Eh oui, le mot anglais coach vient du mot français coche, qui signifie voiture. En sport, on a un coach ; dans la vie de tous les jours on recourt de plus en plus à un coach : on parle de coaching. Mais ce coach dont le rôle est de guider et de motiver n’a-t-il pas, de temps à autre, besoin d’un aiguillon ? D’où l’expression « la mouche du coach ». Notre ami La Fontaine était bien un précurseur en matière de management.
Soyez modestement ambitieux. Recrutez-vous vous-même, ayez confiance en vous. Et soyez quand il le faut votre propre mouche du coach.
Jean-François Revel prétendait que les bons professeurs forment des élèves autodidactes.
Être autodidacte de sa propre vie, penser comme Pierre Soulages
Échapper à la prédestination, inventer sa vie sans vouloir la restreindre à ce qui est évaluable contre monnaie, succès construit…
Ne pas se contenter d’acheter des points pour sa retraite comme on gagnait autrefois des bons points à l’école, infantilisation permanente qui apparaît dans le mot « pédagogie ».
Alors que d’aucuns dénoncent l’assistanat dont bénéficierait une partie de la population, certains élus sont mis en examen pour profusion confuse d’assistanat !
Il arrive parfois que le coach prenne la mouche ; on ne peut pas pour autant le qualifier de tapette à mouche.Nous avons donc tous besoin d’un coach. Le plus simple est d’être le vôtre. Ne faites aucun complexe, vous y arriverez très bien, coach, gourou, mentor, conseiller, entraîneur… le choix est vaste.
Soyez modestement ambitieux. Recrutez-vous vous-même, ayez confiance en vous. Et soyez quand il le faut votre propre mouche du coach.
Jean-François Revel prétendait que les bons professeurs forment des élèves autodidactes.
Être autodidacte de sa propre vie, penser comme Pierre Soulages
« C’est ce que je fais qui m’apprend ce que je cherche ».
Échapper à la prédestination, inventer sa vie sans vouloir la restreindre à ce qui est évaluable contre monnaie, succès construit…
Ne pas se contenter d’acheter des points pour sa retraite comme on gagnait autrefois des bons points à l’école, infantilisation permanente qui apparaît dans le mot « pédagogie ».
« Notre erreur est d'avoir probablement été trop intelligents, trop subtils... » a pu reconnaître un Gilles à ne pas confondre avec un autre Gille, personnage de carnaval.Rappelons que la pédagogie s’adresse aux enfants et qu’il existe un autre mot concernant les adultes.
Alors que d’aucuns dénoncent l’assistanat dont bénéficierait une partie de la population, certains élus sont mis en examen pour profusion confuse d’assistanat !
Articles similaires...
-
La Fan Zone de l'Hôtel de Ville de Paris : Quoi Faire Cette Semaine Du 6 Au 11 Août 2024
-
Colonie de Vacances Surf : Un Paradis pour les jeunes aventuriers
-
L'été 2024 : Les Tendances Mode Qui Feront Craquer Tous les Passionnés de Style
-
Organiser un événement culturel cet été : quelles sont les grandes étapes pour un événement réussi ?
-
Quoi Faire Pendant Le Fête De La Musique à Paris
Alors que certains souffrent de maux de tête et d’allergie que provoquerait le luxe gastronomique, d’autres conseillent au quidam de traverser la rue pour trouver du boulot, méconnaissant ainsi les difficultés du peuple de la campagne dans laquelle les rues sont rares.
Face à l’ordre confus qui tend à s’imposer, devenez des autodidactes de votre propre vie, adoptez la "pensée hypothétique" prônée par Denis Guedj dans "La gratuité ne vaut plus rien" afin d’échapper à l’emprise des chiffres et de la "réalité" qu’imposent ceux à qui cette vision profite.
Cette dimension autodidacte, Move-On Magazine la rencontre auprès de ses interlocuteurs les plus passionnants.
L’un de nos derniers articles traite du livre « La faute de l’orthographe ». Livre intéressant qui montre à quel point l’orthographe française est volonté de pouvoir davantage qu’outil de connaissance.
Pour Nietzsche, la bêtise est nécessaire à l’apprentissage, elle fait partie de cette répétition que privilégient beaucoup ; l’intelligence est l’effort produit pour échapper à cette bêtise et créer sa propre méthode, sa personnalité, le sens de sa vie.
Voilà ce que nous entendons par "être autodidacte".
« Sous les pavés la plage » lisait-on en 68.« Sous la grève des espoirs » pourrait-on entendre aujourd’hui, après avoir enfin découvert ces mois derniers à quoi servent réellement les ronds points.
Face à l’ordre confus qui tend à s’imposer, devenez des autodidactes de votre propre vie, adoptez la "pensée hypothétique" prônée par Denis Guedj dans "La gratuité ne vaut plus rien" afin d’échapper à l’emprise des chiffres et de la "réalité" qu’imposent ceux à qui cette vision profite.
Cette dimension autodidacte, Move-On Magazine la rencontre auprès de ses interlocuteurs les plus passionnants.
- L’école MeeO d’Annecy-le-Vieux, qui accueille des enfants et adolescents "différents"
- Weden, le paradis du bois, qui invente son parcours
- Jacques Villeglé
- Hugo Roux en matière de théâtre, jeune metteur en scène… de théâtre, de la vie ?
- La famille de Lou-Ann, qui s’invente en voyageant pour échapper aux impasses de l’éducation "nationale"
- Xavier Chevalier, artiste punk romantique
- Rêvassons et ses concerts écolos.
- Stéphane Buron, chef 2 étoiles qui considère que les imperfections font partie de la recherche de la perfection.
- René et Maxime Meilleur, chefs 3 étoiles totalement autodidactes
- La Forge, tiers lieu de Faverges
- L’ESAAA et « Les temps entremêlés », rencontres au château de Duingt
- Fabien Vehlmann, auteur de BD dont le livre « Les derniers jours d’un immortel » vaut une année de philosophie en terminale
- Franz Schimpl… qui souffre d’une addiction à la vie.
- Yves Cusset et son « Réussir sa vie du premier coup », philosophe joyeusement provocateur
- Matthijs van Boxsel et son « Encyclopédie de la stupidité. »
- L’Orchestre des Pays de Savoie au service de la transmission.
- "L’incroyable histoire du Facteur Cheval" de Nils Tavernier
- Lucie Cabanes, capable d’associer érudition et humour en parlant d’art
L’un de nos derniers articles traite du livre « La faute de l’orthographe ». Livre intéressant qui montre à quel point l’orthographe française est volonté de pouvoir davantage qu’outil de connaissance.
Pour Nietzsche, la bêtise est nécessaire à l’apprentissage, elle fait partie de cette répétition que privilégient beaucoup ; l’intelligence est l’effort produit pour échapper à cette bêtise et créer sa propre méthode, sa personnalité, le sens de sa vie.
Voilà ce que nous entendons par "être autodidacte".