Mister Mat, d’où vient ce nom ?
Je m’appelle Mathieu. Quand j’ai commencé à faire de la musique, à traîner dans les clubs, dans les bars, mes copains anglais, anglo saxons m’ont très vite appelé « Mister Mat , Mister Mat , comment ça va Mister Mat ? » « Mister Mat » s’est imposé.
Quand est-ce que tu t’es rendu compte que tu as une voix exceptionnelle ?
Je ne me suis jamais dit que j’avais une voix particulière, je suis juste quelqu’un qui aime chanter. Bien sûr, je sais que…oui, pour ma voix, mais j’aime chanter des émotions. Je le fais de manière très instinctive. J’ai surtout eu la sensation dans la vie de ne pas avoir de plan B. Est-ce que c’est ça qui a façonné ma voix ou bien elle qui m’a amené sur cette voie.
C’est une interaction.
Et un mystère.
Mister et mystère. Ton EP s’appelle « Freedom ». La liberté est un truc très revendiqué, au point que c’est presque galvaudé ; mais ton cheminement donne un sens personnel à ce mot.
Il y a un cheminement particulier dans mon projet, je suis un amoureux de la liberté. J’aime les mots qui ont du sens et celui-ci en a un particulier pour moi, oui. Je suis amoureux de Brassens, j’aime les êtres férus de liberté. J’ai pris ma première claque en lisant Kerouac. Le mot « liberté » résonne parfaitement avec ce qui s’est passé dans ma vie ces dernières années.
Tu as une inspiration, des racines mais tu donnes ton propre sens à cette notion, au chemin que tu suis.
Comme tout le monde, je crois.
Pas vraiment, non.
En tout cas, je n’ai jamais essayé de copier personne. J’aime bien cette formule d’Oscar Wilde « Soyez vous-même, les autres sont déjà pris » que j’essaye de m’appliquer tous les jours.
Les paroles de mes chansons forment de petites histoires dans lesquelles je laisse une part de moi, faite d’émotions qui peuvent venir d’ailleurs mais que je porte en moi. C’est un mélange de « lui », de « je ». Je suis assez instinctif, très émotif. Ma sensibilité nourrit mes chansons. Je pars souvent sur un coup de tête, d’une idée à partir de laquelle j’écris 50 lignes d’un coup avant d’y revenir. La plupart de mes chansons sont écrites d’un trait.
Tu as un côté autodidacte ?
Je suis autodidacte en tout, pour le chant, pour la guitare…
Dans la vie aussi.
Oui. A l’école ça ne marchait pas. Ce n’était pour moi que des contraintes.
D’ où cette recherche de liberté.
A force de vouloir faire entrer un carré dans un rond, ça effrite les trucs. Certains ont la manière de penser qui va avec ce type de fonctionnement. J’ai besoin de voir par moi-même, j’ai la chance d’être curieux. A l’école, je posais toujours la question qui faisait chier. J’ai toujours eu l’impression de poser naturellement le regard où les autres ne le posaient pas.
Sur la couverture de ton EP tu es grimé, maquillé de manière particulière ?
Ce sont des photos en noir et blanc réalisées par Pierre Wetzel au collodion, avec un appareil vieux de 150 ans et colorisées ensuite comme on le fait pour les films. C’est ce qui donne ce résultat un peu hors du temps.
Entre deux et atypique, comme ton parcours.
Exactement.
Je m’appelle Mathieu. Quand j’ai commencé à faire de la musique, à traîner dans les clubs, dans les bars, mes copains anglais, anglo saxons m’ont très vite appelé « Mister Mat , Mister Mat , comment ça va Mister Mat ? » « Mister Mat » s’est imposé.
Quand est-ce que tu t’es rendu compte que tu as une voix exceptionnelle ?
Je ne me suis jamais dit que j’avais une voix particulière, je suis juste quelqu’un qui aime chanter. Bien sûr, je sais que…oui, pour ma voix, mais j’aime chanter des émotions. Je le fais de manière très instinctive. J’ai surtout eu la sensation dans la vie de ne pas avoir de plan B. Est-ce que c’est ça qui a façonné ma voix ou bien elle qui m’a amené sur cette voie.
C’est une interaction.
Et un mystère.
Mister et mystère. Ton EP s’appelle « Freedom ». La liberté est un truc très revendiqué, au point que c’est presque galvaudé ; mais ton cheminement donne un sens personnel à ce mot.
Il y a un cheminement particulier dans mon projet, je suis un amoureux de la liberté. J’aime les mots qui ont du sens et celui-ci en a un particulier pour moi, oui. Je suis amoureux de Brassens, j’aime les êtres férus de liberté. J’ai pris ma première claque en lisant Kerouac. Le mot « liberté » résonne parfaitement avec ce qui s’est passé dans ma vie ces dernières années.
Tu as une inspiration, des racines mais tu donnes ton propre sens à cette notion, au chemin que tu suis.
Comme tout le monde, je crois.
Pas vraiment, non.
En tout cas, je n’ai jamais essayé de copier personne. J’aime bien cette formule d’Oscar Wilde « Soyez vous-même, les autres sont déjà pris » que j’essaye de m’appliquer tous les jours.
Les paroles de mes chansons forment de petites histoires dans lesquelles je laisse une part de moi, faite d’émotions qui peuvent venir d’ailleurs mais que je porte en moi. C’est un mélange de « lui », de « je ». Je suis assez instinctif, très émotif. Ma sensibilité nourrit mes chansons. Je pars souvent sur un coup de tête, d’une idée à partir de laquelle j’écris 50 lignes d’un coup avant d’y revenir. La plupart de mes chansons sont écrites d’un trait.
Tu as un côté autodidacte ?
Je suis autodidacte en tout, pour le chant, pour la guitare…
Dans la vie aussi.
Oui. A l’école ça ne marchait pas. Ce n’était pour moi que des contraintes.
D’ où cette recherche de liberté.
A force de vouloir faire entrer un carré dans un rond, ça effrite les trucs. Certains ont la manière de penser qui va avec ce type de fonctionnement. J’ai besoin de voir par moi-même, j’ai la chance d’être curieux. A l’école, je posais toujours la question qui faisait chier. J’ai toujours eu l’impression de poser naturellement le regard où les autres ne le posaient pas.
Sur la couverture de ton EP tu es grimé, maquillé de manière particulière ?
Ce sont des photos en noir et blanc réalisées par Pierre Wetzel au collodion, avec un appareil vieux de 150 ans et colorisées ensuite comme on le fait pour les films. C’est ce qui donne ce résultat un peu hors du temps.
Entre deux et atypique, comme ton parcours.
Exactement.
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