Que faisais-tu avant cet appel ?
J’étais en train de pianoter, de chercher des mélodies, à la cool.
Comment travailles-tu ?
C’est un vaste bordel ! Parfois un bout de mélodie me trotte dans la tête et je cherche les mots, parfois c’est l’inverse. C’est un puzzle : ce que je veux exprimer, les rimes, la mélodie, la structure...
On parle d’une inspiration tournée vers l’in- time. Est-ce que tu te sens parfois mis à nu ?
Je suis très fragile quand je chante un morceau pour la 1ère fois, à mes proches : c’est un peu intime et là je suis fébrile. Sans parler d’espérer que ça plaise !
Dans cet album, ta voix est plus haute, adoucie.
C’est un choix, j’avais envie de nouvelles sensations de chant. La voix rauque m’empêchait de faire des musiques plus mélodiques et chantées. Du coup les prises sur cet album sont plus sen- sibles, et c’est sur scène qu’il y a beaucoup de lâché prise, d’énergie.
Et alors, la scène ?
J’adtore ! J’ai des musiciens assez dingues, il y a une vraie connivence et on partage le plai- sir d’être dans l’élan, avec des versions assez rock n’ roll des anciennes et nouvelles chansons.
Le titre J’habitais là est très tendre. Tu as dit d’ailleurs être curieux de revoir la maison de ton enfance. L’as-tu fait ?
J’ai voulu partager la nostalgie qu’on peut avoir pour sa maison d’enfance. J’habite près de la mienne, mais je ne m’y suis pas encore présenté ! Je me souviens de la cave, où je faisais de la musique avec mon frère : on s’enregistrait avec du matériel pas fait pour, au plafond il y avait 3 spots de couleur pour faire « concert »...
Tu pointes le morceau voyager comme un déclencheur de l’album, pourquoi ?
J’étais hyper content d’écrire cette chanson ! J’étais dans une phase où j’avais du mal à écrire, ça m’attristait beaucoup, et cette chanson m’a reconnecté à l’écriture.
Tu dis détenir une batterie de proverbes. Quel est ton préféré ?
L’expression « se lever du bon pied » est un peu mon objectif de vie : des journées qui com- mencent dans un état d’esprit actif et créatif.
Dans ton MP3, ta platine vinyle, il y a quoi ?
The WHO, Villagers, Brassens.
J’étais en train de pianoter, de chercher des mélodies, à la cool.
Comment travailles-tu ?
C’est un vaste bordel ! Parfois un bout de mélodie me trotte dans la tête et je cherche les mots, parfois c’est l’inverse. C’est un puzzle : ce que je veux exprimer, les rimes, la mélodie, la structure...
On parle d’une inspiration tournée vers l’in- time. Est-ce que tu te sens parfois mis à nu ?
Je suis très fragile quand je chante un morceau pour la 1ère fois, à mes proches : c’est un peu intime et là je suis fébrile. Sans parler d’espérer que ça plaise !
Dans cet album, ta voix est plus haute, adoucie.
C’est un choix, j’avais envie de nouvelles sensations de chant. La voix rauque m’empêchait de faire des musiques plus mélodiques et chantées. Du coup les prises sur cet album sont plus sen- sibles, et c’est sur scène qu’il y a beaucoup de lâché prise, d’énergie.
Et alors, la scène ?
J’adtore ! J’ai des musiciens assez dingues, il y a une vraie connivence et on partage le plai- sir d’être dans l’élan, avec des versions assez rock n’ roll des anciennes et nouvelles chansons.
Le titre J’habitais là est très tendre. Tu as dit d’ailleurs être curieux de revoir la maison de ton enfance. L’as-tu fait ?
J’ai voulu partager la nostalgie qu’on peut avoir pour sa maison d’enfance. J’habite près de la mienne, mais je ne m’y suis pas encore présenté ! Je me souviens de la cave, où je faisais de la musique avec mon frère : on s’enregistrait avec du matériel pas fait pour, au plafond il y avait 3 spots de couleur pour faire « concert »...
Tu pointes le morceau voyager comme un déclencheur de l’album, pourquoi ?
J’étais hyper content d’écrire cette chanson ! J’étais dans une phase où j’avais du mal à écrire, ça m’attristait beaucoup, et cette chanson m’a reconnecté à l’écriture.
Tu dis détenir une batterie de proverbes. Quel est ton préféré ?
L’expression « se lever du bon pied » est un peu mon objectif de vie : des journées qui com- mencent dans un état d’esprit actif et créatif.
Dans ton MP3, ta platine vinyle, il y a quoi ?
The WHO, Villagers, Brassens.
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