Où en êtes-vous actuellement dans votre parcours musical ?
Maraboutage : On est actuellement en tournée. On était en Suisse, à Fribourg pour le George Festival il y a quelques jours. On a fait les Boiler Room, et la tournée continue jusqu’en septembre, octobre.
Comment décririez-vous votre collectif ?
C’est compliqué à expliquer. Si on nous avait posé la question il y a 7 ans, on aurait dit la même chose : on ne sait pas ce qu’on va faire, mais on sait qu’on est ensemble et qu’on crée ensemble. Notre force, c’est qu’on apporte tous des choses à ce projet.
Votre manière de créer a-t-elle évolué avec le temps ?
On est tous pluridisciplinaires. Il y a des chorégraphies préparées pour chaque titre, mais avec une grande liberté d’improvisation. On ne prépare jamais vraiment nos sets. L’important, c’est l’organique, la fluidité.
Maraboutage : On est actuellement en tournée. On était en Suisse, à Fribourg pour le George Festival il y a quelques jours. On a fait les Boiler Room, et la tournée continue jusqu’en septembre, octobre.
Comment décririez-vous votre collectif ?
C’est compliqué à expliquer. Si on nous avait posé la question il y a 7 ans, on aurait dit la même chose : on ne sait pas ce qu’on va faire, mais on sait qu’on est ensemble et qu’on crée ensemble. Notre force, c’est qu’on apporte tous des choses à ce projet.
Votre manière de créer a-t-elle évolué avec le temps ?
On est tous pluridisciplinaires. Il y a des chorégraphies préparées pour chaque titre, mais avec une grande liberté d’improvisation. On ne prépare jamais vraiment nos sets. L’important, c’est l’organique, la fluidité.
Le nombre de spectateurs influence-t-il votre performance ?
Pas du tout. Qu’on soit 8, 10 ou 5000 personnes, on vivra l’expérience pareil. Chaque scène est différente et individuelle. C’est une expérience immersive qu’on crée avec le public.
Sur quoi travaillez-vous en ce moment ?
On a plein de choses en cours. Un label est en développement, on travaille sur des artistes comme Scorpio Queen. On a passé une année à créer notre spectacle Indigo. L’année dernière, on a sorti deux albums de Pécket.
Comment s’est formé votre collectif ?
On s’est rencontrés un peu partout, principalement sur des scènes de fête. Ce n’est pas arrivé d’un coup. On a eu la chance de se rencontrer dans différents endroits, souvent sur scène.
Quel est votre état d’esprit au sein du groupe ?
On travaille en famille. C’est intense, mais c’est beau. On s’aime très fort, et c’est important. On a de la chance de pouvoir partager ça, et on souhaite que d’autres puissent le partager aussi.
Comment vivez-vous les tournées ?
C’est épuisant ! Beaucoup de transports, de trains, peu de repos. Tu perds facilement 8-20 points de vie. Mais on recharge les batteries avec la famille avant de repartir.
Si vous deviez être quelqu'un ou quelque chose ?
Une couverture patchwork. Colorée, qui vieillit bien, qui rassemble plein de morceaux différents.
Y a-t-il un message que vous aimeriez faire passer ?
L’essentiel, c’est de s’amuser ensemble. De créer, de partager, de rester unis.
Avez-vous des ambitions à l’international ?
On a déjà des productions en Afrique. Mais on ne se précipite pas. Il y a plein de pays d’Europe qu’on n’a pas encore explorés, plein de festivals à faire.
Un dernier mot pour conclure ?
On continue à s’amuser, à créer, à être une famille !
Pas du tout. Qu’on soit 8, 10 ou 5000 personnes, on vivra l’expérience pareil. Chaque scène est différente et individuelle. C’est une expérience immersive qu’on crée avec le public.
Sur quoi travaillez-vous en ce moment ?
On a plein de choses en cours. Un label est en développement, on travaille sur des artistes comme Scorpio Queen. On a passé une année à créer notre spectacle Indigo. L’année dernière, on a sorti deux albums de Pécket.
Comment s’est formé votre collectif ?
On s’est rencontrés un peu partout, principalement sur des scènes de fête. Ce n’est pas arrivé d’un coup. On a eu la chance de se rencontrer dans différents endroits, souvent sur scène.
Quel est votre état d’esprit au sein du groupe ?
On travaille en famille. C’est intense, mais c’est beau. On s’aime très fort, et c’est important. On a de la chance de pouvoir partager ça, et on souhaite que d’autres puissent le partager aussi.
Comment vivez-vous les tournées ?
C’est épuisant ! Beaucoup de transports, de trains, peu de repos. Tu perds facilement 8-20 points de vie. Mais on recharge les batteries avec la famille avant de repartir.
Si vous deviez être quelqu'un ou quelque chose ?
Une couverture patchwork. Colorée, qui vieillit bien, qui rassemble plein de morceaux différents.
Y a-t-il un message que vous aimeriez faire passer ?
L’essentiel, c’est de s’amuser ensemble. De créer, de partager, de rester unis.
Avez-vous des ambitions à l’international ?
On a déjà des productions en Afrique. Mais on ne se précipite pas. Il y a plein de pays d’Europe qu’on n’a pas encore explorés, plein de festivals à faire.
Un dernier mot pour conclure ?
On continue à s’amuser, à créer, à être une famille !
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