Lannick Laudry (Acteur du film baby Phone) et Savanna Samokine (Directeur du Pathé Annecy) au Pathé Annecy ©Damien Tiberio
Lannick Gautry a bien voulu accorder un moment à Move On
On pourrait dire que c’est un film qui libère, les esprits, les cœurs…et les intestins.(rires)
Oui, il libère parce que les personnages sont sauvés à la fin. Mais ce n’est pas pour autant « la grosse comédie. » On passe par moments du rire aux larmes.
Effectivement, il faut nuancer. Le baby phone révèle ce qu’il y a de pire chez certains mais aussi ce qu’il y a de meilleur concernant un personnage.
Chaque personnage garde son identité jusqu’à la fin. Le baby phone lui permet simplement de se révéler, de prendre conscience de ses mauvais côtés et de les dépasser.
Le huis clos exacerbe les tensions entre les personnages. L’exercice aurait pu être « casse-gueule », mais comme le fil conducteur de l’histoire est la musique, on a l’impression d’assister à un concert où tous jouent en équipe, avec un moment de bravoure pour chacun.
Ce n’est pas un ensemble de solistes mais vraiment un orchestre. Je suis parfaitement d’accord avec cette métaphore. Le tournage n’a été que de la bienveillance qui tire le film vers le haut. C’est l’œuvre du réalisateur Olivier Casas et aussi celle de Michel Jonasz qui est quelqu’un de délicieux, d’exceptionnel.
La sagesse se joint au rire quand il est question de réparer, de grandir…
Oui, comment et jusqu’où pardonner, et que se passe-t-il si on pardonne.
La discussion qui suit rejoint le point de vue que M. Savanna Samokine, directeur du Pathé-Gaumont d’Annecy nous donnait il y a quelques jours : le cinéma est fait pour le public, il est l’occasion de le rencontrer, de discuter avec lui.
Lannick Gautry est parfaitement à l’aise dans cet exercice, dans l’échange avec le public qui a suivi la projection du film Baby Phone. On ne le sent pas dans la posture professionnelle, dans la promotion mais habité du plaisir d’être avec les autres.
Il est dans les parages en ce moment pour le tournage d’une série.
A suivre…
Cette mésaventure que raconte le film pourrait arriver à tout le monde, c’est pourquoi on sent le public concerné.
On pourrait dire que c’est un film qui libère, les esprits, les cœurs…et les intestins.(rires)
Oui, il libère parce que les personnages sont sauvés à la fin. Mais ce n’est pas pour autant « la grosse comédie. » On passe par moments du rire aux larmes.
Effectivement, il faut nuancer. Le baby phone révèle ce qu’il y a de pire chez certains mais aussi ce qu’il y a de meilleur concernant un personnage.
Chaque personnage garde son identité jusqu’à la fin. Le baby phone lui permet simplement de se révéler, de prendre conscience de ses mauvais côtés et de les dépasser.
Le huis clos exacerbe les tensions entre les personnages. L’exercice aurait pu être « casse-gueule », mais comme le fil conducteur de l’histoire est la musique, on a l’impression d’assister à un concert où tous jouent en équipe, avec un moment de bravoure pour chacun.
Ce n’est pas un ensemble de solistes mais vraiment un orchestre. Je suis parfaitement d’accord avec cette métaphore. Le tournage n’a été que de la bienveillance qui tire le film vers le haut. C’est l’œuvre du réalisateur Olivier Casas et aussi celle de Michel Jonasz qui est quelqu’un de délicieux, d’exceptionnel.
La sagesse se joint au rire quand il est question de réparer, de grandir…
Oui, comment et jusqu’où pardonner, et que se passe-t-il si on pardonne.
La discussion qui suit rejoint le point de vue que M. Savanna Samokine, directeur du Pathé-Gaumont d’Annecy nous donnait il y a quelques jours : le cinéma est fait pour le public, il est l’occasion de le rencontrer, de discuter avec lui.
Lannick Gautry est parfaitement à l’aise dans cet exercice, dans l’échange avec le public qui a suivi la projection du film Baby Phone. On ne le sent pas dans la posture professionnelle, dans la promotion mais habité du plaisir d’être avec les autres.
Il est dans les parages en ce moment pour le tournage d’une série.
A suivre…
Articles similaires...
-
Ballerina : Ana de Armas danse avec la mort dans le spin-off de John Wick
-
Le Cinéma-Karaoké au Grand Rex de Paris : un concept de folie !
-
Festival de Deauville : Michael Douglas séjourne à l’Hôtel Barrière Le Royal Deauville
-
Insouciant Films : Quand la Jeunesse et l'Innovation Redéfinissent le Cinéma et le Théâtre
-
Le Cinéma en Plein Air à Paris : Un Hommage au Sport