Titoff, tu vas fêter tes 15 ans de scène.
On avait juste prévu quelques dates au Chocolat Théâtre à Marseille. On a prolongé d’un mois à Paris, ensuite je suis parti en tournée et comme on se régale, on continue, on prolonge .
Je reprends des sketches. On m’a souvent demandé de reprendre la parodie de l’émission de télé, le sketch du chasseur, les chips…Je ne voulais pas faire juste un best of, alors on a fait une construction avec un récit, des anecdotes vraies. J’en ai profité pour écrire de nouveaux textes, c’est un mélange d’anciens et de nouveaux sketches sur ce qui a évolué pendant ces 15 ans. On a créé le spectacle à Paris il y a moins d’un an. Il y a carrément des inédits !
Des projets ?
Je suis en tournée avec ce spectacle. Tout se passe bien. Mon actualité est là. Je suis toujours sur RTL avec Les Grosses Têtes et Laurent Ruquier. J’ai en tête l’écriture d’une pièce de théâtre et d'un film.
Ton succès a commencé avec une mise en scène de Dominique Farrugia. On a tendance à penser que l’humour est spontané. Quelle est l’importance de la mise en scène dans un spectacle ?
Dominique Farrugia, c’est déjà une rencontre. Comme beaucoup de gens de ma génération , j’étais fan des Nuls. C’est très gratifiant et enrichissant de travailler avec quelqu’un comme lui. Ça remonte à 15 ans… il a eu de très belles idées sur les enchaînements, la façon décontractée de faire le spectacle, de raconter sur scène – que tout le monde a reprise- ça ne se faisait pas du tout. Dominique a apporté des idées pour les transitions aussi. Avant il y avait un black entre deux sketches, alors que moi j’enchaînais, je ne lâchais pas la scène pendant une heure et demie. Je buvais un verre d’eau que je versais dans une chope, et puis dans une grande bonbonne – un truc absurde. Je faisais aussi la parodie d’un film porno improvisé mais au fur et à mesure il y avait un vrai décor de théâtre qui se mettait en place …
On avait juste prévu quelques dates au Chocolat Théâtre à Marseille. On a prolongé d’un mois à Paris, ensuite je suis parti en tournée et comme on se régale, on continue, on prolonge .
Je reprends des sketches. On m’a souvent demandé de reprendre la parodie de l’émission de télé, le sketch du chasseur, les chips…Je ne voulais pas faire juste un best of, alors on a fait une construction avec un récit, des anecdotes vraies. J’en ai profité pour écrire de nouveaux textes, c’est un mélange d’anciens et de nouveaux sketches sur ce qui a évolué pendant ces 15 ans. On a créé le spectacle à Paris il y a moins d’un an. Il y a carrément des inédits !
Des projets ?
Je suis en tournée avec ce spectacle. Tout se passe bien. Mon actualité est là. Je suis toujours sur RTL avec Les Grosses Têtes et Laurent Ruquier. J’ai en tête l’écriture d’une pièce de théâtre et d'un film.
Ton succès a commencé avec une mise en scène de Dominique Farrugia. On a tendance à penser que l’humour est spontané. Quelle est l’importance de la mise en scène dans un spectacle ?
Dominique Farrugia, c’est déjà une rencontre. Comme beaucoup de gens de ma génération , j’étais fan des Nuls. C’est très gratifiant et enrichissant de travailler avec quelqu’un comme lui. Ça remonte à 15 ans… il a eu de très belles idées sur les enchaînements, la façon décontractée de faire le spectacle, de raconter sur scène – que tout le monde a reprise- ça ne se faisait pas du tout. Dominique a apporté des idées pour les transitions aussi. Avant il y avait un black entre deux sketches, alors que moi j’enchaînais, je ne lâchais pas la scène pendant une heure et demie. Je buvais un verre d’eau que je versais dans une chope, et puis dans une grande bonbonne – un truc absurde. Je faisais aussi la parodie d’un film porno improvisé mais au fur et à mesure il y avait un vrai décor de théâtre qui se mettait en place …
Articles similaires...
-
Madagascar, la comédie musicale : Une aventure musicale envoûtante à Paris
-
Enlightenment à Marseille : Une Expérience Immersive Unique sur La Thématique des 4 Saisons
-
Vive les Mariés : Une Immersion Théâtrale et Culinaire à Paris
-
Luminiscence : Plongez dans 800 ans d'histoire à Saint-Eustache !
-
Les Grandes Eaux Nocturnes de Versailles : Un Spectacle Éblouissant de Lumières et de Musique
Une sorte d’impro calculée.
Exactement.
Et aujourd’hui, d’où vient ton inspiration ? Comment tu écris tes sketches ?
On a retravaillé d’anciens sketches, ça représente des moments de vie… des choses personnelles…
Il y a un côté nostalgique ?
Non, pas du tout. Je suis très content d’avoir fait ce spectacle. Comme j’avais arrêté la scène un moment, un jeune public me découvre, ça plaît aussi aux gens d’un certain âge mais ce n’est pas une histoire de nostalgie. Beaucoup ne m’ont vu qu’à la télé et me découvrent sur scène, ce qui n’est pas la même chose. Je parle de l’évolution des choses, de l’interdiction de la cigarette dans les lieux publics, par exemple… les trucs de sécurité… En 15 ans, j’avais fait quatre spectacles et on a pris le meilleur pour celui-ci. L’accueil du public est vraiment très bon.
Exactement.
Et aujourd’hui, d’où vient ton inspiration ? Comment tu écris tes sketches ?
On a retravaillé d’anciens sketches, ça représente des moments de vie… des choses personnelles…
Il y a un côté nostalgique ?
Non, pas du tout. Je suis très content d’avoir fait ce spectacle. Comme j’avais arrêté la scène un moment, un jeune public me découvre, ça plaît aussi aux gens d’un certain âge mais ce n’est pas une histoire de nostalgie. Beaucoup ne m’ont vu qu’à la télé et me découvrent sur scène, ce qui n’est pas la même chose. Je parle de l’évolution des choses, de l’interdiction de la cigarette dans les lieux publics, par exemple… les trucs de sécurité… En 15 ans, j’avais fait quatre spectacles et on a pris le meilleur pour celui-ci. L’accueil du public est vraiment très bon.
Et si le temps d'une journée tu pouvais être quelqu’un d’autre, tu choisirais d’être qui ?
Président de la République. Je mettrais des journées off, sans travail, très souvent. Une année de fête nationale . Je mettrais le SMIC à 5000 euros, le RSA à 2000. Le bouquet final, quoi ! On viderait les caisses mais on s’éclaterait ! Des grandes bouffes, des fêtes sur toutes les places de village, tous les jours.
Président de la République. Je mettrais des journées off, sans travail, très souvent. Une année de fête nationale . Je mettrais le SMIC à 5000 euros, le RSA à 2000. Le bouquet final, quoi ! On viderait les caisses mais on s’éclaterait ! Des grandes bouffes, des fêtes sur toutes les places de village, tous les jours.