Kilian, le batteur du groupe, nous présente Shake Shake Go
Kilian, d’où vient le nom de votre groupe ? Shake Shake Go, comment ça se traduit ?
Ça ne signifie rien de précis. On a trouvé le nom en lançant une compétition. On était partis en tournée au Royaume Uni en faisant des concerts sauvages et on a demandé aux gens qui venaient nous voir et nous écouter de nous retrouver sur un site internet fait pour ça, pour nous proposer des noms de groupe. C’est un enfant qui avait six ans à l’époque qui a proposé ce nom. L’énergie qui s’en dégage, même si ça ne signifie rien de précis, colle bien à l’image et au son du groupe.
Parce qu’on peut entendre « shaker », cocktail…
En réalité le môme était venu jouer avec nous, faire des percussions avec un shaker.
Et ça explose bien avec le « Go » final. Comment vous définiriez votre musique ?
C’est de la musique pop avec des influences folk, rock, mais avant tout de la pop.
Avec une touche celtique ?
Oui, la touche folk est présente au départ mais le 2° album est plus pop. Mais bien sûr notre chanteuse, Poppy est galloise, l’un de nous est breton, les influences sont là.
On les entend, on les sent mais elles n’empiètent pas sur l’ensemble.
Non, pas tellement. D’ailleurs on ne cherche pas à avoir un style particulier mais à jouer ce qu’on aime sans se mettre de barrières.
D’où vient votre inspiration pour les paroles ? Il est question du ciel, de maison malade….
Poppy s’occupe totalement des textes. Elle puise dans ses relations sur e mail avec sa famille, ses proches ; elle parle aussi avec le public qui vient nous voir : voilà ses sources d’inspiration, avec ce qui nous arrive. Elle a pu s’inspirer par exemple de son frère parti vivre aux Etats-Unis et qui n’y était pas heureux parce que sa terre natale et sa famille lui manquaient. Elle a écrit « England Skies » pour lui dire « Ne t’inquiète pas, ça va aller. »
Même pour ceux qui ne comprennent pas les paroles en anglais, on sent un côté intimiste qui ouvre aussi sur quelque chose de plus large avec la musique et la façon de la jouer et de la chanter.
On a toujours voulu garder un côté onirique et en même temps une sorte de conversation avec l’auditeur.
Kilian, d’où vient le nom de votre groupe ? Shake Shake Go, comment ça se traduit ?
Ça ne signifie rien de précis. On a trouvé le nom en lançant une compétition. On était partis en tournée au Royaume Uni en faisant des concerts sauvages et on a demandé aux gens qui venaient nous voir et nous écouter de nous retrouver sur un site internet fait pour ça, pour nous proposer des noms de groupe. C’est un enfant qui avait six ans à l’époque qui a proposé ce nom. L’énergie qui s’en dégage, même si ça ne signifie rien de précis, colle bien à l’image et au son du groupe.
Parce qu’on peut entendre « shaker », cocktail…
En réalité le môme était venu jouer avec nous, faire des percussions avec un shaker.
Et ça explose bien avec le « Go » final. Comment vous définiriez votre musique ?
C’est de la musique pop avec des influences folk, rock, mais avant tout de la pop.
Avec une touche celtique ?
Oui, la touche folk est présente au départ mais le 2° album est plus pop. Mais bien sûr notre chanteuse, Poppy est galloise, l’un de nous est breton, les influences sont là.
On les entend, on les sent mais elles n’empiètent pas sur l’ensemble.
Non, pas tellement. D’ailleurs on ne cherche pas à avoir un style particulier mais à jouer ce qu’on aime sans se mettre de barrières.
D’où vient votre inspiration pour les paroles ? Il est question du ciel, de maison malade….
Poppy s’occupe totalement des textes. Elle puise dans ses relations sur e mail avec sa famille, ses proches ; elle parle aussi avec le public qui vient nous voir : voilà ses sources d’inspiration, avec ce qui nous arrive. Elle a pu s’inspirer par exemple de son frère parti vivre aux Etats-Unis et qui n’y était pas heureux parce que sa terre natale et sa famille lui manquaient. Elle a écrit « England Skies » pour lui dire « Ne t’inquiète pas, ça va aller. »
Même pour ceux qui ne comprennent pas les paroles en anglais, on sent un côté intimiste qui ouvre aussi sur quelque chose de plus large avec la musique et la façon de la jouer et de la chanter.
On a toujours voulu garder un côté onirique et en même temps une sorte de conversation avec l’auditeur.
Il est aussi question de dinosaure. Comment entrer en conversation avec un dinosaure ?
Le dinosaure est plus un feeling, ce côté ado que nous avions en nous avant la vingtaine. On se souciait beaucoup moins de tout, on était naïfs, insouciants. On s’en souvient aujourd’hui et on a envie de ressortir ce feeling et ce dinosaure.
Un dinosaure tout jeune.
On a mûri et on se rend compte qu’avec l’âge, on aimerait bien retrouver ces moments. C’est pour cette raison qu’on fait de la musique et qu’on aime se retrouver sur scène.
Faire de la musique permet de rester jeune. Vous êtes connectés à votre manière, aux amis, aux relations, à vous-mêmes plus jeunes, au public…
C’est ça.
www.shakeshakego.co.uk
Le dinosaure est plus un feeling, ce côté ado que nous avions en nous avant la vingtaine. On se souciait beaucoup moins de tout, on était naïfs, insouciants. On s’en souvient aujourd’hui et on a envie de ressortir ce feeling et ce dinosaure.
Un dinosaure tout jeune.
On a mûri et on se rend compte qu’avec l’âge, on aimerait bien retrouver ces moments. C’est pour cette raison qu’on fait de la musique et qu’on aime se retrouver sur scène.
Faire de la musique permet de rester jeune. Vous êtes connectés à votre manière, aux amis, aux relations, à vous-mêmes plus jeunes, au public…
C’est ça.
www.shakeshakego.co.uk
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