Les Dames de Lune nous avaient donné rendez-vous à la mi-journée dans un cloître clunisien.
A ses Grandes Heures, le Festival 2019 de Cluny avait ajouté des Petites Minutes non moins passionnantes…et gratuites !
C’est donc dans un cloître, fermé par définition, que nous retrouvions ce 10 août Julie Garnier et Marie Braun pour une évasion musicale et poétique, une déambulation artistique qui mêle la voix, la danse, flûte et saxo en des compositions originales.
Les deux artistes jouent avec les limites de ce qui fait sens et leur déambulation musicale ressemble à une promenade philosophique si l’on considère que la pensée est la musique du cerveau. S’y rejoignent sens, sensations, rythme qui transforment les notes en mots et inversement, qui flirtent du souffle à la voix, de la voix à la note, de la note au mot, du mot et de la note à la mélodie, de la mélodie au mouvement…à moins que le mouvement n’ait été à l’origine du phénomène.
Avec grâce, légèreté, profondeur et humour.
« It’s time now » joue avec les mots et avec l’absurde un peu à la manière d’un Tardieu. Avec « Je l’avais perdu « fleurit l’existentiel poétique que prolonge cette belle question « Où irons-nous ? Est-ce que tu sais ça, toi ? »
De « Je marche sur des œufs » naissent des sons qui composent une omelette musicale au rythme inouï.
Du jazz de la Renaissance avec fricassée de mots et , on ne sait pas trop pourquoi, une pincée de Shakespeare. La nuit des rois ?
Les Dames de Lune poursuivent leur giration autour de la musique et des mots, d’Annecy Paysages début juillet à Cluny dernièrement.
A suivre dans le ciel étoilé.
A ses Grandes Heures, le Festival 2019 de Cluny avait ajouté des Petites Minutes non moins passionnantes…et gratuites !
C’est donc dans un cloître, fermé par définition, que nous retrouvions ce 10 août Julie Garnier et Marie Braun pour une évasion musicale et poétique, une déambulation artistique qui mêle la voix, la danse, flûte et saxo en des compositions originales.
Les deux artistes jouent avec les limites de ce qui fait sens et leur déambulation musicale ressemble à une promenade philosophique si l’on considère que la pensée est la musique du cerveau. S’y rejoignent sens, sensations, rythme qui transforment les notes en mots et inversement, qui flirtent du souffle à la voix, de la voix à la note, de la note au mot, du mot et de la note à la mélodie, de la mélodie au mouvement…à moins que le mouvement n’ait été à l’origine du phénomène.
Avec grâce, légèreté, profondeur et humour.
« It’s time now » joue avec les mots et avec l’absurde un peu à la manière d’un Tardieu. Avec « Je l’avais perdu « fleurit l’existentiel poétique que prolonge cette belle question « Où irons-nous ? Est-ce que tu sais ça, toi ? »
De « Je marche sur des œufs » naissent des sons qui composent une omelette musicale au rythme inouï.
Du jazz de la Renaissance avec fricassée de mots et , on ne sait pas trop pourquoi, une pincée de Shakespeare. La nuit des rois ?
Les Dames de Lune poursuivent leur giration autour de la musique et des mots, d’Annecy Paysages début juillet à Cluny dernièrement.
A suivre dans le ciel étoilé.
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