Minions ! Minions !
Assister à la toute avant avant première mondiale ! Faire partie des mille privilégiés ! Bon, ça se mérite. Les réservations ressemblent à la ruée vers l’or. Le doigt sur le déclic et en trois minutes plus de places ! Dire qu’on a dû surveiller les écrans à partir de dizaines de pays ! Tous en même temps. La planète était à l’heure d’Annecy.
Enfin le Jour J ! Endosser le costume du festivalier : doc floquée, badge autour du cou. Là , tu comprends que tu fais partie du clan. On se repère, même dégaine de graphiste, cheveux en pétard… Et puis, la salle, c’est la cour de récré, ça gueule, on fait des passes avec des ballons, on envoie, bien sûr, des avions en papier jusque sur la scène… J’ai soudain douze ans et je joue avec la gamine du rang de devant.
C’est une avant première, alors on ne va pas dévoiler, mais le public a été emballé, emporté. Action, surprises, rebondissements, rythme en permanence, dans tous les sens. On passe des années 80 avec un méchant qui combat en battle dance à la nouvelle génération. L’image s’appuie sur des musiques qui lui donnent un sacré rythme, comme Mickel Jackson dès le départ. On remue la tête en cadence pour rire, poursuivre les cascades et les rebondissements. Les Minions s’en prennent plein la tronche et on aime ça. Mais il y a aussi une histoire d’amour entre eux et avec eux.
Ce 3° volet de la trilogie est à la hauteur des précédents. A recommander à tous, aux enfants et aussi aux adultes qui veulent retomber en enfance !
Assister à la toute avant avant première mondiale ! Faire partie des mille privilégiés ! Bon, ça se mérite. Les réservations ressemblent à la ruée vers l’or. Le doigt sur le déclic et en trois minutes plus de places ! Dire qu’on a dû surveiller les écrans à partir de dizaines de pays ! Tous en même temps. La planète était à l’heure d’Annecy.
Enfin le Jour J ! Endosser le costume du festivalier : doc floquée, badge autour du cou. Là , tu comprends que tu fais partie du clan. On se repère, même dégaine de graphiste, cheveux en pétard… Et puis, la salle, c’est la cour de récré, ça gueule, on fait des passes avec des ballons, on envoie, bien sûr, des avions en papier jusque sur la scène… J’ai soudain douze ans et je joue avec la gamine du rang de devant.
C’est une avant première, alors on ne va pas dévoiler, mais le public a été emballé, emporté. Action, surprises, rebondissements, rythme en permanence, dans tous les sens. On passe des années 80 avec un méchant qui combat en battle dance à la nouvelle génération. L’image s’appuie sur des musiques qui lui donnent un sacré rythme, comme Mickel Jackson dès le départ. On remue la tête en cadence pour rire, poursuivre les cascades et les rebondissements. Les Minions s’en prennent plein la tronche et on aime ça. Mais il y a aussi une histoire d’amour entre eux et avec eux.
Ce 3° volet de la trilogie est à la hauteur des précédents. A recommander à tous, aux enfants et aussi aux adultes qui veulent retomber en enfance !
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