Vincent Devin : Nous organisons Grenoble Swing Danse Festival pour la 13°année avec chaque fois un thème particulier. Cette fois-ci, ce sera l’espace. Nous avons confié la décoration de la salle à une spécialiste, il y aura donc la lune, des fusées, des références à Star Wars.
Ce sera un vrai voyage !
Oui, carrément ! Ce thème de l’espace sera surtout abordé le samedi soir, lors du grand cabaret mais le public, les participants peuvent venir déguisés à toutes les soirées.
Vous avez maintenant accumulé de l’expérience, qu’est-ce qui a changé, évolué au fil du temps ?
Pas grand-chose sur l’intention, je l’espère. Ce que nous souhaitons est toujours une très grande fête avec un très haut niveau et de très bons orchestres. Ce qui a changé, finalement, ce sont nos moyens qui nous permettent maintenant de prendre quelques risques. Nos stages sont complets sauf pour le niveau initiation qui ne nécessite pas de réservation préalable. Il ne faut pas hésiter à venir sur place c'est gratuit. Il suffit de consulter notre site web 2/3 jours avant le festival pour avoir les informations précises.
Si tous vos cours et stages sont pratiquement pris d’assaut, c’est que le lindy hop a du succès.
Oui, il était déjà de retour en France quand nous avons créé l’association en 2004 mais notre festival attire même des professionnels qui reviennent régulièrement pour continuer à se former. Nous attirons ainsi les meilleurs mondiaux en termes d’enseignement et de danse, ce qui fait de notre cabaret du samedi soir une référence d’ordre mondial qui accueille aussi la finale de notre compétition de danse.
Vous me demandiez ce qui a évolué ; nous avons déjà changé trois fois de salle pour accueillir plus de monde, c’est pourquoi nous sommes désormais installés à l’Agora de Saint Ismier. Nous avons même acheté notre propre parquet que nous installons pour le festival et nous louons des studios de danse dans le quartier Saint Bruno pour accueillir nos stages sur sept niveaux, jusqu’aux professionnels.
Comment faites-vous pour garder votre motivation d’organisateur ?
Le succès nous porte. Les stages de cette année sont complets. Je précise cependant qu’il reste des places pour nos soirées. Et puis Julien Billoudet et moi formons un tandem, épaulé par la décoratrice et par notre équipe qui se renouvelle au fil des années et des éditions. Nous puisons aussi notre énergie dans notre enracinement sur Grenoble.
Je tiens à remercier tous nos "helpers", tous ces bénévoles sans lesquels la grâce et la magie de la danse ne seraient pas possibles, ceux qui installent le parquet, tiennent le bar, l'accueil, assurent le nettoyage...
Ce sera un vrai voyage !
Oui, carrément ! Ce thème de l’espace sera surtout abordé le samedi soir, lors du grand cabaret mais le public, les participants peuvent venir déguisés à toutes les soirées.
Vous avez maintenant accumulé de l’expérience, qu’est-ce qui a changé, évolué au fil du temps ?
Pas grand-chose sur l’intention, je l’espère. Ce que nous souhaitons est toujours une très grande fête avec un très haut niveau et de très bons orchestres. Ce qui a changé, finalement, ce sont nos moyens qui nous permettent maintenant de prendre quelques risques. Nos stages sont complets sauf pour le niveau initiation qui ne nécessite pas de réservation préalable. Il ne faut pas hésiter à venir sur place c'est gratuit. Il suffit de consulter notre site web 2/3 jours avant le festival pour avoir les informations précises.
Si tous vos cours et stages sont pratiquement pris d’assaut, c’est que le lindy hop a du succès.
Oui, il était déjà de retour en France quand nous avons créé l’association en 2004 mais notre festival attire même des professionnels qui reviennent régulièrement pour continuer à se former. Nous attirons ainsi les meilleurs mondiaux en termes d’enseignement et de danse, ce qui fait de notre cabaret du samedi soir une référence d’ordre mondial qui accueille aussi la finale de notre compétition de danse.
Vous me demandiez ce qui a évolué ; nous avons déjà changé trois fois de salle pour accueillir plus de monde, c’est pourquoi nous sommes désormais installés à l’Agora de Saint Ismier. Nous avons même acheté notre propre parquet que nous installons pour le festival et nous louons des studios de danse dans le quartier Saint Bruno pour accueillir nos stages sur sept niveaux, jusqu’aux professionnels.
Comment faites-vous pour garder votre motivation d’organisateur ?
Le succès nous porte. Les stages de cette année sont complets. Je précise cependant qu’il reste des places pour nos soirées. Et puis Julien Billoudet et moi formons un tandem, épaulé par la décoratrice et par notre équipe qui se renouvelle au fil des années et des éditions. Nous puisons aussi notre énergie dans notre enracinement sur Grenoble.
Je tiens à remercier tous nos "helpers", tous ces bénévoles sans lesquels la grâce et la magie de la danse ne seraient pas possibles, ceux qui installent le parquet, tiennent le bar, l'accueil, assurent le nettoyage...
Rendez-vous du 10 au 12 novembre ! https://gsdf.grenobleswing.com/