Stéphane, comment êtes-vous entré dans l’aventure de Glisse en Cœur ?
Des amis de la Clusaz sont à l’initiative de ce projet, tout simplement, Christian Favre et Thierry Vergne. Ils ont proposé le projet à Isabelle Pochat –Cotilloux qui est directrice de l’office de tourisme du Grand-Bornand. Ils m’ont demandé si je pouvais faire parler de cette opération autour de moi et faire venir quelques personnalités de l’audio visuel. C’est ce que j’ai fait dès le départ avec la venue de Tex, d’Alessandra Sublet, Patrick Poivre d’Arvor ensuite, Harry Roselmack… maintenant beaucoup de gens de France 2 viennent, Alexandre Devoise est là depuis le début, fidèle parmi les fidèles. Olivier de Rinquesen sera présent cette année. Ma contribution est donc de faire parler de l’événement et de faire « monter la mayonnaise ».
Vous en parlez comme si votre investissement personnel était tout à fait naturel.
Ce qui est naturel, c’est de se dire que lorsque l’on a des enfants en bonne santé et que cette association est faite pour aider celles qui oeuvrent et militent à longueur d’année pour aider les enfants malades, c’est la moindre des choses de mettre sa petite notoriété au service de ces actions.
Vous êtes un parrain fidèle puisque vous êtes là depuis le tout début.
Oui et je n’ai pas l’intention de laisser ma place. Je prends beaucoup de plaisir à être à leur côté, il y a une vraie mobilisation de toute la chaîne des Aravis autour de cette opération dont on peut être fiers parce qu’elle est l’opération caritative la plus importante de toutes les montagnes de France. J’en suis ravi et heureux.
C’est une opération importante, sérieuse . Il y est question d’enfants, de maladie et vous y apportez votre bonne humeur. Il est important qu’il y ait ces deux volets en même temps.
Je fais aussi mon métier de cette manière ; je pense qu’on peut parler de choses sérieuses sans se prendre au sérieux. Dans le cadre de mon émission, je suis au contact de gens qui ont un vrai savoir faire, de vrais professionnels et j’essaie de mettre en avant leur savoir faire. Avec Glisse en Cœur, j’ai la même approche. Je mets en avant tous les gens qui se battent à longueur d’année, ceux de l’office de tourisme du Grand Bornand, les bénévoles, les élus…mon rôle est consiste à faire que cette manifestation se déroule sans accroc et que tout le monde y prenne beaucoup de plaisir pendant qu’on fait passer des messages importants.
D’ailleurs, on peut dire que les thèmes de votre émission de télévision sont prétextes à rencontres ; c’est la dimension humaine qui en ressort.
Ce sont les rencontres qui nous font avancer. On se nourrit du savoir faire des uns et des autres, dans tous les domaines. Je fonctionne dans mon émission comme dans ma vie, au quotidien. Je prends plaisir à rencontrer des gens passionnés. Chaque émission est une rencontre différente.
Que diriez-vous pour décider celles et ceux qui hésitent encore à venir au Grand Bornand le week-end prochain ?
Ils ont déjà pris huit ans de retard [depuis la première édition de Glisse en Cœur]et ce serait dommage qu’ils ne viennent pas cette année. On a besoin de tout le monde pour cette 9° édition. Notre région accueille rarement des événements de cette ampleur qui montre que la Savoie a un grand cœur, que les gens ont du talent et sont généreux
Des amis de la Clusaz sont à l’initiative de ce projet, tout simplement, Christian Favre et Thierry Vergne. Ils ont proposé le projet à Isabelle Pochat –Cotilloux qui est directrice de l’office de tourisme du Grand-Bornand. Ils m’ont demandé si je pouvais faire parler de cette opération autour de moi et faire venir quelques personnalités de l’audio visuel. C’est ce que j’ai fait dès le départ avec la venue de Tex, d’Alessandra Sublet, Patrick Poivre d’Arvor ensuite, Harry Roselmack… maintenant beaucoup de gens de France 2 viennent, Alexandre Devoise est là depuis le début, fidèle parmi les fidèles. Olivier de Rinquesen sera présent cette année. Ma contribution est donc de faire parler de l’événement et de faire « monter la mayonnaise ».
Vous en parlez comme si votre investissement personnel était tout à fait naturel.
Ce qui est naturel, c’est de se dire que lorsque l’on a des enfants en bonne santé et que cette association est faite pour aider celles qui oeuvrent et militent à longueur d’année pour aider les enfants malades, c’est la moindre des choses de mettre sa petite notoriété au service de ces actions.
Vous êtes un parrain fidèle puisque vous êtes là depuis le tout début.
Oui et je n’ai pas l’intention de laisser ma place. Je prends beaucoup de plaisir à être à leur côté, il y a une vraie mobilisation de toute la chaîne des Aravis autour de cette opération dont on peut être fiers parce qu’elle est l’opération caritative la plus importante de toutes les montagnes de France. J’en suis ravi et heureux.
C’est une opération importante, sérieuse . Il y est question d’enfants, de maladie et vous y apportez votre bonne humeur. Il est important qu’il y ait ces deux volets en même temps.
Je fais aussi mon métier de cette manière ; je pense qu’on peut parler de choses sérieuses sans se prendre au sérieux. Dans le cadre de mon émission, je suis au contact de gens qui ont un vrai savoir faire, de vrais professionnels et j’essaie de mettre en avant leur savoir faire. Avec Glisse en Cœur, j’ai la même approche. Je mets en avant tous les gens qui se battent à longueur d’année, ceux de l’office de tourisme du Grand Bornand, les bénévoles, les élus…mon rôle est consiste à faire que cette manifestation se déroule sans accroc et que tout le monde y prenne beaucoup de plaisir pendant qu’on fait passer des messages importants.
D’ailleurs, on peut dire que les thèmes de votre émission de télévision sont prétextes à rencontres ; c’est la dimension humaine qui en ressort.
Ce sont les rencontres qui nous font avancer. On se nourrit du savoir faire des uns et des autres, dans tous les domaines. Je fonctionne dans mon émission comme dans ma vie, au quotidien. Je prends plaisir à rencontrer des gens passionnés. Chaque émission est une rencontre différente.
Que diriez-vous pour décider celles et ceux qui hésitent encore à venir au Grand Bornand le week-end prochain ?
Ils ont déjà pris huit ans de retard [depuis la première édition de Glisse en Cœur]et ce serait dommage qu’ils ne viennent pas cette année. On a besoin de tout le monde pour cette 9° édition. Notre région accueille rarement des événements de cette ampleur qui montre que la Savoie a un grand cœur, que les gens ont du talent et sont généreux
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