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Le château de Servolex accueillait le 24 septembre une partie des musiciens, l’équipe administrative, le club des mécènes de l’Orchestre des Pays de Savoie pour une soirée de convivialité, de musique et d’échanges destinée à lancer la nouvelle saison.
Le livret qui en détaille le programme est paré de plantes, de fleurs qui accompagnent chaque concert et en donnent l’esprit ; esprit que l’on retrouve dans les citations qui fleurissent l’ensemble :
Sophie Lanoote et Jean-Loup Galland rappelaient au cours de cette soirée que l’Orchestre des Pays de Savoie transmet le goût de la musique depuis 35 ans à tous les publics dans le département et bien au-delà, comme ce fut le cas lors d’une fameuse tournée en Russie.
Le Club Amadeus des mécènes permet d’augmenter la marge artistique, c’est-à-dire d’inviter des chefs ou des solistes prestigieux et d’étoffer l’orchestre de chambre composé de 23 musiciens pour lui donner accès à un répertoire plus large.
L’ambition de l’Orchestre des Pays de Savoie est désormais de décrocher le label d’Orchestre National en Région qui reconnaît la qualité des réalisations proposées et dit aussi une exigence artistique soutenue et croissante pour l’avenir.
Nicolas Chalvin apporte sa touche d’humour et de poésie à cette soirée et développe le thème du jardin « On parle d’un florilège d’oeuvres, de racines musicales ou culturelles, d’un talent qui éclot… Ce qui nous a amenés à considérer le concert comme un jardin, comme un moment suspendu où se retrouver hors du temps. Nous avons souhaité décliner la saison comme un herbier de plantes ou de fleurs rares ou bien très connues. Notre saison prochaine s’articule comme un voyage dans le végétal. Nous allons jouer de grandes pièces du répertoire, du Beethoven, une symphonie de Schubert avec Boris Brovtsyn, très grand violoniste israélien, Les Métamorphoses de Richard Strauss… des musiques d’une grande densité expressive. Avec Benjamin Bernheim, un jeune ténor qui éclot, nous allons interpréter un florilège d’opéras français qui sera retransmis en direct sur Radio Classique. Nous retrouverons Jean-François Zygel pour sortir du format habituel du concert et nous rendre dans une serre mozartienne. Nous tournerons bien sûr en Savoie/Haute-Savoie pour offrir à tous les publics ce qu’un orchestre peut jouer de mieux, nous proposerons nos bouquets de musique contemporaine pour présenter toutes les facettes de la culture musicale ; ce qui nous amènera à jouer des musiques de films ( Hitchock, Scorsese, Kubrick, Game of Thrones, James Bond, La Panthère rose…). Nous jouerons de musiques de jeux video (Final Fantasy, Pokemon, World of Warcraft…).
Nous lançons aussi un programme qui mêle toutes les cultures musicales, URBAN BACH dont va vous parler Nima Sarkechik. »
Une saison en jardins, en salles, à configurations variables, ouverte sur l’autre, sur l’extérieur afin d’apporter des respirations nouvelles et qui s’enrichissent réciproquement.
De quoi « chlorofiler » le moral grâce à la culture et à la musique.
URBAN BACH ? BACH STREET ? A suivre…
Le livret qui en détaille le programme est paré de plantes, de fleurs qui accompagnent chaque concert et en donnent l’esprit ; esprit que l’on retrouve dans les citations qui fleurissent l’ensemble :
« Les Temps changent et par eux nous sommes changés. »Ces références au jardin et au changement forment un écho aux présences de Voltaire et de Rousseau que connut notre région.
« Quel plaisir de se promener dans le jardin ! Je fais le tour de l’infini… »
Sophie Lanoote et Jean-Loup Galland rappelaient au cours de cette soirée que l’Orchestre des Pays de Savoie transmet le goût de la musique depuis 35 ans à tous les publics dans le département et bien au-delà, comme ce fut le cas lors d’une fameuse tournée en Russie.
Le Club Amadeus des mécènes permet d’augmenter la marge artistique, c’est-à-dire d’inviter des chefs ou des solistes prestigieux et d’étoffer l’orchestre de chambre composé de 23 musiciens pour lui donner accès à un répertoire plus large.
L’ambition de l’Orchestre des Pays de Savoie est désormais de décrocher le label d’Orchestre National en Région qui reconnaît la qualité des réalisations proposées et dit aussi une exigence artistique soutenue et croissante pour l’avenir.
Nicolas Chalvin apporte sa touche d’humour et de poésie à cette soirée et développe le thème du jardin « On parle d’un florilège d’oeuvres, de racines musicales ou culturelles, d’un talent qui éclot… Ce qui nous a amenés à considérer le concert comme un jardin, comme un moment suspendu où se retrouver hors du temps. Nous avons souhaité décliner la saison comme un herbier de plantes ou de fleurs rares ou bien très connues. Notre saison prochaine s’articule comme un voyage dans le végétal. Nous allons jouer de grandes pièces du répertoire, du Beethoven, une symphonie de Schubert avec Boris Brovtsyn, très grand violoniste israélien, Les Métamorphoses de Richard Strauss… des musiques d’une grande densité expressive. Avec Benjamin Bernheim, un jeune ténor qui éclot, nous allons interpréter un florilège d’opéras français qui sera retransmis en direct sur Radio Classique. Nous retrouverons Jean-François Zygel pour sortir du format habituel du concert et nous rendre dans une serre mozartienne. Nous tournerons bien sûr en Savoie/Haute-Savoie pour offrir à tous les publics ce qu’un orchestre peut jouer de mieux, nous proposerons nos bouquets de musique contemporaine pour présenter toutes les facettes de la culture musicale ; ce qui nous amènera à jouer des musiques de films ( Hitchock, Scorsese, Kubrick, Game of Thrones, James Bond, La Panthère rose…). Nous jouerons de musiques de jeux video (Final Fantasy, Pokemon, World of Warcraft…).
Nous lançons aussi un programme qui mêle toutes les cultures musicales, URBAN BACH dont va vous parler Nima Sarkechik. »
« Il s’agit de mettre en relief une réalité socioculturelle. Si l’on traite l’art comme un moyen de parler avec son prochain, comment parler avec une autre langue artistique tout en gardant notre propre grammaire et notre vocabulaire? Nous allons à la rencontre des populations, de leur quotidien sans chercher à dénaturer leurs idiomes artistiques. Pour voir comment la musique classique peut communiquer avec le krump, le hip hop…chacun gardant ses propres délimitations identitaires afin que le mariage soit pertinent. Travailler du Bach, du Beethoven à longueur de journée pour un musicien classique génère un quotidien très solitaire. Nous n’avons plus le temps d’explorer d’autres univers, d’aller voir des battles de hip hop, de krump qui traduisent une manière de vivre. »
Une saison en jardins, en salles, à configurations variables, ouverte sur l’autre, sur l’extérieur afin d’apporter des respirations nouvelles et qui s’enrichissent réciproquement.
De quoi « chlorofiler » le moral grâce à la culture et à la musique.
URBAN BACH ? BACH STREET ? A suivre…