Le High Five vu par Rémi Forsans
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Rémi, quel regard portes-tu sur le High Five et sur Gaylord Pedretti ?
Un regard bienveillant puisque j’ai accompagné cet événement depuis son origine. Sa vocation première est de réunir les industriels du sport d’hiver, de les associer à la création artistique, de faire que la jeunesse d’Annecy et bien au-delà puisse profiter d’un événement de cette envergure. C’est aussi le signal de départ de la saison.
Je respecte et j’admire Gaylord parce qu’il a beaucoup de sens entrepreneurial , il est courageux. Il a longtemps eu besoin de se prouver qu’il pouvait y arriver, ce qui n’est plus le cas aujourd’hui : il a démontré qu’il est capable d’organiser des événements d’envergure nationale. Il est très attaché à notre territoire et il fait en sorte que le High Five y perdure malgré de fortes sollicitations ailleurs.
On a pu l’attaquer les deux années où a été installé le Big Air. Il est pourtant l’un des seuls organisateurs à prendre en compte l’environnement, même s’il n’est pas parfait. On sait que le meilleur événement écodurable est celui qu’on ne fait pas. Il ne faut pas confondre amélioration de la situation environnementale de la planète et extinction des activités économiques. Il est absolument nécessaire de réduire notre impact mais il ne faut pas s’enfermer dans une position hostile à tout événement.
L’économie demeure la colonne vertébrale de notre société. Elle est responsable de la situation actuelle et doit faire des efforts, c’est une évidence, mais reste indispensable, croissante ou décroissante… Pour le Big Air, la neige produite était parfaitement inoffensive pour l’environnement et l’énergie utilisée a été le moins impactante possible. Ce n’est pas comparable avec ce qui se produit dans certaines stations de ski. Il faut trouver des équilibres, sinon pourquoi ne pas fermer les piscines chauffées toute l’année, ou bien les patinoires maintenues elles aussi toute l’année ?
Le High Five rassemble entre 30 et 40 000 personnes. On ne peut avoir aucun doute sur sa vocation et je vois le travail fourni en amont pour l’améliorer en permanence. Gaylord est un enfant du territoire et il a le souci de le préserver au mieux.
Annecy est très associée à ses activités économiques endémiques. Les industries créatives sont portées par le Festival du Cinéma d’Animation, l’industrie du outdoor est portée par le High Five qui associe la ville, les activités outdoor , l’industrie et le territoire, comme le fait Annecy Mountains, dans un imaginaire collectif.
Un regard bienveillant puisque j’ai accompagné cet événement depuis son origine. Sa vocation première est de réunir les industriels du sport d’hiver, de les associer à la création artistique, de faire que la jeunesse d’Annecy et bien au-delà puisse profiter d’un événement de cette envergure. C’est aussi le signal de départ de la saison.
Je respecte et j’admire Gaylord parce qu’il a beaucoup de sens entrepreneurial , il est courageux. Il a longtemps eu besoin de se prouver qu’il pouvait y arriver, ce qui n’est plus le cas aujourd’hui : il a démontré qu’il est capable d’organiser des événements d’envergure nationale. Il est très attaché à notre territoire et il fait en sorte que le High Five y perdure malgré de fortes sollicitations ailleurs.
On a pu l’attaquer les deux années où a été installé le Big Air. Il est pourtant l’un des seuls organisateurs à prendre en compte l’environnement, même s’il n’est pas parfait. On sait que le meilleur événement écodurable est celui qu’on ne fait pas. Il ne faut pas confondre amélioration de la situation environnementale de la planète et extinction des activités économiques. Il est absolument nécessaire de réduire notre impact mais il ne faut pas s’enfermer dans une position hostile à tout événement.
L’économie demeure la colonne vertébrale de notre société. Elle est responsable de la situation actuelle et doit faire des efforts, c’est une évidence, mais reste indispensable, croissante ou décroissante… Pour le Big Air, la neige produite était parfaitement inoffensive pour l’environnement et l’énergie utilisée a été le moins impactante possible. Ce n’est pas comparable avec ce qui se produit dans certaines stations de ski. Il faut trouver des équilibres, sinon pourquoi ne pas fermer les piscines chauffées toute l’année, ou bien les patinoires maintenues elles aussi toute l’année ?
Le High Five rassemble entre 30 et 40 000 personnes. On ne peut avoir aucun doute sur sa vocation et je vois le travail fourni en amont pour l’améliorer en permanence. Gaylord est un enfant du territoire et il a le souci de le préserver au mieux.
Annecy est très associée à ses activités économiques endémiques. Les industries créatives sont portées par le Festival du Cinéma d’Animation, l’industrie du outdoor est portée par le High Five qui associe la ville, les activités outdoor , l’industrie et le territoire, comme le fait Annecy Mountains, dans un imaginaire collectif.
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