Joëlle Derippe, élue de Seynod en charge de la culture et cheville ouvrière de cet événement rappelle qu’il se tient pour la 15°fois et qu’il est avant tout un lieu de rencontre qui rassure chacun(e) sur son talent grâce au regard des autres. Les passions rassemblent une fois de plus dans la convivialité. Plus de 80 exposants traduisent le succès de cette journée.
La présence de nombreux élus, le mot de Françoise Camusso soulignent l’intérêt de ce moment d’échange.
A se promener dans les salles d’exposition, on remarque essentiellement la diversité des approches artistiques, des techniques et des matériaux utilisés.
La récupération est à l’honneur, comme le montrent les réalisations de deux exposantes.
D’où vient le nom « Plume d’Apy » ?
J’ai commencé à travailler les plumes. Il me fallait trouver un nom court, évocateur de mon travail, le nom vient de là.
Et des plumes, on passe aux capsules de café.
Je suis dans une démarche locale, biologique. Je ramasse les plumes uniquement en Haute-Savoie. Les oiseaux muent deux fois par an, je récolte à ce moment-là.
Avec mes petits anges je reste dans la récup’ : le corps est une capsule, les ailes avec des sets de table que je n’utilise plus, la tête un bouton de porte.
Je suis partie de cette question : qu’est-ce que je peux faire avec ce que je mets à la poubelle ?
L’envol des vinyles de Simone Wanhout
D’ordinaire je fais des pastels. J’en avais assez. J’avais des vinyles à mettre à la déchetterie. J’ai vu que je pouvais les déformer, les couper. Ils prennent des formes surprenantes auxquelles je n’aurais pas pensé. Je suis partie de vinyles normaux pour les destroyer.
Envol de vinyles parce qu’il paraît que c’est la fin, mais ça reviendra, c’est comme la migration pour les oiseaux !
La présence de nombreux élus, le mot de Françoise Camusso soulignent l’intérêt de ce moment d’échange.
A se promener dans les salles d’exposition, on remarque essentiellement la diversité des approches artistiques, des techniques et des matériaux utilisés.
La récupération est à l’honneur, comme le montrent les réalisations de deux exposantes.
D’où vient le nom « Plume d’Apy » ?
J’ai commencé à travailler les plumes. Il me fallait trouver un nom court, évocateur de mon travail, le nom vient de là.
Et des plumes, on passe aux capsules de café.
Je suis dans une démarche locale, biologique. Je ramasse les plumes uniquement en Haute-Savoie. Les oiseaux muent deux fois par an, je récolte à ce moment-là.
Avec mes petits anges je reste dans la récup’ : le corps est une capsule, les ailes avec des sets de table que je n’utilise plus, la tête un bouton de porte.
Je suis partie de cette question : qu’est-ce que je peux faire avec ce que je mets à la poubelle ?
L’envol des vinyles de Simone Wanhout
D’ordinaire je fais des pastels. J’en avais assez. J’avais des vinyles à mettre à la déchetterie. J’ai vu que je pouvais les déformer, les couper. Ils prennent des formes surprenantes auxquelles je n’aurais pas pensé. Je suis partie de vinyles normaux pour les destroyer.
Envol de vinyles parce qu’il paraît que c’est la fin, mais ça reviendra, c’est comme la migration pour les oiseaux !
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