Bienvenue à Rock'n Poche Adèle, Robin, Seiko (le batteur) et Steven (à l'ingé son). C’est votre Premier festival ?
Adèle : Première fois ici, mais ce n'est pas notre premier festival. Nous avons déjà participé à Aluna, ainsi qu'au Cabaret Frappé à Grenoble et au Vercors Music Festival également l'année dernière. D'ailleurs, c'est le seul festival qu'on fait cette année, donc nous sommes très heureux d'être ici.
Pourquoi un seul festival cette année alors que vous en avez fait plusieurs l'année dernière ?
Adèle : Parce qu'on est tous les deux, tous les trois d'ailleurs, étudiants et donc nous sommes en stage en ce moment. Et donc c'était un peu compliqué de faire un stage et une tournée de festival. Donc on a dû choisir de finir nos études en beauté et l'année prochaine, nous irons aux festivals. À tort ou à raison, nous ne savons pas, mais en tout cas c'est cool de finir les études. Et nous sommes tous les trois à Sciences Po à Grenoble, sauf Steven.
Comment trouvez-vous l'énergie du festival malgré la météo ?
Adèle : Ben, c'est trop bien. Incroyable ! C'est fou.
Robin : C'est fou que malgré la pluie, les gens ont été aussi chauds.
Adèle : C'est une énergie géniale, un public très réceptif qui prête attention même s'il ne nous connaissent pas. La curiosité est toujours une bonne chose dans un festival.
Adèle : Première fois ici, mais ce n'est pas notre premier festival. Nous avons déjà participé à Aluna, ainsi qu'au Cabaret Frappé à Grenoble et au Vercors Music Festival également l'année dernière. D'ailleurs, c'est le seul festival qu'on fait cette année, donc nous sommes très heureux d'être ici.
Pourquoi un seul festival cette année alors que vous en avez fait plusieurs l'année dernière ?
Adèle : Parce qu'on est tous les deux, tous les trois d'ailleurs, étudiants et donc nous sommes en stage en ce moment. Et donc c'était un peu compliqué de faire un stage et une tournée de festival. Donc on a dû choisir de finir nos études en beauté et l'année prochaine, nous irons aux festivals. À tort ou à raison, nous ne savons pas, mais en tout cas c'est cool de finir les études. Et nous sommes tous les trois à Sciences Po à Grenoble, sauf Steven.
Comment trouvez-vous l'énergie du festival malgré la météo ?
Adèle : Ben, c'est trop bien. Incroyable ! C'est fou.
Robin : C'est fou que malgré la pluie, les gens ont été aussi chauds.
Adèle : C'est une énergie géniale, un public très réceptif qui prête attention même s'il ne nous connaissent pas. La curiosité est toujours une bonne chose dans un festival.
Comment a commencé l'aventure d'Adèle et Robin ? Et comment vous êtes-vous retrouvé avec les autres artistes de votre groupe ?
Adèle : Ben, ça a commencé par une rencontre...
Robin : … tout à fait. En 2017, à un stage de musique organisé au Conservatoire de Voiron. Nous avions chacun un groupe avec lequel nous étions venus travailler et nous avons fini par créer un projet alternatif à nos groupes de l'époque. Finalement, c'est ce projet qui a perduré, car nos groupes étaient un peu des groupes de lycée à la cool. Pendant le confinement, nous avons décidé de vraiment nous botter les fesses et de faire quelque chose d'un peu plus grand.
Adèle : On avait ces chansons dans nos chambres, et nous avons essayé de les faire connaître, de trouver un entourage professionnel, etc. Et surtout, nous nous sommes beaucoup développés sur les réseaux sociaux.
Qui est le community manager ?
Adèle : C'est moi qui gère les réseaux sociaux. Et du coup c'est le stage que je fais, c'est ça donc...
Adèle : Ben, ça a commencé par une rencontre...
Robin : … tout à fait. En 2017, à un stage de musique organisé au Conservatoire de Voiron. Nous avions chacun un groupe avec lequel nous étions venus travailler et nous avons fini par créer un projet alternatif à nos groupes de l'époque. Finalement, c'est ce projet qui a perduré, car nos groupes étaient un peu des groupes de lycée à la cool. Pendant le confinement, nous avons décidé de vraiment nous botter les fesses et de faire quelque chose d'un peu plus grand.
Adèle : On avait ces chansons dans nos chambres, et nous avons essayé de les faire connaître, de trouver un entourage professionnel, etc. Et surtout, nous nous sommes beaucoup développés sur les réseaux sociaux.
Qui est le community manager ?
Adèle : C'est moi qui gère les réseaux sociaux. Et du coup c'est le stage que je fais, c'est ça donc...
Quelles sont vos influences musicales ?
Adèle : Beaucoup. C'est un mélange entre la chanson française et la pop, donc en tant que chanteuse de chansons françaises, il y a beaucoup de Pomme et Ben Mazué qui écrivent des textes magnifiques avec de très belles mélodies. Et en pop, il y a plein de choses, même à l'international en fait.
Robin : Danakil, moi aussi j'adore. Non, non, en vrai, j'adore. Qu'est-ce qu'il y a d'autre ? Moi, je réponds des vieilles chansons françaises, comme du Brel à fond. Mais oui, j'ai des influences très très diverses. Aujourd'hui, on a accès à toute la musique pour 10 euros par mois, donc en vrai, on a quand même le choix d'écouter énormément de choses et d'aller piocher dans énormément de références.
Avez-vous chacun votre rôle ou le faites-vous tous ensemble avec chacun votre petite touche ? Comment cela se passe-t-il ?
Robin : On écrit tout ensemble, tous les deux. Donc, on s'enferme dans notre petit studio et on propose des idées de chansons. On avance ensemble sur de beaux textes que nous avons chacun dans nos téléphones ou dans des petits carnets. Nous avons également des petites idées de mélodies que nous mettons en commun…
Adèle : ...et après, on fait les arrangements. Une première version des arrangements est faite avec la batterie via un ordinateur. Ensuite, nous travaillons avec un producteur qui habite à Caen pour créer la version finale, à faire les versions finales des productions, le remastering et à ajouter des éléments auxquels nous n'aurions pas pensé nous-mêmes.
Robin : Oui, et on va aussi calibrer un peu les morceaux à ce qui se fait aujourd'hui, parce qu'on n'a pas toujours le réflexe de mettre trois refrains à la fin. Et en fait, c'est très efficace si on s'en rend compte, surtout en concert.
Adèle : Surtout, on n'a pas d'avis extérieur lorsque l'on écoute nos chansons au bout de trois semaines. On n'entend plus les éléments qui clochent. Il est toujours bénéfique de travailler avec des personnes extérieures.
Adèle : Beaucoup. C'est un mélange entre la chanson française et la pop, donc en tant que chanteuse de chansons françaises, il y a beaucoup de Pomme et Ben Mazué qui écrivent des textes magnifiques avec de très belles mélodies. Et en pop, il y a plein de choses, même à l'international en fait.
Robin : Danakil, moi aussi j'adore. Non, non, en vrai, j'adore. Qu'est-ce qu'il y a d'autre ? Moi, je réponds des vieilles chansons françaises, comme du Brel à fond. Mais oui, j'ai des influences très très diverses. Aujourd'hui, on a accès à toute la musique pour 10 euros par mois, donc en vrai, on a quand même le choix d'écouter énormément de choses et d'aller piocher dans énormément de références.
Avez-vous chacun votre rôle ou le faites-vous tous ensemble avec chacun votre petite touche ? Comment cela se passe-t-il ?
Robin : On écrit tout ensemble, tous les deux. Donc, on s'enferme dans notre petit studio et on propose des idées de chansons. On avance ensemble sur de beaux textes que nous avons chacun dans nos téléphones ou dans des petits carnets. Nous avons également des petites idées de mélodies que nous mettons en commun…
Adèle : ...et après, on fait les arrangements. Une première version des arrangements est faite avec la batterie via un ordinateur. Ensuite, nous travaillons avec un producteur qui habite à Caen pour créer la version finale, à faire les versions finales des productions, le remastering et à ajouter des éléments auxquels nous n'aurions pas pensé nous-mêmes.
Robin : Oui, et on va aussi calibrer un peu les morceaux à ce qui se fait aujourd'hui, parce qu'on n'a pas toujours le réflexe de mettre trois refrains à la fin. Et en fait, c'est très efficace si on s'en rend compte, surtout en concert.
Adèle : Surtout, on n'a pas d'avis extérieur lorsque l'on écoute nos chansons au bout de trois semaines. On n'entend plus les éléments qui clochent. Il est toujours bénéfique de travailler avec des personnes extérieures.
Vous avez écrit votre premier EP en 2020, "YAM", qui regroupe cinq titres. Comment a-t-il été accueilli par le public ?
Adèle : Je pense plutôt bien, étonnamment. Nous n'avions aucune attente par rapport à cet EP, car nous sortions un peu de nulle part. Nous n'avions sorti aucune chanson, donc nous n'avions aucun stream. Et en réalité, cela a été très bien accueilli, surtout la chanson « Je te vois partout ». L'EP a regroupé plus d'un million d'écoutes sur les plateformes. C'était assez improbable, donc le public a très bien accueilli le projet, à notre échelle. C'est un bon premier lancement.
Vous êtes jeune, vous venez de commencer. Vous avez des chansons puissantes avec des textes très engagés. Quel est le message derrière tout cela ?
Robin : Il y a plein de choses. Nous écrivons vraiment des chansons assez personnelles sur ce que nous vivons au quotidien en tant que jeunes adultes qui découvrent la vie d'adulte, qui s'émancipent de la famille, de certains codes, etc. Je pense que nous n'écrivons pas pour transmettre un message, mais juste pour partager ce que nous vivons. Parce que nous vivons des choses de notre génération, etc. En fait, le fait que les gens s'y retrouvent, pour nous c'est ça, ce n'est même pas une fin en soi, c'est juste que c'est ce qui se passe et c'est ce qui crée une alchimie avec les gens et les rend accrochés aux chansons. Parce qu'ils ont vécu ce que nous avons vécu, etc. Typiquement, je te vois partout, ça parle de perdre quelqu'un dans toutes les acceptions du terme. En fait, c'est génial parce que à la fois des gens qui ont perdu quelqu'un dans le sens physique, quelqu'un qui est mort, un proche qui est mort, s'identifient à cela. En même temps, quelqu'un qui vient de se faire larguer s'identifie également ça aussi. En fait, je ne sais plus qui a cette expression de chanson à tiroir, mais c'est vraiment ça. Le but est vraiment de mettre des petites clés dans plein de tiroirs et puis les gens vont les piocher au fur et à mesure.
Adèle : Je pense plutôt bien, étonnamment. Nous n'avions aucune attente par rapport à cet EP, car nous sortions un peu de nulle part. Nous n'avions sorti aucune chanson, donc nous n'avions aucun stream. Et en réalité, cela a été très bien accueilli, surtout la chanson « Je te vois partout ». L'EP a regroupé plus d'un million d'écoutes sur les plateformes. C'était assez improbable, donc le public a très bien accueilli le projet, à notre échelle. C'est un bon premier lancement.
Vous êtes jeune, vous venez de commencer. Vous avez des chansons puissantes avec des textes très engagés. Quel est le message derrière tout cela ?
Robin : Il y a plein de choses. Nous écrivons vraiment des chansons assez personnelles sur ce que nous vivons au quotidien en tant que jeunes adultes qui découvrent la vie d'adulte, qui s'émancipent de la famille, de certains codes, etc. Je pense que nous n'écrivons pas pour transmettre un message, mais juste pour partager ce que nous vivons. Parce que nous vivons des choses de notre génération, etc. En fait, le fait que les gens s'y retrouvent, pour nous c'est ça, ce n'est même pas une fin en soi, c'est juste que c'est ce qui se passe et c'est ce qui crée une alchimie avec les gens et les rend accrochés aux chansons. Parce qu'ils ont vécu ce que nous avons vécu, etc. Typiquement, je te vois partout, ça parle de perdre quelqu'un dans toutes les acceptions du terme. En fait, c'est génial parce que à la fois des gens qui ont perdu quelqu'un dans le sens physique, quelqu'un qui est mort, un proche qui est mort, s'identifient à cela. En même temps, quelqu'un qui vient de se faire larguer s'identifie également ça aussi. En fait, je ne sais plus qui a cette expression de chanson à tiroir, mais c'est vraiment ça. Le but est vraiment de mettre des petites clés dans plein de tiroirs et puis les gens vont les piocher au fur et à mesure.
Question qui nous brûle les lèvres : ami ou plus si affinités ?
Adèle : Pour être honnête, nous sommes en couple depuis longtemps, depuis que nous nous sommes rencontrés.
Pas trop dur ? Ça ne crée pas trop de tension ?
Adèle : Non, et les cours, tout ça, ça va. Cela peut être compliqué à gérer parfois. Je trouve que c'est génial de vivre toujours plein d'aventures avec des gens parce que la musique, c'est trop bien quand c'est partagé. Quand on part tous en tournée, qu'on est tous ensemble dans le van. C'est comme une petite famille. C'est le pouvoir des liens, quoi.
Robin: Et même avec la petite équipe qui nous accompagne, c'est vraiment un régal. Nous avons ici Seiko, notre batteur, qui nous suit partout depuis trois ans.
Seiko: Je les suis partout. Je confirme, et ça se passe très bien. Ce sont des employeurs au poil ! (rire)
Quels sont vos projets futurs ?
Robin : Un EP qui sortira d'ici fin décembre. Il y aura éventuellement un autre single clipé avant d'ici là.
Adèle : Oui. Beaucoup de nouvelles chansons vont arriver. Beaucoup des chansons que nous avons jouées ce soir. Et nous espérons une tournée après. À la fin des premières parties, etc. Nous allons voir ce que nous mettons derrière.
Adèle : Pour être honnête, nous sommes en couple depuis longtemps, depuis que nous nous sommes rencontrés.
Pas trop dur ? Ça ne crée pas trop de tension ?
Adèle : Non, et les cours, tout ça, ça va. Cela peut être compliqué à gérer parfois. Je trouve que c'est génial de vivre toujours plein d'aventures avec des gens parce que la musique, c'est trop bien quand c'est partagé. Quand on part tous en tournée, qu'on est tous ensemble dans le van. C'est comme une petite famille. C'est le pouvoir des liens, quoi.
Robin: Et même avec la petite équipe qui nous accompagne, c'est vraiment un régal. Nous avons ici Seiko, notre batteur, qui nous suit partout depuis trois ans.
Seiko: Je les suis partout. Je confirme, et ça se passe très bien. Ce sont des employeurs au poil ! (rire)
Quels sont vos projets futurs ?
Robin : Un EP qui sortira d'ici fin décembre. Il y aura éventuellement un autre single clipé avant d'ici là.
Adèle : Oui. Beaucoup de nouvelles chansons vont arriver. Beaucoup des chansons que nous avons jouées ce soir. Et nous espérons une tournée après. À la fin des premières parties, etc. Nous allons voir ce que nous mettons derrière.
Notre question : Si pour un instant vous pouviez être quelqu'un ou quelque chose, qui ou quoi seriez-vous ?
Adèle : Quelqu'un ou quelque chose. Franchement, je pense que je serais Dua Lipa. Une chanteuse de pop en tournée internationale. Ce serait top. Tu peux dire quelque chose de non physique. Tu peux dire un frigo ? …
Robin: Moi, je pense que je serais plutôt une forme de nuage qui observe le monde d'en haut. C'est ce qui me vient à l'esprit en ce moment.
Seiko : … J'ai vu une vidéo du batteur de Black Pink. Comme je regarde beaucoup de vidéos de batteurs qui jouent derrière de grandes stars de la pop internationale, j'ai vu cette vidéo de ce batteur qui avait la responsabilité de faire groover Black Pink et ses musiciens. Je pense que ce serait très amusant d'échanger nos rôles pendant une soirée.
Adèle : Comment ça, tu ne veux pas être avec nous... ?? (rire)
Adèle : Quelqu'un ou quelque chose. Franchement, je pense que je serais Dua Lipa. Une chanteuse de pop en tournée internationale. Ce serait top. Tu peux dire quelque chose de non physique. Tu peux dire un frigo ? …
Robin: Moi, je pense que je serais plutôt une forme de nuage qui observe le monde d'en haut. C'est ce qui me vient à l'esprit en ce moment.
Seiko : … J'ai vu une vidéo du batteur de Black Pink. Comme je regarde beaucoup de vidéos de batteurs qui jouent derrière de grandes stars de la pop internationale, j'ai vu cette vidéo de ce batteur qui avait la responsabilité de faire groover Black Pink et ses musiciens. Je pense que ce serait très amusant d'échanger nos rôles pendant une soirée.
Adèle : Comment ça, tu ne veux pas être avec nous... ?? (rire)
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Avez-vous un petit message que vous souhaitez transmettre ?
Adèle et Robin : Venez nous voir en concert quand nous faisons des concerts dans la région. D'ailleurs, nous allons faire un concert à La Source, à Fontaine. Si elle est réparée, car il y a eu quelques petits soucis. Avec les émeutes, la salle a été endommagée. Mais normalement, le 21 décembre, à La Source, avec l'Orchestre des Campus de Grenoble. C'est un gros projet que nous avons depuis deux ans avec eux. Et qui devrait voir le jour à ce moment-là. Si ce n'est pas en décembre, ce sera en mars. Mais ce sera une date unique à ne pas manquer !
Pour plus d’informations et suivre Adèle et Robin :
Le site officiel : Link.duchess.company/adeleetrobin
Facebook : Facebook.com/adeleetrobin
Instagram : Instagram.com/adeleetrobin
Youtube : Youtube.com/@AdeleetRobin
TikTok : Tiktok.com/@adeleetrobin
Adèle et Robin : Venez nous voir en concert quand nous faisons des concerts dans la région. D'ailleurs, nous allons faire un concert à La Source, à Fontaine. Si elle est réparée, car il y a eu quelques petits soucis. Avec les émeutes, la salle a été endommagée. Mais normalement, le 21 décembre, à La Source, avec l'Orchestre des Campus de Grenoble. C'est un gros projet que nous avons depuis deux ans avec eux. Et qui devrait voir le jour à ce moment-là. Si ce n'est pas en décembre, ce sera en mars. Mais ce sera une date unique à ne pas manquer !
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