« J’ai pris mon père sur mes épaules ». L’élaboration de la mythologie moderne
Articles similaires...
-
Anne de Bretagne : Une Fresque Théâtrale entre Histoire et Tragédie
-
We are Wolves, une pièce de théâtre féministe
-
Pierre Richard sur scène à Thônes, un spectacle qui revisite son image
-
NEOLITHICA (LE GRAND SECRET) : Un Spectacle Itinérant qui Révèle les Origines du Pouvoir
-
Joseph Paleni continue de cultiver son jardin
Deux heures quarante cinq de spectacle pour « dire les choses » et « parler de l’ordre des choses ».
Des fulgurances saisissantes bizarrement prises dans une sorte de distanciation qui fait que ce qui pourrait être joué ou dit est raconté en un faux aparté qui parcourt toute la représentation.
Ensemble et séparés, chacun dans sa bulle, son appart, son clapier architectural, mental, affectif, avec une recherche de liens de tous ordres.
Avec en leitmotiv « La scène représente… » repris par presque tous les personnages, mêlant déclaratif et explicatif pour créer cette distanciation qui aurait sans doute pu être exprimée autrement tandis que le décor écrase les personnages.
Sans doute un parti pris.
Tous les grands thèmes sont là , auquel s’ajoute une réflexion sur la valeur de la mort suivant qu’elle est due à un suicide, à une maladie, à des attentats.
De très louables intentions qui montrent la difficulté d’élaborer la mythologie de son époque en temps réel.
Mention spéciale à Philippe Torreton dont la force vitale explose et fait exploser les cadres de la mise en scène qui est d’Arnaud Meunier sur un texte de Fabrice Melquiot.
Des fulgurances saisissantes bizarrement prises dans une sorte de distanciation qui fait que ce qui pourrait être joué ou dit est raconté en un faux aparté qui parcourt toute la représentation.
Ensemble et séparés, chacun dans sa bulle, son appart, son clapier architectural, mental, affectif, avec une recherche de liens de tous ordres.
Avec en leitmotiv « La scène représente… » repris par presque tous les personnages, mêlant déclaratif et explicatif pour créer cette distanciation qui aurait sans doute pu être exprimée autrement tandis que le décor écrase les personnages.
Sans doute un parti pris.
Tous les grands thèmes sont là , auquel s’ajoute une réflexion sur la valeur de la mort suivant qu’elle est due à un suicide, à une maladie, à des attentats.
De très louables intentions qui montrent la difficulté d’élaborer la mythologie de son époque en temps réel.
Mention spéciale à Philippe Torreton dont la force vitale explose et fait exploser les cadres de la mise en scène qui est d’Arnaud Meunier sur un texte de Fabrice Melquiot.