Cette année, nous avons été, tout sauf raisonnables dans la préparation de notre manifestation puisque 20 films ont été retenus, une première depuis sa création !... avec, comme cerise sur le gâteau, accompagnée en direct au piano, une petite perle en noir et blanc, venue d’Équateur, conservée dans son écrin d’origine de 1922 et offerte par l’Ambassadrice de ce pays qui sera
présente à la projection de la Turbine le 29 mars. Et cette passion qui nous anime, nous organisateurs, nous vous la transmettrons, chers spectateurs, vous pouvez en être sûrs. Car nous vous promettons, une fois de plus, de belles émotions, de celles qui nous font nous sentir bien vivants. Car le cinéma, c’est d’abord ça.
Avant tout, vous ressentirez la joie de redécouvrir le charme de la comédie hispano, qui fait cette année son grand retour pour cette14ème édition, balayant ainsi l’idée reçue selon laquelle le cinéma des IHA ne serait que sombre et torturé.
Cochez donc sur votre agenda les dates des projections de ces trois sorties nationales, drôles et tendres et vos zygomatiques vous en remercieront : Miobra maestra, dirigé par Gastón Duprat, un habitué de notre manifestation, Sergio et Sergei, film cubain de Ernesto Daranas, et Elamor menos pensado de Juan Vera. A coup sûr, ces comédies vous séduiront, surtout si je vous annonce que dans le dernier cité, le beau et ténébreux Ricardo Darín y incarne un homme dont la vie de couple s’enlise dans les affres du temps et sur laquelle planent les menaces du désamour.
La colère vous envahira également en voyant le magnifique documentaire argentin de Fernando Solanas, Le grain et l’ivraie, dénonçant l’utilisation néfaste du glyphosate sur l’environnement et les populations. Le réalisateur, qui nous fera l’honneur d’être parmi nous à La Turbine le 1er avril, dialoguera avec le public et nous expliquera les raisons de son nouveau combat.
présente à la projection de la Turbine le 29 mars. Et cette passion qui nous anime, nous organisateurs, nous vous la transmettrons, chers spectateurs, vous pouvez en être sûrs. Car nous vous promettons, une fois de plus, de belles émotions, de celles qui nous font nous sentir bien vivants. Car le cinéma, c’est d’abord ça.
Avant tout, vous ressentirez la joie de redécouvrir le charme de la comédie hispano, qui fait cette année son grand retour pour cette14ème édition, balayant ainsi l’idée reçue selon laquelle le cinéma des IHA ne serait que sombre et torturé.
Cochez donc sur votre agenda les dates des projections de ces trois sorties nationales, drôles et tendres et vos zygomatiques vous en remercieront : Miobra maestra, dirigé par Gastón Duprat, un habitué de notre manifestation, Sergio et Sergei, film cubain de Ernesto Daranas, et Elamor menos pensado de Juan Vera. A coup sûr, ces comédies vous séduiront, surtout si je vous annonce que dans le dernier cité, le beau et ténébreux Ricardo Darín y incarne un homme dont la vie de couple s’enlise dans les affres du temps et sur laquelle planent les menaces du désamour.
La colère vous envahira également en voyant le magnifique documentaire argentin de Fernando Solanas, Le grain et l’ivraie, dénonçant l’utilisation néfaste du glyphosate sur l’environnement et les populations. Le réalisateur, qui nous fera l’honneur d’être parmi nous à La Turbine le 1er avril, dialoguera avec le public et nous expliquera les raisons de son nouveau combat.
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Puis, la tristesse et sans doute aussi la révolte vous gagneront si vous suivez l’itinéraire de ces femmes vénézuéliennes (Femmes du chaos vénézuélien), piégées dans la crise économique de leur pays, survivant à un quotidien qui laisse bien peu d’espoir et très peu de lumière régénératrice. Sa réalisatrice, qui viendra exceptionnellement vous rencontrer, ne manquera pas d’évoquer avec son public l’actualité de ce pays déchiré qui fait la une aujourd’hui de tous nos journaux.
Quelques frissons de peur parcourront ensuite votre échine si vous vous asseyez paisiblement dans votre fauteuil pour découvrir L’Ange, pas si angélique que son minois pubère le laisse penser ou cet homme glacial dans Rojo incarné par le remarquable Dario Grandinetti (Relatos salvajes) au coeur d’une Argentine d’avant la dictature des généraux.
Enfin la surprise vous attendra à chaque séance, à chaque film, où intervenants passionnés et réalisateurs talentueux vous écouteront et décrypteront avec vous les images, ou partageront l’émotion de l’instant, la vôtre, la plus belle.
Luc Rodriguez
Président ADCH
Quelques frissons de peur parcourront ensuite votre échine si vous vous asseyez paisiblement dans votre fauteuil pour découvrir L’Ange, pas si angélique que son minois pubère le laisse penser ou cet homme glacial dans Rojo incarné par le remarquable Dario Grandinetti (Relatos salvajes) au coeur d’une Argentine d’avant la dictature des généraux.
Enfin la surprise vous attendra à chaque séance, à chaque film, où intervenants passionnés et réalisateurs talentueux vous écouteront et décrypteront avec vous les images, ou partageront l’émotion de l’instant, la vôtre, la plus belle.
Luc Rodriguez
Président ADCH