Pour commencer, pouvez-vous vous présenter en quelques mots ?
Dino : Je suis bassiste.
Julien : Et moi, je suis guitariste.
D’où vous est venue l’idée de fabriquer vos propres instruments ?
Dino : À Kinshasa, nous ne sommes pas les premiers à le faire. Dans notre quartier, un musicien nommé Bebson de la Rue fabriquait déjà des instruments, mais à l’origine, c’était juste pour amuser ses invités, pas pour en jouer sur scène.
Qu’est-ce qui vous a poussés à vous lancer dans cette aventure ?
Dino : Nous faisions partie de son groupe, Trionix, où nous jouions avec des instruments modernes. Mais pendant la pandémie, on a ressenti le besoin de sortir des sentiers battus, de créer nos propres instruments et de voir plus grand.
Dino : Je suis bassiste.
Julien : Et moi, je suis guitariste.
D’où vous est venue l’idée de fabriquer vos propres instruments ?
Dino : À Kinshasa, nous ne sommes pas les premiers à le faire. Dans notre quartier, un musicien nommé Bebson de la Rue fabriquait déjà des instruments, mais à l’origine, c’était juste pour amuser ses invités, pas pour en jouer sur scène.
Qu’est-ce qui vous a poussés à vous lancer dans cette aventure ?
Dino : Nous faisions partie de son groupe, Trionix, où nous jouions avec des instruments modernes. Mais pendant la pandémie, on a ressenti le besoin de sortir des sentiers battus, de créer nos propres instruments et de voir plus grand.
Comment le public réagit-il en découvrant vos instruments faits main ?
Dino : Il est toujours stupéfait ! Les gens posent beaucoup de questions et sont fascinés de voir qu’on peut faire de la musique avec presque rien. Quand je joue ma basse artisanale, leur étonnement est total.
Votre musique porte-t-elle un message particulier ?
Julien : Oui, avant tout, nous voulons encourager les jeunes de Kinshasa à travailler et à croire en leurs talents. Notre chanson Elengi Ya Ko Vivre signifie “la joie de vivre par le travail”. Il y a aussi une dimension écologique : à travers le recyclage, on sensibilise à la protection de l’environnement.
Quels sont vos objectifs à long terme ?
Dino : Nous aimerions créer une véritable industrie musicale, ouvrir un centre culturel à Kinshasa pour soutenir les jeunes artistes et organiser des festivals.
Dino : Il est toujours stupéfait ! Les gens posent beaucoup de questions et sont fascinés de voir qu’on peut faire de la musique avec presque rien. Quand je joue ma basse artisanale, leur étonnement est total.
Votre musique porte-t-elle un message particulier ?
Julien : Oui, avant tout, nous voulons encourager les jeunes de Kinshasa à travailler et à croire en leurs talents. Notre chanson Elengi Ya Ko Vivre signifie “la joie de vivre par le travail”. Il y a aussi une dimension écologique : à travers le recyclage, on sensibilise à la protection de l’environnement.
Quels sont vos objectifs à long terme ?
Dino : Nous aimerions créer une véritable industrie musicale, ouvrir un centre culturel à Kinshasa pour soutenir les jeunes artistes et organiser des festivals.
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Si vous pouviez être quelqu’un d’autre, qui choisiriez-vous ?
Dino : J’aimerais suivre les traces de Ziggy Marley, le fils de Bob Marley, et pourquoi pas aller encore plus loin, jusqu’au niveau de Michael Jackson.
Julien : Moi, je voudrais être producteur.
Un dernier mot pour conclure ?
Dino : Retrouvez-nous sur Instagram @kingongolokiniata_officiel. Et ne manquez pas la sortie de notre album Kinyataka en novembre !
Dino : J’aimerais suivre les traces de Ziggy Marley, le fils de Bob Marley, et pourquoi pas aller encore plus loin, jusqu’au niveau de Michael Jackson.
Julien : Moi, je voudrais être producteur.
Un dernier mot pour conclure ?
Dino : Retrouvez-nous sur Instagram @kingongolokiniata_officiel. Et ne manquez pas la sortie de notre album Kinyataka en novembre !