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Ce samedi 2 septembre, rendez-vous à la Guinguette Gourmande de Thônes
La moustache cache toujours quelque chose. Parfois même, un visage.
On évoque le porc de la moustache quand celle-ci est fièrement arborée par un dictateur, Hitler, Pinochet et quelques autres. Mussolini avait détourné la chose en optant pour des glands.
Jean Rochefort incarnait à lui seul l’art de la contre moustache, l’opposé de ce balai pileux qui donne à son porteur un aspect figé, monolithique, tristement sérieux et l’air de porter ailleurs son balai.
La moustache humoristique de Jean répondait si bien à son œil rieur ( et même aux deux). C’était un dialogue permanent, un entre deux ou trois, un sérieux amusé, un humour décalé, un regard faussement désabusé.
Il aura retrouvé des amis pour partager quelques spectacles de paradis, lui qui aimait le théâtre populaire, au coin d’un nuage ou d’un rêve, puisqu’il était et demeure le parrain de l’association annécienne Agitateurs de Rêves dont il suivra de près, gageons-le, le Coup de Théâtre 2018.
On évoque le porc de la moustache quand celle-ci est fièrement arborée par un dictateur, Hitler, Pinochet et quelques autres. Mussolini avait détourné la chose en optant pour des glands.
Jean Rochefort incarnait à lui seul l’art de la contre moustache, l’opposé de ce balai pileux qui donne à son porteur un aspect figé, monolithique, tristement sérieux et l’air de porter ailleurs son balai.
La moustache humoristique de Jean répondait si bien à son œil rieur ( et même aux deux). C’était un dialogue permanent, un entre deux ou trois, un sérieux amusé, un humour décalé, un regard faussement désabusé.
Il aura retrouvé des amis pour partager quelques spectacles de paradis, lui qui aimait le théâtre populaire, au coin d’un nuage ou d’un rêve, puisqu’il était et demeure le parrain de l’association annécienne Agitateurs de Rêves dont il suivra de près, gageons-le, le Coup de Théâtre 2018.