Tournoi des Petits Princes. Annecy
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À partir du 25 juillet 2017, le Tournoi des Petits Princes en sera à sa 30ème édition. L’occasion de rappeler quelques souvenirs glanés au fil des années.
L’atmosphère des qualifications, les casquettes vissées à l’envers sur la tête, l’énergie. Le papier glacé du programme, le palmarès prestigieux, le tableau des résultats, les conversations dans toutes les langues.
Les oppositions de style avec le défenseur qui gagne le plus souvent, la hargne du petit contre la puissance du grand. Les parents, les coaches et les équipes qui soutiennent leur poulain. La déception vite surmontée en cas de défaite parce que les joueurs sont déjà des compétiteurs tournés vers le prochain tournoi.
Cédrick Commin alors classé 15, envoyant de grandes tartines en coup droit avec une aisance déconcertante lors de la finale contre Karl Sahyoun. Johan Tatlot perdant en trois sets contre Maxime Janvier mais chatouillant les lignes des carrés de service avec ses coups droits croisés. Un roc, ce Johan ! Lucas Pouille encore inconnu, avec sa tenue jaune fluo et son coup droit ravageur qui le mène en quart de finale….
Cette discussion passionnée avec ce monsieur de 80 ans alors, qui s’était mis au tennis très tard et avait remporté Roland Garros en vétérans. Il ne jouait plus qu’avec des jeunes femmes classées 15 au mieux . A 80 ans!
En 2016, Tom Paris avait été un peu malmené à un moment de la finale avant de l’emporter.
Comme nous demandions à sa mère si une place en finale ne constituait pas déjà un exploit, la réponse fusa « Il est venu pour gagner ! »
Par-delà tous les vainqueurs, c’est chaque année le Tournoi des Petits Princes qui l’emporte et nous offre des souvenirs.
L’atmosphère des qualifications, les casquettes vissées à l’envers sur la tête, l’énergie. Le papier glacé du programme, le palmarès prestigieux, le tableau des résultats, les conversations dans toutes les langues.
Les oppositions de style avec le défenseur qui gagne le plus souvent, la hargne du petit contre la puissance du grand. Les parents, les coaches et les équipes qui soutiennent leur poulain. La déception vite surmontée en cas de défaite parce que les joueurs sont déjà des compétiteurs tournés vers le prochain tournoi.
Cédrick Commin alors classé 15, envoyant de grandes tartines en coup droit avec une aisance déconcertante lors de la finale contre Karl Sahyoun. Johan Tatlot perdant en trois sets contre Maxime Janvier mais chatouillant les lignes des carrés de service avec ses coups droits croisés. Un roc, ce Johan ! Lucas Pouille encore inconnu, avec sa tenue jaune fluo et son coup droit ravageur qui le mène en quart de finale….
Cette discussion passionnée avec ce monsieur de 80 ans alors, qui s’était mis au tennis très tard et avait remporté Roland Garros en vétérans. Il ne jouait plus qu’avec des jeunes femmes classées 15 au mieux . A 80 ans!
En 2016, Tom Paris avait été un peu malmené à un moment de la finale avant de l’emporter.
Comme nous demandions à sa mère si une place en finale ne constituait pas déjà un exploit, la réponse fusa « Il est venu pour gagner ! »
Par-delà tous les vainqueurs, c’est chaque année le Tournoi des Petits Princes qui l’emporte et nous offre des souvenirs.