Marc Boutavant ©Paul Rassat
Autant, ou presque, de motivations à venir au Salon que de visiteurs.
Ils sont nombreux, jeunes, plus âgés, venus en famille, entre amis, seul(e)s. Une famille vient de rencontrer Marc Boutavant.
Pourquoi êtes-vous venus au salon de la BD de Sevrier ?
Pour les auteurs. Notre aîné est un grand lecteur. Il aime beaucoup Marc Boutavant et Emmanuel Guibert et nous, les parents, nous sommes venus pour nos auteurs à nous.
Il y en a pour tout le monde.
Pour toute la famille, oui.
Vous venez de quittez Marc Boutavant. Quelle est votre impression ?
Parfait. Notre fils a appris à lire avec les BD de Ariol et nous avons parlé du spectacle de vendredi soir que nous sommes allés voir. C’était vachement sympa !
***
Une autre file d’attente, un autre auteur, d’autres visiteurs.
Qu’est-ce qui vous amène au salon, un intérêt particulier pour un auteur ?
Non, j’habite à cinq kilomètres, j’adore la BD, c’est pratiquement une obligation d’être là. Je me dis que je vais trouver un auteur que je ne connais pas. J’avoue que si le salon se tenait à Menthon je n’y serais peut-être pas allé.
C’est le côté pratique et écolo. Venir à la bande dessinée à vélo !
Oui, il me faut dix minutes pour venir à vélo. Et c’est le plaisir de la découverte.
***
Deux jeunes filles.
Pourquoi êtes-vous ici ?
Pour Benjamin Lacombe.
Précisément ?
Précisément, oui. Mais on va en profiter pour voir tous les auteurs.
Pourquoi Benjamin Lacombe en priorité ?
Nous sommes étudiantes en école de BD et illustration et il est l’un des auteurs qu’on affectionne. Il est une inspiration pour nous et c’est l’une des occasions de le rencontrer. Nous aimons beaucoup ce genre d’événements pour discuter avec les auteurs.
Il y a un côté à la fois professionnel et personnel.
Oui. Ça nous donne l’occasion de parler avec des gens qu’on admire et on se rend compte que ce sont des gens comme nous. On apprend comment ils travaillent, pourquoi ils pratiquent ce métier, ce qui leur plaît ou non.
Ces discussions entretiennent votre motivation.
Ils nous parlent de leur vie, de leur expérience, de la manière dont ils sont arrivés dans le milieu. Leurs avis nous permettent de nous préparer à ce milieu professionnel.
Alors vous vous voyez dans quelques années ici, avec eux ?
On aimerait bien ! (rires).
Où se trouve votre école ?
Au Bourget-du-Lac, l’ENAAI.
A Sevrier, chacun fait salon comme il l’entend. En toute simplicité.
Ils sont nombreux, jeunes, plus âgés, venus en famille, entre amis, seul(e)s. Une famille vient de rencontrer Marc Boutavant.
Pourquoi êtes-vous venus au salon de la BD de Sevrier ?
Pour les auteurs. Notre aîné est un grand lecteur. Il aime beaucoup Marc Boutavant et Emmanuel Guibert et nous, les parents, nous sommes venus pour nos auteurs à nous.
Il y en a pour tout le monde.
Pour toute la famille, oui.
Vous venez de quittez Marc Boutavant. Quelle est votre impression ?
Parfait. Notre fils a appris à lire avec les BD de Ariol et nous avons parlé du spectacle de vendredi soir que nous sommes allés voir. C’était vachement sympa !
***
Une autre file d’attente, un autre auteur, d’autres visiteurs.
Qu’est-ce qui vous amène au salon, un intérêt particulier pour un auteur ?
Non, j’habite à cinq kilomètres, j’adore la BD, c’est pratiquement une obligation d’être là. Je me dis que je vais trouver un auteur que je ne connais pas. J’avoue que si le salon se tenait à Menthon je n’y serais peut-être pas allé.
C’est le côté pratique et écolo. Venir à la bande dessinée à vélo !
Oui, il me faut dix minutes pour venir à vélo. Et c’est le plaisir de la découverte.
***
Deux jeunes filles.
Pourquoi êtes-vous ici ?
Pour Benjamin Lacombe.
Précisément ?
Précisément, oui. Mais on va en profiter pour voir tous les auteurs.
Pourquoi Benjamin Lacombe en priorité ?
Nous sommes étudiantes en école de BD et illustration et il est l’un des auteurs qu’on affectionne. Il est une inspiration pour nous et c’est l’une des occasions de le rencontrer. Nous aimons beaucoup ce genre d’événements pour discuter avec les auteurs.
Il y a un côté à la fois professionnel et personnel.
Oui. Ça nous donne l’occasion de parler avec des gens qu’on admire et on se rend compte que ce sont des gens comme nous. On apprend comment ils travaillent, pourquoi ils pratiquent ce métier, ce qui leur plaît ou non.
Ces discussions entretiennent votre motivation.
Ils nous parlent de leur vie, de leur expérience, de la manière dont ils sont arrivés dans le milieu. Leurs avis nous permettent de nous préparer à ce milieu professionnel.
Alors vous vous voyez dans quelques années ici, avec eux ?
On aimerait bien ! (rires).
Où se trouve votre école ?
Au Bourget-du-Lac, l’ENAAI.
A Sevrier, chacun fait salon comme il l’entend. En toute simplicité.
Marc Boutavant - Salon de la Bande Dessinée ©Paul Rassat
Stan Silas
Fabrice Parme - Salon de la Bande Dessinée ©Paul Rassat
Flora Grimaldi - Salon de la Bande Dessinée ©Paul Rassat
Jonathan Munoz - Salon de la Bande Dessinée ©Paul Rassat
Nicolas Pothier - Salon de la Bande Dessinée ©Paul Rassat
Riff Reb's - Salon de la Bande Dessinée ©Paul Rassat
Zac Deloupy - Salon de la Bande Dessinée ©Paul Rassat
Mademoiselle Caroline - Salon de la Bande Dessinée ©Paul Rassat
Charlotte Gastaut - Salon de la Bande Dessinée ©Paul Rassat
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