L'équipe du Val d'oise qui s'est inclinée en demi-finale
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La Fête du Tennis convivial dans un cadre idéal.
Toutes les Ligues de France et de Navarre étaient réunies aux Marquisats pour la phase finale.
Le principe ?
Être une femme, de 18 à…ans, non classée. Jouer en équipe de 4 ,deux simples et un double à chaque échelon du tournoi. Bonne humeur et convivialité obligatoires.
En finale les mamies Tueuses de Cannes et leur « Double Diabolique » (dixit un supporter cannois) se sont inclinées par à Paris et au team Lagardère ( Si tu ne vas pas à Lagardère ,Lagardère ira à toi…jusqu’en finale !)
Avec des équipes de 4, on retrouve l’esprit des fameux Mousquetaires « Une pour toutes, toutes pour une ».
A l’issue de ces Raquettes FFT certaines joueuses ont gagné plus que d’autres mais toutes ont gagné en souvenirs partagés.
Toutes les Ligues de France et de Navarre étaient réunies aux Marquisats pour la phase finale.
Le principe ?
Être une femme, de 18 à…ans, non classée. Jouer en équipe de 4 ,deux simples et un double à chaque échelon du tournoi. Bonne humeur et convivialité obligatoires.
En finale les mamies Tueuses de Cannes et leur « Double Diabolique » (dixit un supporter cannois) se sont inclinées par à Paris et au team Lagardère ( Si tu ne vas pas à Lagardère ,Lagardère ira à toi…jusqu’en finale !)
Avec des équipes de 4, on retrouve l’esprit des fameux Mousquetaires « Une pour toutes, toutes pour une ».
A l’issue de ces Raquettes FFT certaines joueuses ont gagné plus que d’autres mais toutes ont gagné en souvenirs partagés.
Cyril Duret et Robert Fudala, président et secrétaire général d'Annecy Tennis avec Bernard Giudicelli
Move-On a profité des Raquettes FFT pour s'entretenir avec Bernard Giudicelli, Président de la Fédération.
Bernard Giudicelli, vous êtes président de la Fédération Française de Tennis depuis quelques mois. Il est très agréable de vous voir à ce genre de manifestation. L’incitation à jouer au tennis n’est pas qu’une publicité pendant Rolland Garros.
Non, effectivement. Les Raquettes FFT s’enracinent dans les territoires, dans les clubs, dans les départements, dans les ligues. Aujourd’hui, c’est leur Rolland Garros. Il y a de la passion, de l’enthousiasme. Regardez, le plaisir et la passion sont là ! Par ma présence, je veux témoigner de mon attachement à notre action et pour cela il n’y a rien de mieux que de dire bonjour aux gens, d’être près d’eux.
On voit que c’est vrai, vécu !
D’autant plus que c’est mon club, Bastia, qui joue devant nous en ce moment !
Vous avez eu le temps de vous installer à la tête de la Fédération, quelles vont être vos axes de travail, vos priorités pour le tennis français ?
La priorité est la transformation digitale, celle de tous les outils de communication, de gestion. La licence va être en version digitale pour permettre à chacun de pratiquer son tennis, de constituer sa communauté de tennis dans son club ou même à travers plusieurs clubs et de donner à chacun la possibilité de communiquer, d’échanger et aux clubs de mieux coordonner leurs actions internes et externes, et enfin pour permettre aux enseignants professionnels d’avoir de meilleurs outils d’animation. Le tennis est un voyage et on doit s’inspirer de ce que font aujourd’hui tous les voyagistes. Quand on réserve un court de tennis, on doit pouvoir trouver un partenaire. Mettre le tennis au bout des doigts, donc. L’autre priorité est la transformation sportive de notre organisation avec le programme Agir et Gagner et l’enracinement de la formation des jeunes dans les régions. On va partir dans les tournois internationaux depuis les ligues, en zappant l’étape nationale. La Fédération se réorganise en 13 ligues métropolitaines et 5 d’Outremer ; chacune d’entre elles doit amener ses meilleurs jeunes à l’international, sur des tournois étrangers pour pouvoir très rapidement acquérir une nouvelle culture.
Pour les Raquettes FTT, ce sera encore Annecy l’an prochain. Vous y êtes bien ?
Oui, on y est bien .C’est de la terre battue, l’ADN de notre Fédération. Il faut signaler aussi les conditions d’accueil, d’espace.
Ces conditions contribuent au succès et au côté convivial de la rencontre.
Absolument. Les filles ne disent pas « On va aux finales des Raquettes » mais « On va à Annecy. » Quand un lieu imprime comme ça l’esprit des joueuses, il démontre toute son efficacité et sa cohérence.
Bernard Giudicelli, vous êtes président de la Fédération Française de Tennis depuis quelques mois. Il est très agréable de vous voir à ce genre de manifestation. L’incitation à jouer au tennis n’est pas qu’une publicité pendant Rolland Garros.
Non, effectivement. Les Raquettes FFT s’enracinent dans les territoires, dans les clubs, dans les départements, dans les ligues. Aujourd’hui, c’est leur Rolland Garros. Il y a de la passion, de l’enthousiasme. Regardez, le plaisir et la passion sont là ! Par ma présence, je veux témoigner de mon attachement à notre action et pour cela il n’y a rien de mieux que de dire bonjour aux gens, d’être près d’eux.
On voit que c’est vrai, vécu !
D’autant plus que c’est mon club, Bastia, qui joue devant nous en ce moment !
Vous avez eu le temps de vous installer à la tête de la Fédération, quelles vont être vos axes de travail, vos priorités pour le tennis français ?
La priorité est la transformation digitale, celle de tous les outils de communication, de gestion. La licence va être en version digitale pour permettre à chacun de pratiquer son tennis, de constituer sa communauté de tennis dans son club ou même à travers plusieurs clubs et de donner à chacun la possibilité de communiquer, d’échanger et aux clubs de mieux coordonner leurs actions internes et externes, et enfin pour permettre aux enseignants professionnels d’avoir de meilleurs outils d’animation. Le tennis est un voyage et on doit s’inspirer de ce que font aujourd’hui tous les voyagistes. Quand on réserve un court de tennis, on doit pouvoir trouver un partenaire. Mettre le tennis au bout des doigts, donc. L’autre priorité est la transformation sportive de notre organisation avec le programme Agir et Gagner et l’enracinement de la formation des jeunes dans les régions. On va partir dans les tournois internationaux depuis les ligues, en zappant l’étape nationale. La Fédération se réorganise en 13 ligues métropolitaines et 5 d’Outremer ; chacune d’entre elles doit amener ses meilleurs jeunes à l’international, sur des tournois étrangers pour pouvoir très rapidement acquérir une nouvelle culture.
Pour les Raquettes FTT, ce sera encore Annecy l’an prochain. Vous y êtes bien ?
Oui, on y est bien .C’est de la terre battue, l’ADN de notre Fédération. Il faut signaler aussi les conditions d’accueil, d’espace.
Ces conditions contribuent au succès et au côté convivial de la rencontre.
Absolument. Les filles ne disent pas « On va aux finales des Raquettes » mais « On va à Annecy. » Quand un lieu imprime comme ça l’esprit des joueuses, il démontre toute son efficacité et sa cohérence.
Il n'y avait pas que du tennis
Fabien Boudet, en charge du développement de la pratique du tennis au sein de la FFT nous explique l’esprit des Raquettes FFT.
L’esprit des « Raquettes FFT » est d’amener des dames à la compétition de tennis. Parmi les joueuses, certaines ont commencé le tennis il y a six mois, un an, d’autres jouent depuis dix ans, mettent la balle où elles veulent sans forcément avoir le geste parfait, mais aucune ne joue en compétition donc elles ne sont pas classées. Il s’agit donc de les amener à la compétition traditionnelle par le biais de compétition plus conviviales.
On voit qu’à l’évidence il s’agit de partager un moment dans la bonne humeur.
Cette compétition n’est pas homologuée pour que les participantes soient plus détendues mais en réalité il y a la pression de l’équipe et elles sont tendues.
Il faut donc dédramatiser la compétition.
Tout à fait. Avec ce côté convivial, par équipes, avec des balles intermédiaires qui permettent plus d’échanges. Il faut ajouter qu’elles sont accueillies pour ce tournoi un peu comme des pros.
Le choix d’Annecy s’est fait comment ?
A la suite d’un appel d’offre. La ligue Dauphiné/Savoie était candidate et le choix s’est porté sur Annecy qui accueillera de nouveau ce tournoi l’an prochain. Ici vous assistez à la phase finale, mais les Raquettes FFT ont commencé en février avec les phases clubs, départementales, ligues ensuite.
Les Raquettes FFT existent depuis vingt ans et sont vraiment ancrées dans le paysage du tennis loisir et des compétitions conviviales.