Avant la projection de son film « Des vacances monstrueuses », Genndy Tartakovsky déclarait sur scène qu’il a un cerveau spécial animation.
On confirme ! Après avoir passé 1h30 dans son cerveau grâce à son film, on peut se demander comment il fait pour y tenir 24h/24.
Ça tourbillonne, ça n’arrête pas une seconde. L’humour est permanent, à travers l’image, les mots, les situations, le rythme, les voix des personnages.
L’évidence et l’intérêt du cinéma d’animation sautent aux yeux, aux oreilles et au cerveau ainsi qu’aux zygomatiques sans aucune déperdition, amplifiés par la caricature, la démesure.
Le tourbillon d’animation passe à la moulinette Tex Avery, Indiana Jones, l’Atlantide et les être séparés qui cherchent leur moitié de Platon, le triangle des Bermudes, Saint Sébastien percé de flèches, « En terre inconnue » de Frédéric Lopez, Romeo et Juliette, les duels de sorciers sous forme de battle de DJ sur fond de « Don’t worry, Be Happy » ou sur la Macarena comme air le plus lobotomisant…
Et on ressort de la projection totalement, irrépressiblement, supérieurement « zingué », ce qui, dans la langue draculienne imaginée par Genny, signifie « sous le charme d’un coup de foudre. »
Le cerveau de Genny Tartakovsky est particulièrement animé, il pétille d’humour, d’inventivité et de bonne humeur pour délivrer au public un message humaniste « Nous sommes tous pareils. »
Ce qui n’est pas rassurant. Serions-nous tous des monstres (avides de vacances) ?
On confirme ! Après avoir passé 1h30 dans son cerveau grâce à son film, on peut se demander comment il fait pour y tenir 24h/24.
Ça tourbillonne, ça n’arrête pas une seconde. L’humour est permanent, à travers l’image, les mots, les situations, le rythme, les voix des personnages.
L’évidence et l’intérêt du cinéma d’animation sautent aux yeux, aux oreilles et au cerveau ainsi qu’aux zygomatiques sans aucune déperdition, amplifiés par la caricature, la démesure.
Le tourbillon d’animation passe à la moulinette Tex Avery, Indiana Jones, l’Atlantide et les être séparés qui cherchent leur moitié de Platon, le triangle des Bermudes, Saint Sébastien percé de flèches, « En terre inconnue » de Frédéric Lopez, Romeo et Juliette, les duels de sorciers sous forme de battle de DJ sur fond de « Don’t worry, Be Happy » ou sur la Macarena comme air le plus lobotomisant…
Et on ressort de la projection totalement, irrépressiblement, supérieurement « zingué », ce qui, dans la langue draculienne imaginée par Genny, signifie « sous le charme d’un coup de foudre. »
Le cerveau de Genny Tartakovsky est particulièrement animé, il pétille d’humour, d’inventivité et de bonne humeur pour délivrer au public un message humaniste « Nous sommes tous pareils. »
Ce qui n’est pas rassurant. Serions-nous tous des monstres (avides de vacances) ?
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