Lectures d'été

 

Toute la lumière que nous ne pouvons voir. Anthony Doerr, (Albin michel)
Histoires croisées d’une jeune fille aveugle et d’un jeune homme travaillant pour l’armée allemande pendant la 2° guerre mondiale. Prix Pulitzer.

Le tabac Tresniek. Robert Seethaler, (Sabine Wespieser)
Un jeune homme devient l’apprenti d’un buraliste qui compte S. Freud dans sa clientèle. Une histoire d’amitié.

Juste ciel. Eric Chevillard (Editions de Minuit)
Albert Moindre se retrouve au ciel après avoir été renversé par un camion transportant des olives pour apéritif. Qu’y a -t-il après la mort ? Une sorte de pôle emploi gigantesque et délirant…

La position. Meg Wolitzer (Sonatine)
Un groupe d’adolescents découvre dans la maison de l’un d’entre eux une version du Kama Sutra réalisée par les parents de celui-ci. Ils ont quinze ans et les hormones en ébullition.

Brûlons tous ces punks pour l’amour des elfes. Julien Campredon (Monsieur Toussaint Louverture)
Recueil de nouvelles. Totalement délirant, absurde. Du Samuel Beckett à la française.

Vous retrouverez les coups de cœur de la librairie à cette adresse librairieruedeverneuil.com

Donner un sens à l'existence ou pourquoi le Petit Prince est le plus grand traité métaphysique du XXe siecle. Jean Philippe Ravoux (Robert Laffont).
Le Petit Prince a souvent été présenté comme un conte pour enfants. A travers cet essai passionnant, Jean Philippe Ravoux nous prouve le contraire et nous invite à une relecture du Petit Prince à la lumière de l'oeuvre de Saint Exupery et Descartes.

Le Guide du voyageur galactique H2G2, I. Douglas Adams (Folio SF).
Péripéties  extravagantes  qui s’enchaînent grâce à un humour absurde et réjouissant. Un cocktail de bonne humeur !

Trois fois dès l’aube. Alessandro Baricco (Gallimard).
Trois histoires contées avec grande maîtrise par Alessandro Baricco. Des dialogues ciselés, un récit élégant, Baricco signe un retour réussi.

Le Diable. Tolstoi (Gallimard).
Un texte hypnotique, qui déchaîne les passions et les tourments intérieurs. L’immense écrivain a écrit pour l’éternité et ses textes restent d’une grande modernité.

Une trop bruyante solitude. Bohumil Hrabal (Robert Laffont).
Un texte qui s’inscrit dans la lignée des écrits d’Orwell, Huxley. D’une grande subversion, ou comment l’art est le dernier rempart au totalitarisme. Plus que jamais Bohumil Hrabal est d’une actualité troublante…