Un Concept
On a parlé du « spectacle de la maturité », qu’en penses-tu ?
J’en suis presque là ! Dans le spectacle je parle de ma paternité, et je fais aussi le tour de mes défauts, de ce que je voudrais bonifier pour ne pas passer à côté des choses de la vie. Mais je me sens encore as- sez ado !
Comment est né ce spectacle ?
Les spectacles s’inspirent aussi du vécu. Je me suis séparé alors que je cherchais le fil rouge de celui-ci... C’est devenu une source d’inspiration : il y a plein de choses à dire sur les ruptures ! Je pense rallonger le spectacle de 10 min (rires).
Il paraît que tu maltraites quelques chansons...?
Je m’amuse de Garou, d’Isabelle Boulet,d’artistesfrançaiscommeGainsbourg, Bashung... Que j’adore, mais dont le style « poète torturé » existe peu outre atlantique.
Quelles différences entre les publics québécois et français ?
En France il faut lancer le truc, alors qu’au Québec le public est à fond dès le départ et la standing ovation est régulière. Ici les gens tapent parfois du pied, je ne connaissais pas, ça.
Il y a des musiciens sur scène. Envisagerais-tu de faire un album ?
Ca me plairait de me poser 1 an dans un cadre sympa, comme à Aix-en-Provence, et d’inviter des potes musiciens. Mais j’ai écrit 3 chansons pour le spectacle, je sais que ce n’est pas facile.
Tu chantes, danses, joues... Est-ce qu’il y a un art que tu redoutes ?
La réalisation. Ca me semble compliqué, notamment dans la comédie. J’aurais beaucoup d’appréhension.
Est-ce que ce n’est pas difficile d’être un humoriste sexy ?
(Rires) Merci ! Au début ça m’a posé des problèmes de crédibilité, « c’est qui cette belle gueule », mais c’est plutôt parce que je fais de l’entertainment : j’aime les décors, m’habiller, jouer avec des écrans... Après il faut aussi jouer avec son physique, son allure... Le personnage Riko vient de là.
Et quelle expression française t’étonne ?
A fond les ballons ! Je comprends, mais d’où ça vient ?
J’en suis presque là ! Dans le spectacle je parle de ma paternité, et je fais aussi le tour de mes défauts, de ce que je voudrais bonifier pour ne pas passer à côté des choses de la vie. Mais je me sens encore as- sez ado !
Comment est né ce spectacle ?
Les spectacles s’inspirent aussi du vécu. Je me suis séparé alors que je cherchais le fil rouge de celui-ci... C’est devenu une source d’inspiration : il y a plein de choses à dire sur les ruptures ! Je pense rallonger le spectacle de 10 min (rires).
Il paraît que tu maltraites quelques chansons...?
Je m’amuse de Garou, d’Isabelle Boulet,d’artistesfrançaiscommeGainsbourg, Bashung... Que j’adore, mais dont le style « poète torturé » existe peu outre atlantique.
Quelles différences entre les publics québécois et français ?
En France il faut lancer le truc, alors qu’au Québec le public est à fond dès le départ et la standing ovation est régulière. Ici les gens tapent parfois du pied, je ne connaissais pas, ça.
Il y a des musiciens sur scène. Envisagerais-tu de faire un album ?
Ca me plairait de me poser 1 an dans un cadre sympa, comme à Aix-en-Provence, et d’inviter des potes musiciens. Mais j’ai écrit 3 chansons pour le spectacle, je sais que ce n’est pas facile.
Tu chantes, danses, joues... Est-ce qu’il y a un art que tu redoutes ?
La réalisation. Ca me semble compliqué, notamment dans la comédie. J’aurais beaucoup d’appréhension.
Est-ce que ce n’est pas difficile d’être un humoriste sexy ?
(Rires) Merci ! Au début ça m’a posé des problèmes de crédibilité, « c’est qui cette belle gueule », mais c’est plutôt parce que je fais de l’entertainment : j’aime les décors, m’habiller, jouer avec des écrans... Après il faut aussi jouer avec son physique, son allure... Le personnage Riko vient de là.
Et quelle expression française t’étonne ?
A fond les ballons ! Je comprends, mais d’où ça vient ?
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Benoît Poelvoorde. Je le trouve brillantissime, avec ses envolées lyriques, sa fougue, son rire tellement sincère.
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