Alain Benzoni, vous êtes l’âme du festival Au Bonheur des mômes.
Je suis le créateur du festival ainsi que le directeur général et artistique. Je l’ai créé il y a très longtemps pour le jeune public et les familles.
Pourquoi vous intéressez-vous plus particulièrement au jeune public ?
C’est le public de demain. Il faut lui faire lâcher les écrans, l’amener à voir du spectacle vivant à la fois ludique, éducatif et qui apporte beaucoup à ce jeune public mais aussi aux parents. C’est un moment de partage dont il est possible de parler ensuite à la maison.
Le Festival se tient du 20 au 25 août, juste avant la reprise scolaire. C’est du sadisme ?
(rires). C’est la première fois qu’on me pose cette question ! Non, c’est tout le contraire ! C’est du rêve, beaucoup de rêve juste avant la rentrée des classes. La plupart des festivals se déroulent en juillet. Nous nous sommes positionnés fin août pour apporter un bol d’air et de rêve avant la rentrée.
Vous avez raison, il est important de donner aux enfants le goût du spectacle vivant et les spectacles de qualité s’adressent à la fois aux enfants et aux adultes.
Entièrement d’accord avec vous. Un bon spectacle pour enfants s’adresse à tout le monde à condition de ne pas prendre les enfants pour des imbéciles ni pour des cibles financières.
Comment faites-vous votre sélection de spectacles ?
C’est une alchimie compliquée parce que j’ai une compagnie, je pratique les arts de la rue depuis 40 ans en Haute-Savoie mais aussi un peu partout en Europe ; de là vient l’idée de montrer chez nous ce qui se passe ailleurs. J’ai des équipes qui tournent dans toute l’Europe et font des repérages, j’ai un réseau important, je connais les festivals où je peux voir des choses nouvelles pour surprendre le public et les professionnels. Au Bonheur des Mômes s’adresse à la fois au public et aux programmateurs. Plus de 300 d’entre eux viennent faire leur marché au Grand Bornand. D’où l’intérêt de surprendre et de montrer des choses qu’on ne voit pas ailleurs.
Est-ce que vous arrivez, vous, à être toujours surpris ?
Oui, encore. Je ne veux pas "vieuxconniser". C’est un peu plus difficile mais j’arrive encore à être surpris. J’en ai vraiment envie.
Quand on s’adresse à des enfants, il faut l’être encore un peu soi-même.
Il faut l’être toute sa vie. Quand j’étais enfant je disais
Je suis le créateur du festival ainsi que le directeur général et artistique. Je l’ai créé il y a très longtemps pour le jeune public et les familles.
Pourquoi vous intéressez-vous plus particulièrement au jeune public ?
C’est le public de demain. Il faut lui faire lâcher les écrans, l’amener à voir du spectacle vivant à la fois ludique, éducatif et qui apporte beaucoup à ce jeune public mais aussi aux parents. C’est un moment de partage dont il est possible de parler ensuite à la maison.
Le Festival se tient du 20 au 25 août, juste avant la reprise scolaire. C’est du sadisme ?
(rires). C’est la première fois qu’on me pose cette question ! Non, c’est tout le contraire ! C’est du rêve, beaucoup de rêve juste avant la rentrée des classes. La plupart des festivals se déroulent en juillet. Nous nous sommes positionnés fin août pour apporter un bol d’air et de rêve avant la rentrée.
Vous avez raison, il est important de donner aux enfants le goût du spectacle vivant et les spectacles de qualité s’adressent à la fois aux enfants et aux adultes.
Entièrement d’accord avec vous. Un bon spectacle pour enfants s’adresse à tout le monde à condition de ne pas prendre les enfants pour des imbéciles ni pour des cibles financières.
Comment faites-vous votre sélection de spectacles ?
C’est une alchimie compliquée parce que j’ai une compagnie, je pratique les arts de la rue depuis 40 ans en Haute-Savoie mais aussi un peu partout en Europe ; de là vient l’idée de montrer chez nous ce qui se passe ailleurs. J’ai des équipes qui tournent dans toute l’Europe et font des repérages, j’ai un réseau important, je connais les festivals où je peux voir des choses nouvelles pour surprendre le public et les professionnels. Au Bonheur des Mômes s’adresse à la fois au public et aux programmateurs. Plus de 300 d’entre eux viennent faire leur marché au Grand Bornand. D’où l’intérêt de surprendre et de montrer des choses qu’on ne voit pas ailleurs.
Est-ce que vous arrivez, vous, à être toujours surpris ?
Oui, encore. Je ne veux pas "vieuxconniser". C’est un peu plus difficile mais j’arrive encore à être surpris. J’en ai vraiment envie.
Quand on s’adresse à des enfants, il faut l’être encore un peu soi-même.
Il faut l’être toute sa vie. Quand j’étais enfant je disais
Quand je sera grand , je fera pestacle.Il est très important de garder son âme d’enfant.
Informations :
26° édition du Festival des Arts Vivants pour petits et grands, au Grand Bornand
75 compagnies internationales
403 représentations de théâtre, mime, marionnettes, danse….
26946 places vous attendent à l’Office de Tourisme du Grand Bornand
ou sur www.aubonheurdesmomes.com dès le 3 juillet 2017, pour des tarifs très doux
75 compagnies internationales
403 représentations de théâtre, mime, marionnettes, danse….
26946 places vous attendent à l’Office de Tourisme du Grand Bornand
ou sur www.aubonheurdesmomes.com dès le 3 juillet 2017, pour des tarifs très doux
- 5 euros / journée
- 20 euros/ semaine
- 3 euros / dimanche 20 août
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