Stacey Kent dédicace son dernier album avec un mot agréable pour chacun ©Paul Rassat
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L’impression que Stacey Kent ouvre délicatement devant le public le cadeau qu’elle lui offre.
Et comme, à travers les réseaux sociaux, ses fans la suivent et lui font part de leurs attentes, le cadeau est nostalgique, doux, empreint de références, de souvenirs, Brel, Legrand, Gainsbourg, on les reconnaît, bien sûr, mais revus, réinterprétés.
Parfois beaucoup de dentelles dans l’habillage musical. La force de Stacey Kent nous saisit davantage quand elle semble se laisser aller, quand le cœur rejoint réellement la voix, pour ouvrir toute une gamme d’émotions, et propose la même richesse qu’un parfum avec ses notes de tête (précision), de cœur (douceur) et de fond (nostalgie subtile).
Quand Stacey chante « I’am lucky with you … » son mari lui répond au saxo : drôle de couple !
Le « Jardin d’hiver » , que chantait Henry Salvador, clôt le concert en annonçant le printemps.
L’une des grandes supériorités de la musique sur le théâtre est que la première permet de faire participer le public en l’invitant à fredonner un motif comme le fait si bien Stacey Kent, alors qu’il est impossible de reprendre en cœur du Racine ou du Molière. Du Corneille, peut-être ?
La politique devrait être chantée.
Et comme, à travers les réseaux sociaux, ses fans la suivent et lui font part de leurs attentes, le cadeau est nostalgique, doux, empreint de références, de souvenirs, Brel, Legrand, Gainsbourg, on les reconnaît, bien sûr, mais revus, réinterprétés.
Parfois beaucoup de dentelles dans l’habillage musical. La force de Stacey Kent nous saisit davantage quand elle semble se laisser aller, quand le cœur rejoint réellement la voix, pour ouvrir toute une gamme d’émotions, et propose la même richesse qu’un parfum avec ses notes de tête (précision), de cœur (douceur) et de fond (nostalgie subtile).
Quand Stacey chante « I’am lucky with you … » son mari lui répond au saxo : drôle de couple !
Le « Jardin d’hiver » , que chantait Henry Salvador, clôt le concert en annonçant le printemps.
L’une des grandes supériorités de la musique sur le théâtre est que la première permet de faire participer le public en l’invitant à fredonner un motif comme le fait si bien Stacey Kent, alors qu’il est impossible de reprendre en cœur du Racine ou du Molière. Du Corneille, peut-être ?
La politique devrait être chantée.