« Moi je m’balance » chantait Barbara qui, se balançant musicalement, balança son porc de père pour ceux qui savaient lire entre les notes et les émotions.
Aujourd’hui on balance sans retenue au point que ça ressemble à du gaspillage. On balance sans distinction les bas morceaux et le filet mignon. Drôle de cuisine à cuisson ultra rapide où tout se mêle, se fond et finit par avoir mauvais goût.
Il est vrai que la violence déployée à se libérer de la violence subie doit être au moins égale à celle-ci car il faut se défaire du poids des actes mais aussi de l’emprise psychologique qui l’accompagne et le prolonge sans prescription.
Et à y réfléchir pleinement, ce « Balance ton porc » engage la même énergie-balance-qui permet de s’envoyer en l’air, sinon que pour s’envoyer en l’air il faut être deux personnes pas seulement consentantes mais désirantes .
Et à y réfléchir plus pleinement encore, pourquoi ne pas étendre ce nouveau mot d’ordre au-delà du domaine sexuel ?
Dans celui du travail, par exemple, car y être consentant peut s’entendre comme « subissant ».
Dans celui de la politique également, si dépourvue de désir et où les choix se font trop souvent par défaut ; mais balance ton patron, ton élu… ne serait-ce pas excessif ?
Ou sinon « Balance ta pub » produit de synthèse dans lequel s’est réfugié ce qui reste de désir désormais manipulé-masturbation?
Balance aussi ton conformisme et réfléchis par toi-même et profites-en pour te demander où sont les avantages acquis et les statuts à déboulonner. Peut-être dans les statuts des professions privilégiées-pourquoi pas ? certainement dans les voies de transmission de l’argent, de réseaux de relations familiaux, sociaux, professionnels, politiques et autres.
Aujourd’hui on balance sans retenue au point que ça ressemble à du gaspillage. On balance sans distinction les bas morceaux et le filet mignon. Drôle de cuisine à cuisson ultra rapide où tout se mêle, se fond et finit par avoir mauvais goût.
Il est vrai que la violence déployée à se libérer de la violence subie doit être au moins égale à celle-ci car il faut se défaire du poids des actes mais aussi de l’emprise psychologique qui l’accompagne et le prolonge sans prescription.
Et à y réfléchir pleinement, ce « Balance ton porc » engage la même énergie-balance-qui permet de s’envoyer en l’air, sinon que pour s’envoyer en l’air il faut être deux personnes pas seulement consentantes mais désirantes .
Et à y réfléchir plus pleinement encore, pourquoi ne pas étendre ce nouveau mot d’ordre au-delà du domaine sexuel ?
Dans celui du travail, par exemple, car y être consentant peut s’entendre comme « subissant ».
Dans celui de la politique également, si dépourvue de désir et où les choix se font trop souvent par défaut ; mais balance ton patron, ton élu… ne serait-ce pas excessif ?
Ou sinon « Balance ta pub » produit de synthèse dans lequel s’est réfugié ce qui reste de désir désormais manipulé-masturbation?
Balance aussi ton conformisme et réfléchis par toi-même et profites-en pour te demander où sont les avantages acquis et les statuts à déboulonner. Peut-être dans les statuts des professions privilégiées-pourquoi pas ? certainement dans les voies de transmission de l’argent, de réseaux de relations familiaux, sociaux, professionnels, politiques et autres.
« Moi, je m’balance… »
Pourquoi pas vous ? De manière à faire un tour sur soi, c’est-à-dire une révolution, pour voir autre chose, autrement que des relations de force, de soumission et de synthèse. Et, revenu au point de départ se retrouver enrichi du mouvement accompli.
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Texte libre Paul.R