Dominique Seiz, vous êtes venue naturellement du cours de dessin que vous suiviez à l’ouverture d’une galerie d’art dont l’existence est vraiment justifiée à Cluny, ville d’Histoire, de culture.
Il manquait une exposition permanente d’artistes de la région. Il y en a beaucoup et ils sont pour la plupart méconnus ici-même. Si la galerie peut aider à les faire émerger, j’en serai ravie. Je souhaite aussi exposer des artistes d’autres horizons et créer ainsi une dynamique et une sorte d’harmonie.
Les Clunisois peuvent être intéressés par cette démarche ainsi que les artistes, écrivains, personnes de théâtre et de diverses disciplines artistiques qui apprécient la région et y séjournent régulièrement, sans oublier les touristes.
Je souhaite que ma galerie devienne un lieu de rencontre autour de l’art et de la culture, c’est pourquoi je compte y organiser des lectures de textes littéraires, y produire de la musique… rendre l’art et la culture vivants.
Il manquait une exposition permanente d’artistes de la région. Il y en a beaucoup et ils sont pour la plupart méconnus ici-même. Si la galerie peut aider à les faire émerger, j’en serai ravie. Je souhaite aussi exposer des artistes d’autres horizons et créer ainsi une dynamique et une sorte d’harmonie.
Les Clunisois peuvent être intéressés par cette démarche ainsi que les artistes, écrivains, personnes de théâtre et de diverses disciplines artistiques qui apprécient la région et y séjournent régulièrement, sans oublier les touristes.
Je souhaite que ma galerie devienne un lieu de rencontre autour de l’art et de la culture, c’est pourquoi je compte y organiser des lectures de textes littéraires, y produire de la musique… rendre l’art et la culture vivants.
Dominique Seiz - passion d'art Cluny
Parmi d’autres artistes, Dominique expose en ce moment des œuvres de Mischa Faust que nous rencontrons.
Toutes ses réalisations assemblent dessin à l’encre de Chine et collage. Assemblent, c’est bien de le dire ainsi parce qu’il s’agit d’harmonies uniques nées de la réunion, de la juxtaposition, de l’interpénétration de thèmes dont le principal est un hommage permanent et extrêmement vivant à sa sœur disparue depuis vingt ans. Il y a du Faust là-dedans.
Hommage à la sœur disparue, qui fut artiste et galeriste, hommages à l’Italie et à la mer où Misha la suivit parfois, à la musique aussi.
Chaque réalisation de Misha vibre comme un hommage à la vie
Toutes ses réalisations assemblent dessin à l’encre de Chine et collage. Assemblent, c’est bien de le dire ainsi parce qu’il s’agit d’harmonies uniques nées de la réunion, de la juxtaposition, de l’interpénétration de thèmes dont le principal est un hommage permanent et extrêmement vivant à sa sœur disparue depuis vingt ans. Il y a du Faust là-dedans.
Hommage à la sœur disparue, qui fut artiste et galeriste, hommages à l’Italie et à la mer où Misha la suivit parfois, à la musique aussi.
Chaque réalisation de Misha vibre comme un hommage à la vie
Dominique Seiz - passion d'art Cluny
Mischa, vous reprenez dans vos réalisations des éléments du travail de votre sœur. C’est un hommage par-delà la mort ?
Oui. C’est d’ailleurs elle qui m’a montré la technique de l’encre de Chine ; en même temps que ma démarche graphique, il y a une démarche spirituelle.
Dans vos œuvres, tout est morcelé et imbriqué pour former une continuité et une harmonie.
Ne vous étonnez pas de retrouver des poissons ici ou là, ils sont liés à mon adolescence en Italie, ainsi que les poulpes.
A ce propos, vous mêlez les éléments organiques à une restitution très esthétique, très graphique. Avec vous, on est toujours à la croisée de plusieurs dimensions. Même lorsqu’on regarde votre signature. Comment qualifieriez-vous vos œuvres ?
Ce sont surtout des états d’âme. La technique est au service de l’expression de ces états d’âme.
Vous avez des états d’âme très complexes !
Je ne vous le fais pas dire (rires). Je ne dessine ou ne peins pas pour faire de la décoration, mais par nécessité, pour naviguer entre le présent et le passé. Cette petite lumière dont on ne sait pas si elle est encore allumée ou éteinte représente ma sœur.
Dans vos dessins, qui sont à la fois composites, hybrides, on peut même imaginer la présence de monstres, comme vos poissons, des dragons…
Les monstres, il faut les domestiquer, les chevaucher.
Oui. C’est d’ailleurs elle qui m’a montré la technique de l’encre de Chine ; en même temps que ma démarche graphique, il y a une démarche spirituelle.
Dans vos œuvres, tout est morcelé et imbriqué pour former une continuité et une harmonie.
Ne vous étonnez pas de retrouver des poissons ici ou là, ils sont liés à mon adolescence en Italie, ainsi que les poulpes.
A ce propos, vous mêlez les éléments organiques à une restitution très esthétique, très graphique. Avec vous, on est toujours à la croisée de plusieurs dimensions. Même lorsqu’on regarde votre signature. Comment qualifieriez-vous vos œuvres ?
Ce sont surtout des états d’âme. La technique est au service de l’expression de ces états d’âme.
Vous avez des états d’âme très complexes !
Je ne vous le fais pas dire (rires). Je ne dessine ou ne peins pas pour faire de la décoration, mais par nécessité, pour naviguer entre le présent et le passé. Cette petite lumière dont on ne sait pas si elle est encore allumée ou éteinte représente ma sœur.
Dans vos dessins, qui sont à la fois composites, hybrides, on peut même imaginer la présence de monstres, comme vos poissons, des dragons…
Les monstres, il faut les domestiquer, les chevaucher.
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