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Vous participez à la rédaction de La Gazette du Festival du Cinéma Italien depuis plusieurs jours. Là, vous rédigez le dernier numéro. Quelles impressions garderez-vous de cette expérience ?
Harmonie _ Moi, ça me passionne. C’est très enrichissant parce qu’on fait plein de choses différentes. On a aussi un vrai travail d’écriture qui nous aidera pour les années à venir. Il y a les interviews, les critiques de films. Ce qui m’a le plus marquée, c’est la rencontre avec les personnes du festival qui nous ont accueillis, avec les réalisateurs. Les rencontres et l’esprit d’équipe entre nous.
Camille_ C’est ma rencontre avec Massimilianio De Serio , le réalisateur de I Ricordi del Fiume. J’ai eu la chance de le rencontrer à deux reprises. C’est un homme très touchant, très spontané, quelqu’un de super, vraiment. Une expérience personnelle, qui relève de l’émotion.
Théo_ Pour moi, ce sont aussi les rencontres, comme avec Marco Danieli, le réalisateur de La Ragazza del Mondo, qui a été primé par le Jury Jeunes. Le cinéma est une passion et quand on est dedans, quand on a la chance de participer à un festival, d’être impliqué, c’est super.
Harmonie_ C’est une situation privilégiée qui donne un autre regard.
Camille_ J’ai l’impression qu’on fait ça depuis le début de l’année. On a un peu créé notre monde à nous.
Ça va créer des vocations ?
Harmonie_ Je me suis découvert une passion pour le journalisme.
Camille_ Et moi pour l’écriture.
Harmonie, Camille et Théo se replongent dans la rédaction de La Gazette pour ce dernier numéro. Quelques instants plus tard, ils sont partis en reportage avec leurs camarades.
Ludovic Trautmann, c’est une façon originale d’aborder une nouvelle année scolaire.
Il y a trois semaines les lycéens ne se connaissaient pas et il a fallu former une équipe cohérente pour couvrir tous les événements du festival, voir les films, c’est très intense et ça permet de créer vraiment une vie de classe pour les deux prochaines années. Une excellente base de départ. Le format d’un festival les plonge dans une sorte de bulle que recherchent tous les spectateurs. C’est aussi une façon de montrer aux élèves que la théorie vue en cours a une application très directe sur la vie concrète. Pour faire un journal il faut voir, réfléchir, écrire, argumenter, c’est la synthèse parfaite.
[Une autre équipe prendra le relais pour le Festival du Cinéma Espagnol]
Harmonie _ Moi, ça me passionne. C’est très enrichissant parce qu’on fait plein de choses différentes. On a aussi un vrai travail d’écriture qui nous aidera pour les années à venir. Il y a les interviews, les critiques de films. Ce qui m’a le plus marquée, c’est la rencontre avec les personnes du festival qui nous ont accueillis, avec les réalisateurs. Les rencontres et l’esprit d’équipe entre nous.
Camille_ C’est ma rencontre avec Massimilianio De Serio , le réalisateur de I Ricordi del Fiume. J’ai eu la chance de le rencontrer à deux reprises. C’est un homme très touchant, très spontané, quelqu’un de super, vraiment. Une expérience personnelle, qui relève de l’émotion.
Théo_ Pour moi, ce sont aussi les rencontres, comme avec Marco Danieli, le réalisateur de La Ragazza del Mondo, qui a été primé par le Jury Jeunes. Le cinéma est une passion et quand on est dedans, quand on a la chance de participer à un festival, d’être impliqué, c’est super.
Harmonie_ C’est une situation privilégiée qui donne un autre regard.
Camille_ J’ai l’impression qu’on fait ça depuis le début de l’année. On a un peu créé notre monde à nous.
Ça va créer des vocations ?
Harmonie_ Je me suis découvert une passion pour le journalisme.
Camille_ Et moi pour l’écriture.
Harmonie, Camille et Théo se replongent dans la rédaction de La Gazette pour ce dernier numéro. Quelques instants plus tard, ils sont partis en reportage avec leurs camarades.
Ludovic Trautmann, c’est une façon originale d’aborder une nouvelle année scolaire.
Il y a trois semaines les lycéens ne se connaissaient pas et il a fallu former une équipe cohérente pour couvrir tous les événements du festival, voir les films, c’est très intense et ça permet de créer vraiment une vie de classe pour les deux prochaines années. Une excellente base de départ. Le format d’un festival les plonge dans une sorte de bulle que recherchent tous les spectateurs. C’est aussi une façon de montrer aux élèves que la théorie vue en cours a une application très directe sur la vie concrète. Pour faire un journal il faut voir, réfléchir, écrire, argumenter, c’est la synthèse parfaite.
[Une autre équipe prendra le relais pour le Festival du Cinéma Espagnol]