avait proposé l’an dernier une exposition très intéressante et réussie des œuvres de Samuel Rousseau aux Haras. Il est question en 2016 d’investir de nouveau les Haras au mois de juin avec une exposition en relation avec le Festival du film d’animation.
A suivre !
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