Il y a bientôt un an, Move-On Mag rencontrait les trois lascars pour parler de leur vidéo qui compte des millions de vues sur les plateformes vidéos. La passion, l’énergie de Julien, Kévin et Matthias mêle intimement leurs voix. A vous de les démêler !
Meilleur court métrage au festival de Montréal, c’est cool, tu as été reconnu par les gens du milieu et par le jury.
Notre truc est cocasse, un peu tiré par les cheveux, marrant. Pour avoir du succès dans ce milieu,c’est pas évident.
_ Au départ, le film n’était pas destiné aux festivals. Pour nous, la cible était le grand public autant que le milieu du ski. On voulait s’adresser au plus grand nombre. Au High Five, à Annecy, le public est encore plus large parce qu’il inclut le monde de l’industrie. J’ai eu plein de retours positifs de gens qui n’ont rien à voir avec le milieu du ski.
Votre film répond à une commande ?
Non, ce sont des idées qu’on a eues avec Julien. On avait bien rigolé il y a deux ans en faisant un film du même genre et on s’est dit que ce serait cool de s’y remettre, de faire une nouvelle video plus originale,avec de l’humour, une vraie histoire,de nouveaux ingrédients. De mon balcon, à La Plagne, je vois plein d’endroits intéressants pour rider. L’enchaînement s’est vite fait « _ T’es chaud ? _ Ouais. _ Pour moi, c’est bon. »
Meilleur court métrage au festival de Montréal, c’est cool, tu as été reconnu par les gens du milieu et par le jury.
Notre truc est cocasse, un peu tiré par les cheveux, marrant. Pour avoir du succès dans ce milieu,c’est pas évident.
_ Au départ, le film n’était pas destiné aux festivals. Pour nous, la cible était le grand public autant que le milieu du ski. On voulait s’adresser au plus grand nombre. Au High Five, à Annecy, le public est encore plus large parce qu’il inclut le monde de l’industrie. J’ai eu plein de retours positifs de gens qui n’ont rien à voir avec le milieu du ski.
Votre film répond à une commande ?
Non, ce sont des idées qu’on a eues avec Julien. On avait bien rigolé il y a deux ans en faisant un film du même genre et on s’est dit que ce serait cool de s’y remettre, de faire une nouvelle video plus originale,avec de l’humour, une vraie histoire,de nouveaux ingrédients. De mon balcon, à La Plagne, je vois plein d’endroits intéressants pour rider. L’enchaînement s’est vite fait « _ T’es chaud ? _ Ouais. _ Pour moi, c’est bon. »
_ Il y a aussi l’aspect financier puisque ce n’est pas une commande. C’est important dans le milieu du ski, si t’es pas acteur de tes projets, il ne se passe pas forcément grand-chose. Beaucoup de skieurs en arrivent à créer leur propre boîte de prod. Une fois que le projet est là, il faut trouver les sponsors.
_ Notre idée nous tenait tellement à cœur qu’on a commencé à tourner avant même d’avoir le financement…qu’on a obtenu ce coup-ci grâce à Kevin et ses sponsors, Sosh et La Plagne qu’on a intégrés naturellement dans l’histoire.
Le tournage a duré à peu près deux semaines . On a été tributaires de la météo, de la logistique .Il a fallu s’y reprendre à trois fois pour la scène de la piscine, tourner en dehors des heures d’ouverture. Le premier camion fourni par un pote n’était pas assez gros pour le plan qu’on voulait faire… et puis la police est arrivée pour voir ce qui se passait…
Il y a une véritable interaction entre la pratique sportive et l’activité médiatique.
_ Gagner des compétitions, c’est bien mais pas suffisant. Il se trouve que j’aime bien participer à cette couverture médiatique. Il faut des images, mais il est nécessaire de construire autour un univers en relation avec elles. En France, la demande médiatique tourne autour de villes comme Paris, Lyon, Chambéry et Annecy. On sent qu’il y a un gros noyau de passionnés à Annecy.
Ça tombe bien !!! Le High Five et le premier Sosh Big Air dans une poignée de jours.
_ Notre idée nous tenait tellement à cœur qu’on a commencé à tourner avant même d’avoir le financement…qu’on a obtenu ce coup-ci grâce à Kevin et ses sponsors, Sosh et La Plagne qu’on a intégrés naturellement dans l’histoire.
Le tournage a duré à peu près deux semaines . On a été tributaires de la météo, de la logistique .Il a fallu s’y reprendre à trois fois pour la scène de la piscine, tourner en dehors des heures d’ouverture. Le premier camion fourni par un pote n’était pas assez gros pour le plan qu’on voulait faire… et puis la police est arrivée pour voir ce qui se passait…
Il y a une véritable interaction entre la pratique sportive et l’activité médiatique.
_ Gagner des compétitions, c’est bien mais pas suffisant. Il se trouve que j’aime bien participer à cette couverture médiatique. Il faut des images, mais il est nécessaire de construire autour un univers en relation avec elles. En France, la demande médiatique tourne autour de villes comme Paris, Lyon, Chambéry et Annecy. On sent qu’il y a un gros noyau de passionnés à Annecy.
Ça tombe bien !!! Le High Five et le premier Sosh Big Air dans une poignée de jours.