Articles similaires...
-
Madagascar, la comédie musicale : Une aventure musicale envoûtante à Paris
-
Enlightenment à Marseille : Une Expérience Immersive Unique sur La Thématique des 4 Saisons
-
Vive les Mariés : Une Immersion Théâtrale et Culinaire à Paris
-
Luminiscence : Plongez dans 800 ans d'histoire à Saint-Eustache !
-
Les Grandes Eaux Nocturnes de Versailles : Un Spectacle Éblouissant de Lumières et de Musique
François Morel, vous avez joué en troupe, seul, en petites configurations. Vous jouez sur scène ou au cinéma, chantez, dites des chroniques… reste-t-il un mode d’expression que vous ayez encore envie d’explorer ?
On dit souvent que je fais beaucoup de choses mais je me définirais surtout comme homme de spectacles. En menuiserie, en natation synchronisée, en peinture sur soie par exemple, je suis assez médiocre. Je joue, j’écris. Parfois même je mets en scène. C’est tout ! Pas si énormes dans le fond mes activités. Cela dit, je pense que j’ai trouvé mon mode d’expression. La sculpture, l’architecture n’ont rien à craindre de moi.
Vous avez une véritable voix, comme Claude Piéplu, M. Lonsdale… Est-ce la marque d’une forme de maturité, d’un équilibre entre travail et personnalité ?
Chacun a sa voix. Je la travaille avec un professeur Raymonde Viret que je vois régulièrement, notamment quand je prépare un spectacle de chansons. Pas pour son timbre que je ne maîtrise pas mais pour son amplitude, sa pose. Je ne sais pas si ma voix est particulière, elle finit peut-être par être familière, notamment pour les auditeurs branchés sur France Inter.
Vous dites « J’ai envie de faire du théâtre qui réunit les gens ». Quels ingrédients y sont nécessaires ?
Sans doute une sincérité, un sentiment de proximité. L’idée que je monte sur scène parce que j’ai préparé un « petit quelque chose » mais que juste après je retourne parmi le public. Le sentiment que je ne suis supérieur à aucun de mes auditeurs ou spectateurs.
Comment vous définiriez-vous ? Avez-vous déjà interprété des rôles de méchant, de salaud ?
Je me définis peu. Je suis comédien. Je viens d’interpréter pour France 2, Paul Touvier, chef de la milice à Lyon, dénonciateur, raciste, antisémite, assassin… Ça vous va comme profil de salaud ?!
Pour Hyacinthe et Rose vous partez de portraits de fleurs. Craignez-vous d’avoir à partir un jour de natures mortes de gens ?
Il y a de tout dans les spectacles, des autoportraits, des scènes de genre, des vanités et des natures mortes. On dit souvent que mes spectacles sont nostalgiques. Je ressens souvent de la nostalgie en pensant à mes absents…
On dit souvent que je fais beaucoup de choses mais je me définirais surtout comme homme de spectacles. En menuiserie, en natation synchronisée, en peinture sur soie par exemple, je suis assez médiocre. Je joue, j’écris. Parfois même je mets en scène. C’est tout ! Pas si énormes dans le fond mes activités. Cela dit, je pense que j’ai trouvé mon mode d’expression. La sculpture, l’architecture n’ont rien à craindre de moi.
Vous avez une véritable voix, comme Claude Piéplu, M. Lonsdale… Est-ce la marque d’une forme de maturité, d’un équilibre entre travail et personnalité ?
Chacun a sa voix. Je la travaille avec un professeur Raymonde Viret que je vois régulièrement, notamment quand je prépare un spectacle de chansons. Pas pour son timbre que je ne maîtrise pas mais pour son amplitude, sa pose. Je ne sais pas si ma voix est particulière, elle finit peut-être par être familière, notamment pour les auditeurs branchés sur France Inter.
Vous dites « J’ai envie de faire du théâtre qui réunit les gens ». Quels ingrédients y sont nécessaires ?
Sans doute une sincérité, un sentiment de proximité. L’idée que je monte sur scène parce que j’ai préparé un « petit quelque chose » mais que juste après je retourne parmi le public. Le sentiment que je ne suis supérieur à aucun de mes auditeurs ou spectateurs.
Comment vous définiriez-vous ? Avez-vous déjà interprété des rôles de méchant, de salaud ?
Je me définis peu. Je suis comédien. Je viens d’interpréter pour France 2, Paul Touvier, chef de la milice à Lyon, dénonciateur, raciste, antisémite, assassin… Ça vous va comme profil de salaud ?!
Pour Hyacinthe et Rose vous partez de portraits de fleurs. Craignez-vous d’avoir à partir un jour de natures mortes de gens ?
Il y a de tout dans les spectacles, des autoportraits, des scènes de genre, des vanités et des natures mortes. On dit souvent que mes spectacles sont nostalgiques. Je ressens souvent de la nostalgie en pensant à mes absents…