Certains élèves du lycée Gabriel Fauré commentaient les œuvres qu’ils avaient réalisées en écho à celles de Gilbert et Georges, Bazooka, Guerilla Girls, Swoon, Elektra KB exposées à la Fondation Réalisations intéressantes, manière de s’engager dans la réflexion et la réalisation artistiques concrètement. Quand l’école sort des murs et accroche ses œuvres sur d’autres murs, ça respire, ça pétille.
Sous le regard de leur professeur Nathalie Anquez, du proviseur de Gabriel Fauré, les artistes en herbe ont présenté leur travail pour dénoncer les racismes, la violence, les discriminations, la guerre…
Nous avons rencontré Nathalie Anquez et ensuite Carla.
Nathalie Anquez, quel est l'objectif ?
L’objectif de cette démarche est de faire travailler des élèves de niveaux différents face aux œuvres. Ils sont face à des œuvres d’art. Ils n’ont pas toujours l’occasion d’en voir et dans les musées il n’est pas possible de s’attarder pour travailler dessus. Ils doivent apporter une réponse plastique à une problématique très contemporaine de 2017, avec leurs propos, leurs propres outils qui sont, comme on peut le voir, des éléments de récupération.
On est pas dans la théorie.
Effectivement, même s’il y a ensuite une soutenance orale pour laquelle on leur demande d’apporter des références, un propos personnel, des techniques. C’est ce qu’a fait Carla.
[Nous suivons Carla devant sa réalisation qu’elle commente pour nous.]
Carla, peux-tu nous expliquer ta démarche ?
J’ai travaillé en relation avec ce que Elektra KB proposait. Comme elle, j’ai utilisé la broderie pour support. Je voulais m’engager contre toute forme de violence, contre les guerres. Les œuvres d’Elektra montrent bien ce que les guerres nous ont fait vivre et j’ai voulu reproduire ceci avec les mêmes techniques qu’elle, mais à ma manière.
Tu penses que l’art peut constituer une réponse ou une réflexion sur la violence ? Est-ce que ça peut être efficace ?
C’est un bon moyen de dénoncer, de faire prendre conscience, de réfléchir et de changer notre vision des choses.
Sous le regard de leur professeur Nathalie Anquez, du proviseur de Gabriel Fauré, les artistes en herbe ont présenté leur travail pour dénoncer les racismes, la violence, les discriminations, la guerre…
Nous avons rencontré Nathalie Anquez et ensuite Carla.
Nathalie Anquez, quel est l'objectif ?
L’objectif de cette démarche est de faire travailler des élèves de niveaux différents face aux œuvres. Ils sont face à des œuvres d’art. Ils n’ont pas toujours l’occasion d’en voir et dans les musées il n’est pas possible de s’attarder pour travailler dessus. Ils doivent apporter une réponse plastique à une problématique très contemporaine de 2017, avec leurs propos, leurs propres outils qui sont, comme on peut le voir, des éléments de récupération.
On est pas dans la théorie.
Effectivement, même s’il y a ensuite une soutenance orale pour laquelle on leur demande d’apporter des références, un propos personnel, des techniques. C’est ce qu’a fait Carla.
[Nous suivons Carla devant sa réalisation qu’elle commente pour nous.]
Carla, peux-tu nous expliquer ta démarche ?
J’ai travaillé en relation avec ce que Elektra KB proposait. Comme elle, j’ai utilisé la broderie pour support. Je voulais m’engager contre toute forme de violence, contre les guerres. Les œuvres d’Elektra montrent bien ce que les guerres nous ont fait vivre et j’ai voulu reproduire ceci avec les mêmes techniques qu’elle, mais à ma manière.
Tu penses que l’art peut constituer une réponse ou une réflexion sur la violence ? Est-ce que ça peut être efficace ?
C’est un bon moyen de dénoncer, de faire prendre conscience, de réfléchir et de changer notre vision des choses.
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