En résonance avec la Biennale de Lyon, Imagespassages nous invite à une déambulation entre les productions de huit artistes qui déstructurent notre vision du paysage pour en reconstituer huit et plus, l’ensemble des œuvres créant au moins un paysage supplémentaire. Le mouvement des videos et du son fait de l’exposition un paysage en perpétuelle réinvention et nous invite à revivre différemment notre relation aux paysages naturels, sonores, visuels, humains, culturels, entraînant une relecture en profondeur de nous-mêmes.
Les œuvres d’Emmanuel Tussore, de Bertille Bak, de Miguel Arzabe, d’Eva L’Hoest, de Philippe Astorg, d’Isabelle Hayeur, de Marco Avila Forero et de Julie Kieffer, les relations entre elles et avec le spectateur tissent avec la notion de paysage un faisceau de correspondances et de résonances qui nous fait prendre conscience que la conversation est permanente : nous créons le paysage, qui nous crée en retour, que nous recréons…en une narration infinie qu’illustre parfaitement « Sirènes » d’Emmanuel Tussore.
Cette video tournée au Sénégal montre l’envers du « décor » habituel : aux sempiternels reportages sur l’arrivée des migrants, elle substitue une projection poétique et quasi mythologique de leur départ. On les voit partir, partir et disparaître en même temps que continue leur dissolution et celle de leurs espoirs dans l’océan. Nous devenons, d’une certaine manière, des migrants nous aussi.
Les œuvres d’Emmanuel Tussore, de Bertille Bak, de Miguel Arzabe, d’Eva L’Hoest, de Philippe Astorg, d’Isabelle Hayeur, de Marco Avila Forero et de Julie Kieffer, les relations entre elles et avec le spectateur tissent avec la notion de paysage un faisceau de correspondances et de résonances qui nous fait prendre conscience que la conversation est permanente : nous créons le paysage, qui nous crée en retour, que nous recréons…en une narration infinie qu’illustre parfaitement « Sirènes » d’Emmanuel Tussore.
Cette video tournée au Sénégal montre l’envers du « décor » habituel : aux sempiternels reportages sur l’arrivée des migrants, elle substitue une projection poétique et quasi mythologique de leur départ. On les voit partir, partir et disparaître en même temps que continue leur dissolution et celle de leurs espoirs dans l’océan. Nous devenons, d’une certaine manière, des migrants nous aussi.
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EXPOSITION
"Dé.payser"
Commissariat : Annie Aguettaz
A l'Arteppes - espace d'art contemporain
Place des Rhododendrons.Annecy
Du 12/9 au 17/10
Infos pratiques
Entrée libre
Du lundi au vendredi de 10h à 12h & de 14h à 17h30
Le samedi de 10 à 12h
"Dé.payser"
Commissariat : Annie Aguettaz
A l'Arteppes - espace d'art contemporain
Place des Rhododendrons.Annecy
Du 12/9 au 17/10
Infos pratiques
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Du lundi au vendredi de 10h à 12h & de 14h à 17h30
Le samedi de 10 à 12h