L’occasion : la tournée de Michel Boujenah avec le spectacle Ma vie rêvée, entre une représentation à Annecy et une escale à Onex les 25 et 27 février.
Le contexte : l’interview se déroule le 9 janvier, alors que les responsables de l’attentat à Charlie Hebdo sont en cavale.
Cette actualité nous place bien loin d’une vie rêvée...
Ah ça... On s’attendait à quelque chose, à des attentats, mais on reste démuni quand ça se produit.
Vous parlez de politique dans votre spectacle ?
Oui, et je dénonce ce qui fait mal.
J’ai vu à Annecy que vous jouez beaucoup avec le public. Vous faites ça à chaque fois ?
Oui, oui, j’improvise beaucoup. J’adore que le public soit partie prenante et pas seulement témoin du spectacle. C’est venu naturel- lement avec le temps, l’expérience. Peu à peu les choses se sont installées d’elles- mêmes.
Vous évoquez la Tunisie. Qu’est-ce qui fait votre attachement à ce pays ? L’enfance, bien sûr...
L’enfance, oui, mais aussi le fait que la Tu- nisie m’a formé, m’a construit. Ça a fait de moi ce que je suis. C’est un pays qui vous berce, qui vous accompagne. Il y a quelque chose de spécial chez les gens.
Vous êtes très fort. Pendant votre spectacle, vous faites votre propre psychanalyse aux frais du public.
Oui, mais il ne faut pas le lui dire sinon il va demander à être remboursé.
En échange, vous proposez une sexothérapie qui n’est pas mal. Est-ce que dans la vie vous êtes comme sur scène ?
Non, non, je ne suis pas du tout dans la vie comme sur scène ; heureusement sinon je serais déjà en hôpital psychiatrique. Dans la vie, je n’ai pas autant d’énergie. Je suis toujours inquiet pour mes reins, mon dos, j’ai peur de me faire un claquage. Je fais super attention à mon état physique parce que le temps passe.
Pourtant on a vraiment l’impression d’une boule d’énergie en vous voyant.
Ça vient de l’expérience. C’est très impor- tant, avec le métier on compense l’âge. Il faut bien quelques compensations, c’est normal.
Le contexte : l’interview se déroule le 9 janvier, alors que les responsables de l’attentat à Charlie Hebdo sont en cavale.
Cette actualité nous place bien loin d’une vie rêvée...
Ah ça... On s’attendait à quelque chose, à des attentats, mais on reste démuni quand ça se produit.
Vous parlez de politique dans votre spectacle ?
Oui, et je dénonce ce qui fait mal.
J’ai vu à Annecy que vous jouez beaucoup avec le public. Vous faites ça à chaque fois ?
Oui, oui, j’improvise beaucoup. J’adore que le public soit partie prenante et pas seulement témoin du spectacle. C’est venu naturel- lement avec le temps, l’expérience. Peu à peu les choses se sont installées d’elles- mêmes.
Vous évoquez la Tunisie. Qu’est-ce qui fait votre attachement à ce pays ? L’enfance, bien sûr...
L’enfance, oui, mais aussi le fait que la Tu- nisie m’a formé, m’a construit. Ça a fait de moi ce que je suis. C’est un pays qui vous berce, qui vous accompagne. Il y a quelque chose de spécial chez les gens.
Vous êtes très fort. Pendant votre spectacle, vous faites votre propre psychanalyse aux frais du public.
Oui, mais il ne faut pas le lui dire sinon il va demander à être remboursé.
En échange, vous proposez une sexothérapie qui n’est pas mal. Est-ce que dans la vie vous êtes comme sur scène ?
Non, non, je ne suis pas du tout dans la vie comme sur scène ; heureusement sinon je serais déjà en hôpital psychiatrique. Dans la vie, je n’ai pas autant d’énergie. Je suis toujours inquiet pour mes reins, mon dos, j’ai peur de me faire un claquage. Je fais super attention à mon état physique parce que le temps passe.
Pourtant on a vraiment l’impression d’une boule d’énergie en vous voyant.
Ça vient de l’expérience. C’est très impor- tant, avec le métier on compense l’âge. Il faut bien quelques compensations, c’est normal.
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